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La particularité principale de cet album est que le personnage principal est l'auteur lui-même puisque Dimitri participa à la bataille de Koursk en tant que simple soldat dans la Werhmacht, enrolé de force en temps qu'Alsacien. L'album reprend une partie du récit autobiographique de ses années de guerre intitulé 'Le soldat oublié' que l'auteur a publié sous le nom de Guy Sajer. Paradoxalement, alors que l'album est composé de souvenirs personnels et d'anecdotes vécus, il manque de force et de conviction. Rien à voir avec l'émotion qui se dégage du livre 'le soldat oublié' dont la lecture lui est préférable.
A lire d'une traite, comme ce que vit le héros.
Ce récit retrace une succession d'opérations militaires menées par l'armée allemande dans le région de Kursk en 1943 lors de l'opération Barbarossa visant à conquérir la russie.
Le point de vue est celui d'un simple soldat. La rage idéologique, la grandeur du Reich, l'opération éclair ... ce n'est pas sa préoccupation immédiate. Lui est envoyé en première ligne, quelque part sur le front. L'éclair c'est celui des tirs ennemi, sa grandeur ne doit pas dépasser 20 cm quand il rampe et la rage qu'il déploit devient vite la seule condition de sa survie.
Assez rare en BD, ce récit est un instantané sur quelques jours. Pas d'avant, pas d'après, seulement le présent. On est là, il faut aller là bas et en face il y a la mort.
Dimitri réussi sans jugement à nous immerger dans la folie des hommes. Le côté désincarné du personnage pourra en déranger certains, pourtant il renforce encore réalisme de la situation : pas le temps de réfléchir, l'action écrase tout comme les obus qui déchirent les corps le sol et le ciel. Une idée de ce que les soldats vivent en première ligne.
La particularité principale de cet album est que le personnage principal est l'auteur lui-même puisque Dimitri participa à la bataille de Koursk en tant que simple soldat dans la Werhmacht, enrolé de force en temps qu'Alsacien. L'album reprend une partie du récit autobiographique de ses années de guerre intitulé 'Le soldat oublié' que l'auteur a publié sous le nom de Guy Sajer. Paradoxalement, alors que l'album est composé de souvenirs personnels et d'anecdotes vécus, il manque de force et de conviction. Rien à voir avec l'émotion qui se dégage du livre 'le soldat oublié' dont la lecture lui est préférable.
A lire d'une traite, comme ce que vit le héros.
Ce récit retrace une succession d'opérations militaires menées par l'armée allemande dans le région de Kursk en 1943 lors de l'opération Barbarossa visant à conquérir la russie.
Le point de vue est celui d'un simple soldat. La rage idéologique, la grandeur du Reich, l'opération éclair ... ce n'est pas sa préoccupation immédiate. Lui est envoyé en première ligne, quelque part sur le front. L'éclair c'est celui des tirs ennemi, sa grandeur ne doit pas dépasser 20 cm quand il rampe et la rage qu'il déploit devient vite la seule condition de sa survie.
Assez rare en BD, ce récit est un instantané sur quelques jours. Pas d'avant, pas d'après, seulement le présent. On est là, il faut aller là bas et en face il y a la mort.
Dimitri réussi sans jugement à nous immerger dans la folie des hommes. Le côté désincarné du personnage pourra en déranger certains, pourtant il renforce encore réalisme de la situation : pas le temps de réfléchir, l'action écrase tout comme les obus qui déchirent les corps le sol et le ciel. Une idée de ce que les soldats vivent en première ligne.