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Suite et fin du crossover Forever Evil avec un recentrage sur l’intrigue principale (soit Lex Luthor et Cie. contre le Syndicat du crime) mais aussi l’apparition de sous-intrigues venant diluer inutilement l’histoire (Forever Evil 2013, #5-7 et Justice League 2011, #26-29).
Batman et Catwoman sont de retour, Cyborg retrouve ses jambes, les vilains dissidents s’unissent et globalement le camp du Bien reprend du poil de la bête. Tout du long de ce second volet du "Règle du Mal", on assiste à la revanche d’un camp sur l’autre avec son lot habituel d’affrontements et, un peu moins habituel, d’exécutions.
Une fois encore, le scénario de Geoff Johns est dans l’ensemble bien bourrin et il n’y a que les personnages de Cyborg et Nightwing pour apporter un peu d’humanité à l’histoire. Cette fois-ci, plus de tie-ins au programme mais l’intrigue se délaye avec l’apparition d’énièmes équipes de héros tels la Doom Patrol ou les Metal Men. Il y avait pourtant déjà une foultitude de personnages au casting sans qu’il n’y ait besoin d’en rajouter... Au final, on ressort de la lecture de ces deux tomes de Forever Evil avec le sentiment d’avoir assisté à un nouveau défouloir entre super-héros sans véritable caractérisation sur la durée. On peut encore continuer comme ça pendant longtemps mais le titre restera alors tout aussi moyen voire mauvais.
Au dessin, on retrouve David Finch pour le cœur de l’intrigue et c’est toujours aussi beau (quoique fort en muscles comme à son habitude). Et il est accompagné par le non moins agréable Ivan Reis sur les épisodes de la Ligue de Justice. En conclusion, seul le dessin est au niveau dans cet event.
Suite et fin du crossover Forever Evil avec un recentrage sur l’intrigue principale (soit Lex Luthor et Cie. contre le Syndicat du crime) mais aussi l’apparition de sous-intrigues venant diluer inutilement l’histoire (Forever Evil 2013, #5-7 et Justice League 2011, #26-29).
Batman et Catwoman sont de retour, Cyborg retrouve ses jambes, les vilains dissidents s’unissent et globalement le camp du Bien reprend du poil de la bête. Tout du long de ce second volet du "Règle du Mal", on assiste à la revanche d’un camp sur l’autre avec son lot habituel d’affrontements et, un peu moins habituel, d’exécutions.
Une fois encore, le scénario de Geoff Johns est dans l’ensemble bien bourrin et il n’y a que les personnages de Cyborg et Nightwing pour apporter un peu d’humanité à l’histoire. Cette fois-ci, plus de tie-ins au programme mais l’intrigue se délaye avec l’apparition d’énièmes équipes de héros tels la Doom Patrol ou les Metal Men. Il y avait pourtant déjà une foultitude de personnages au casting sans qu’il n’y ait besoin d’en rajouter... Au final, on ressort de la lecture de ces deux tomes de Forever Evil avec le sentiment d’avoir assisté à un nouveau défouloir entre super-héros sans véritable caractérisation sur la durée. On peut encore continuer comme ça pendant longtemps mais le titre restera alors tout aussi moyen voire mauvais.
Au dessin, on retrouve David Finch pour le cœur de l’intrigue et c’est toujours aussi beau (quoique fort en muscles comme à son habitude). Et il est accompagné par le non moins agréable Ivan Reis sur les épisodes de la Ligue de Justice. En conclusion, seul le dessin est au niveau dans cet event.