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Après deux albums remarqués, teintés d’autobiographie (‘Portugal’ 2011 & ‘Equinoxes’ 2015), Cyril Pedrosa nous a livré le diptyque remarquable ‘L’âge d’or’ (2018 & 2020), multiplébiscité.
Il a manifestement fait une pause BD pour se lancer dans ‘autre chose’. Pause de 18 mois d’écriture et de dessins, pour l’aider à sortir d’une impasse intime, qu’il a conceptualisé et restitué sous forme de 96 dessins de très grande taille (100x150cm), accompagnés de textes pas nécessairement directement associés à ces peintures. L’ensemble est remarquable (au sens premier du terme), et forme un ouvrage cohérent. Plusieurs des planches proposées mériteraient d’être affichées dans des musées d’art moderne…
Problème conceptuel possible : cet album est-il vraiment une BD ? Je laisse aux théoriciens (comme Th Groensteen, B Peeters ou autres) le soin d’en décider. Toujours est-il que cet album fera date dans la carrière de l’auteur.
J’ai un énorme regret (pour ne pas dire une méchanceté) vis-à-vis de l’éditeur, Dupuis. Comment est-il possible, à partir de dessins initiaux de (très) grande taille, de produire un album avec des planches de 170 x 235 mm. De plus, près des 2/3 des planches sont reproduites en double-page, quasi impossibles à visualiser correctement. La collection ‘Aire Libre’ m’avait hatitué à mieux. Et de plus, vu le format original des planches de Pedrosa, une édition à l’italienne eut été nettement plus adéquate. Je me pose aussi la question du pourquoi le ‘tirage limité’ à 2200 exemplaires.
Bref, je note l’oeuvre de Cyril Pedrosa à 4/5, mais j’offre un 0/5 à l’éditeur.
Info édition : Couverture sans titre ni nom d'auteur, qui figurent sur la jaquette. Tirage limité à 2200 exemplaires, enrichi d'un dessin inédit, signé et numéroté, imprimé sur Rives Shetland blanc naturel 250g.
Après deux albums remarqués, teintés d’autobiographie (‘Portugal’ 2011 & ‘Equinoxes’ 2015), Cyril Pedrosa nous a livré le diptyque remarquable ‘L’âge d’or’ (2018 & 2020), multiplébiscité.
Il a manifestement fait une pause BD pour se lancer dans ‘autre chose’. Pause de 18 mois d’écriture et de dessins, pour l’aider à sortir d’une impasse intime, qu’il a conceptualisé et restitué sous forme de 96 dessins de très grande taille (100x150cm), accompagnés de textes pas nécessairement directement associés à ces peintures. L’ensemble est remarquable (au sens premier du terme), et forme un ouvrage cohérent. Plusieurs des planches proposées mériteraient d’être affichées dans des musées d’art moderne…
Problème conceptuel possible : cet album est-il vraiment une BD ? Je laisse aux théoriciens (comme Th Groensteen, B Peeters ou autres) le soin d’en décider. Toujours est-il que cet album fera date dans la carrière de l’auteur.
J’ai un énorme regret (pour ne pas dire une méchanceté) vis-à-vis de l’éditeur, Dupuis. Comment est-il possible, à partir de dessins initiaux de (très) grande taille, de produire un album avec des planches de 170 x 235 mm. De plus, près des 2/3 des planches sont reproduites en double-page, quasi impossibles à visualiser correctement. La collection ‘Aire Libre’ m’avait hatitué à mieux. Et de plus, vu le format original des planches de Pedrosa, une édition à l’italienne eut été nettement plus adéquate. Je me pose aussi la question du pourquoi le ‘tirage limité’ à 2200 exemplaires.
Bref, je note l’oeuvre de Cyril Pedrosa à 4/5, mais j’offre un 0/5 à l’éditeur.