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Le présent avis porte sur la réédition du titre « Kriegspiel, le jeu de la guerre » (1992) et non sur la version initiale (1988)
Cet album reprend celui d’Anton Six (1987) et incorpore Kriegspiel (1988) qui apportait une vision complémentaire.
Il y a donc l’histoire de cet agent secret qui, en 1946, pénètre en Ukraine avec l’aide d’anciens nazis qui désormais travaillent pour les Américains. Sa mission : récupérer des négatifs qui incriminent Staline.
Bien évidemment dans ce monde crépusculaire, rien ne va se passer comme prévu et l’adjonction des « reportages » de Kriegspiel, première formule, accentue la véracité de l’histoire (on ne parle pas d’authenticité bien sûr).
A cela s’ajoutent 11 planches supplémentaires (20 bis, 21 bis, 21 ter,24 bis,27 bis, 27 ter, 30 bis, 32 bis, 32 ter, 37 bis, 37 ter) qui fouillent davantage la relation entre Anton et Rebecca et dans une moindre mesure celle d’Anton et Hans.
Notons enfin que la planche 46 de l’album initial disparait complètement pour laisser place à deux nouvelles planches qui ne changent pas la conclusion mais accentuent le côté inutile de cette mission.
Bocquet est tout à son affaire dans cette histoire et on ne peut que regretter qu’il n’écrive pas davantage. Quant à Arno, c’est toujours un crève-cœur que de savoir que pareil artiste nous a quitté beaucoup trop tôt.
Le présent avis porte sur la réédition du titre « Kriegspiel, le jeu de la guerre » (1992) et non sur la version initiale (1988)
Cet album reprend celui d’Anton Six (1987) et incorpore Kriegspiel (1988) qui apportait une vision complémentaire.
Il y a donc l’histoire de cet agent secret qui, en 1946, pénètre en Ukraine avec l’aide d’anciens nazis qui désormais travaillent pour les Américains. Sa mission : récupérer des négatifs qui incriminent Staline.
Bien évidemment dans ce monde crépusculaire, rien ne va se passer comme prévu et l’adjonction des « reportages » de Kriegspiel, première formule, accentue la véracité de l’histoire (on ne parle pas d’authenticité bien sûr).
A cela s’ajoutent 11 planches supplémentaires (20 bis, 21 bis, 21 ter,24 bis,27 bis, 27 ter, 30 bis, 32 bis, 32 ter, 37 bis, 37 ter) qui fouillent davantage la relation entre Anton et Rebecca et dans une moindre mesure celle d’Anton et Hans.
Notons enfin que la planche 46 de l’album initial disparait complètement pour laisser place à deux nouvelles planches qui ne changent pas la conclusion mais accentuent le côté inutile de cette mission.
Bocquet est tout à son affaire dans cette histoire et on ne peut que regretter qu’il n’écrive pas davantage. Quant à Arno, c’est toujours un crève-cœur que de savoir que pareil artiste nous a quitté beaucoup trop tôt.