Lanfeust de Troy
5. Le frisson de l'Haruspice
Une BD de
Arleston, Scotch
et
Didier Tarquin
chez Soleil Productions
- 1997
Arleston, Scotch
(Scénario)
Tarquin, Didier
(Dessin)
Lencot, Yves
(Couleurs)
Mathias, Guy
(Lettrage)
10/1997 52 pages 2877646467 Grand format 15 à 20 euros 30894
Depuis la défaite de Thanos, C’ian, Cixi, Nicolède et Hébus vivent des jours paisibles à Eckmül pendant que Lanfeust est le sujet d’études des grand mages et l’exauceur des vœux de ses amis. Malheuresement, l’insouciance de la troupe va permettre à Thanos de réapparaitre et d’envahir la capitale, obligeant nos héros à s’enfuir vers le Darshan à la poursuite du Magohamoth, le mythique animal de magie.
Ce cinquième tome marque un nouveau départ dans les aventures de Lanfeust. Après son dernier affrontement contre Thanos, Lanfeust et sa bande sont de retour à Eckmül pour étudier les pouvoirs conférés par l’ivoire de l’épée du chevalier Or-Azur. La situation va rapidement dégénérer lorsque Thanos va revenir d’entre les morts avec des pouvoirs illimités. Pour l’arrêter, les personnages vont se lancer dans une nouvelle quête visant à trouver le Magoamoth, l’être originel de la magie. Tome très appréciable !
L’un des meilleurs albums de la série. Le scénario se complexifie avec l’exil de Lanfeust et ses amis au Darshan, en même temps que l’ambiance générale devient de plus en plus noire suite à la perte de l’épée magique de Lanfeust au profit de Thanos qui devient ainsi l’homme le plus puissant de Troy.
Un Thanos plus cruel et redoutable que jamais, des héros très vulnérables obligés de fuir, un nouveau personnage (Sphax) important et très attachant, et toujours des combats rocambolesques mêlant de belle manière action et magie. Très très bon !
Hé ben! Je crois que je vais être longtemps à me demander pourquoi cette série a obtenu un tel succès! Moi-même, c'est sur la recommandation d'un ami que je me suis mis à la lire...
J'en suis au 5ème tome, et je trouve ça de plus en plus nul! Je me demande même si les BD qu'on appelait "de gare" destinées aux bidasses, n'étaient pas plus spirituelles que ces pauvres lanfeusteries...