Kid Paddle
12. Panik Room
Une BD de Midam chez Mad Fabrik - 2011
08/2011 (24 aout 2011) 43 pages 9782930618074 Format normal 137813
Hé hé hé ! Kid a encore de bonnes idées pour décorer la chambre de sa sœur, s'occuper de ses jouets, jouer en famille, faire quelques parties de Game Over, tenter d'aller voir des films comme Zombie Baby, Le glaire de la mort entre autres, poser des questions existentielles à son père... Bref, il ne s'ennuie pas le Kid...Oh, que non...
Dans une entrevue sur Fr 2 je croit, Midam à dit "Je voudrai ne plus faire de BD que des produit dériver". Pour un bédéistes sa regarde mal.
Parfaitement d'accord avec la critique de didier24 dieu seul sait que j'aime Kid et j'ai attendu le 12. Cette album n'est pas gore, il est rose de le page 3 à la 45. Car il faut dire que les pages 46, 47 et 48 son réserver à la pub de MAD, c'est un catalogue ou quoi? Et Kid à changer graphiquement, pas pour le mieux.
On en reparlera une fois que son égo se sera refroidi, pas que financièrement !
Enfin ! Depuis que temps que l’on attendait ce nouvel opus, on aurait dû l’appeler plutôt Désiré Paddle ! Midam voulant fonder sa propre maison d’édition « MAD » nous a donc fait « mariner » un long moment.
Alors que tous les autres auteurs reviennent vers un éditeur, car c’est devenu très difficile de s’auto-éditer en c’est temps difficiles (prise de risque, gestion, part de marché, commercialisation, invendus, charges sociales…) bref tout les inconvénients de l’édition, Midam a lui préféré comme un grand se lancer avec quelques partenaires dans l’aventure de la production !
Bon courage et bonne gestion ! (et bonnes emmer… donc à mon avis, on en reparlera une fois que son égo se sera refroidi financièrement !).
Au niveau de l’album, pas de surprise, c’est bien du Kid Paddle classique. J’aime toujours autant cette série, mais… « Pas de surprise », c’est là le défaut !
Les mêmes genres de gags avec juste quelques légères variantes et en plus il y a trop d’intrusion de la série Game over dans cet album (2 planches à chaque fois pour chaque gag, c’est trop long !).
Autant de battages pour un si maigre résultat, ce n’était vraiment pas la peine de griffonner autant de carnets à idées dans toutes les pièces de sa maison pour sortir ce genre d’album !
Je suis un peu dur, mais un peu de modestie et recul semblerait nécessaire pour faire un album de qualité, il en va de la survie de sa maison d’édition !