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Une Bd achetée en brocante parce que la couverture est jolie.
Et, oui, Merezette, l'auteur, avait une jolie patte surannée, une gouache délavée plutôt superbe et une maitrise sur l'ambiance. Certes il y a quelques erreurs sur les visages. Mais c'est dommage qu'il n'est pas continuer la profession. Il aurait été un auteur atypique et doué.
C'est du coté du scénar que ça fait tousser. D'un côté, il y a un casse et le résultat du casse. Et de ce côté-là, ça marche a fond. C'est structuré, mise en perspective. Il y a même du rythme, du suspens et même du twist. De l'autre, il y a une petite gonzesse qui quitte son mac, puis se violer par un camionneur, puis fait l'amour (le lendemain) avec un mec gentil...qui meurt...et elle se barre avec un truand qui fait partie d'un groupe qui a tué son mec gentil dont elle n'a rien à faire visiblement.
Parce que, durant les années 80, on se remet en 24 heures d'un viol, c'est sur.
Mais le pire est le final. Construire un twist qui se veut étonnant, ok. ça peut être cool. Mais quand on veut tellement étonné que cela n'a plus aucun sens alors, non, ce n'est pas cool.
Tout repose ici par le personnage de Julie et c'est la le problème car il est bien mal écrit ce personnage qui couche tranquille après un viol, qui devient amoureuse mais se barre avec un type du groupe qui a tué son amoureux.
Di Giorgio le scénariste gère mal son son personnage principal et plombe par la même occasion toute son histoire. A part qu'elle est bien jolie la Julie.
Le titre pourrait être aussi: Déniaisement d'une
jeune écervelée sur fond de polar. J'ai bien aimé la
manière dont l'auteur a su mener de front deux
intrigues (le déniaisement et le polar) qui ne
devaient pas forcément se rejoindre, tout en
restant clair. En effet le scénario se tient, Julie-
Julie apprend à vivre et les gangsters à mourir. Les
personnages sont graphiquement bien identifiés,
possèdent une nette personalité et j'ai beaucoup
aimé ce dessin doux et romantique qui ressemble
un peu à de l'aquarelle.
Seul reproche: la chance et les bons sentiments, il
y en a plus dans les BD que dans la vie.
Une Bd achetée en brocante parce que la couverture est jolie.
Et, oui, Merezette, l'auteur, avait une jolie patte surannée, une gouache délavée plutôt superbe et une maitrise sur l'ambiance. Certes il y a quelques erreurs sur les visages. Mais c'est dommage qu'il n'est pas continuer la profession. Il aurait été un auteur atypique et doué.
C'est du coté du scénar que ça fait tousser. D'un côté, il y a un casse et le résultat du casse. Et de ce côté-là, ça marche a fond. C'est structuré, mise en perspective. Il y a même du rythme, du suspens et même du twist. De l'autre, il y a une petite gonzesse qui quitte son mac, puis se violer par un camionneur, puis fait l'amour (le lendemain) avec un mec gentil...qui meurt...et elle se barre avec un truand qui fait partie d'un groupe qui a tué son mec gentil dont elle n'a rien à faire visiblement.
Parce que, durant les années 80, on se remet en 24 heures d'un viol, c'est sur.
Mais le pire est le final. Construire un twist qui se veut étonnant, ok. ça peut être cool. Mais quand on veut tellement étonné que cela n'a plus aucun sens alors, non, ce n'est pas cool.
Tout repose ici par le personnage de Julie et c'est la le problème car il est bien mal écrit ce personnage qui couche tranquille après un viol, qui devient amoureuse mais se barre avec un type du groupe qui a tué son amoureux.
Di Giorgio le scénariste gère mal son son personnage principal et plombe par la même occasion toute son histoire. A part qu'elle est bien jolie la Julie.
Le titre pourrait être aussi: Déniaisement d'une
jeune écervelée sur fond de polar. J'ai bien aimé la
manière dont l'auteur a su mener de front deux
intrigues (le déniaisement et le polar) qui ne
devaient pas forcément se rejoindre, tout en
restant clair. En effet le scénario se tient, Julie-
Julie apprend à vivre et les gangsters à mourir. Les
personnages sont graphiquement bien identifiés,
possèdent une nette personalité et j'ai beaucoup
aimé ce dessin doux et romantique qui ressemble
un peu à de l'aquarelle.
Seul reproche: la chance et les bons sentiments, il
y en a plus dans les BD que dans la vie.