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Journal est une autobiographie graphique que nous livre Fabrice Neaud. Il s'y questionne sur son travail, ses histoires d'amour et la vie en général. Le scénario se déroule entre rencontres fortuites et dialogues.
La grande majorité du journal est une réflexion autour de la vie en général et j'avoue que je me suis légèrement ennuyée.
Par contre, c'est une véritable découverte d'un point de vue esthétique. Ici nous sommes sur un travail en noir et blanc, sans nuance de gris. Il y a très peu de détails dans les décors. En revanche, les portraits sont très détaillés. J'ai été frappée par le réalisme de certaines vignettes et le travail sur les ombres.
Bien que peu séduite par le scénario, j'ai donc été subjuguée par l'esprit graphique de ce journal.
Pas vraiment et totalement accroché... Après, c'est tellement particulier qu'on aime ou pas. Question de goût. Quelque part c'est même bien, car cela montre vraiment que cette bd a du caractère.
La nuque de la couverture est ce qui m'a le plus intrigué et qui a fini par
provoquer l'achat du livre. Je n'étais pas un grand amateur de BD (j'en été
resté aux hyper-classiques) et j'ai eu un sorte d'illumination (sans aller
jusqu'au chemin de Damas). Cette œuvre m'a profondément touché. Sa
sincérité, son impudeur, sa justesse. J'ai aussi aimé le trait, le dessin. Bien sûr
certaines choses m'ont parfois agacé mais dès refermé, j'ai vraiment eu envie
de connaître la suite. Merci Fabrice
Il faut bien dire que la lecture du "Journal" de Fabrice Neaud ne laisse pas de marbre, même s'il faut lire ce type d'ouvrage avec un certain recul.
Tout d'abord une petite rectification : Fabrice Neaud appelle ça son "journal" alors qu'il ne traite vraiment que d'une partie de son quotidien. A savoir : l'amour qu'il ressent pour un de ses amis, amour non partagé.
A partir du moment où l'"action" se déroule pendant près de 20 mois (février 92 - septembre 93) mais que la vie au quotidien du narrateur n'est évoquée que brievement pour se concentrer sur une relation particulière, peut-on parler d'un journal ?
Graphiquement, il est indéniable que l'auteur possède les techniques graphiques pour exprimer ce qu'il ressent. C'est très bien fait.
Là où je me pose une autre question, c'est s'il s'agit véritablement de BD. Je m'explique : la plupart du temps, les vignettes représentent plus des poses, des sentiments, des "points de vue" que des actions. A mon avis, il s'agit plus d'illustration que de BD à proprement dit.
D'ailleurs il n'y a pas vraiment d'actions, mais plutôt des dialogues ou des monologues. On nous raconte ce qu'il s'est passé, on ne nous le montre pas.
C'est ce qui est frappant avec ce premier tome : on ne sort jamais de la tête de l'auteur. On ne voit que les évènements avec ses yeux et son esprit. Il n'y a pas de représentation, plutôt des interprétations.
C'est surtout pour cela que cet album est si particulier : il est difficile au lecteur de sortir de la vision du narrateur pour juger par lui-même de la réalité et du fondement de ce qu'on lui présente. Comment interpréter si c'est l'interprétation qu'on nous donne et non les évènements ?
Quoi qu'il en soit, je conseille quand même la lecture... pour les amateurs du genre bien sûr
Journal est une autobiographie graphique que nous livre Fabrice Neaud. Il s'y questionne sur son travail, ses histoires d'amour et la vie en général. Le scénario se déroule entre rencontres fortuites et dialogues.
La grande majorité du journal est une réflexion autour de la vie en général et j'avoue que je me suis légèrement ennuyée.
Par contre, c'est une véritable découverte d'un point de vue esthétique. Ici nous sommes sur un travail en noir et blanc, sans nuance de gris. Il y a très peu de détails dans les décors. En revanche, les portraits sont très détaillés. J'ai été frappée par le réalisme de certaines vignettes et le travail sur les ombres.
Bien que peu séduite par le scénario, j'ai donc été subjuguée par l'esprit graphique de ce journal.
Pas vraiment et totalement accroché... Après, c'est tellement particulier qu'on aime ou pas. Question de goût. Quelque part c'est même bien, car cela montre vraiment que cette bd a du caractère.
La nuque de la couverture est ce qui m'a le plus intrigué et qui a fini par
provoquer l'achat du livre. Je n'étais pas un grand amateur de BD (j'en été
resté aux hyper-classiques) et j'ai eu un sorte d'illumination (sans aller
jusqu'au chemin de Damas). Cette œuvre m'a profondément touché. Sa
sincérité, son impudeur, sa justesse. J'ai aussi aimé le trait, le dessin. Bien sûr
certaines choses m'ont parfois agacé mais dès refermé, j'ai vraiment eu envie
de connaître la suite. Merci Fabrice
Il faut bien dire que la lecture du "Journal" de Fabrice Neaud ne laisse pas de marbre, même s'il faut lire ce type d'ouvrage avec un certain recul.
Tout d'abord une petite rectification : Fabrice Neaud appelle ça son "journal" alors qu'il ne traite vraiment que d'une partie de son quotidien. A savoir : l'amour qu'il ressent pour un de ses amis, amour non partagé.
A partir du moment où l'"action" se déroule pendant près de 20 mois (février 92 - septembre 93) mais que la vie au quotidien du narrateur n'est évoquée que brievement pour se concentrer sur une relation particulière, peut-on parler d'un journal ?
Graphiquement, il est indéniable que l'auteur possède les techniques graphiques pour exprimer ce qu'il ressent. C'est très bien fait.
Là où je me pose une autre question, c'est s'il s'agit véritablement de BD. Je m'explique : la plupart du temps, les vignettes représentent plus des poses, des sentiments, des "points de vue" que des actions. A mon avis, il s'agit plus d'illustration que de BD à proprement dit.
D'ailleurs il n'y a pas vraiment d'actions, mais plutôt des dialogues ou des monologues. On nous raconte ce qu'il s'est passé, on ne nous le montre pas.
C'est ce qui est frappant avec ce premier tome : on ne sort jamais de la tête de l'auteur. On ne voit que les évènements avec ses yeux et son esprit. Il n'y a pas de représentation, plutôt des interprétations.
C'est surtout pour cela que cet album est si particulier : il est difficile au lecteur de sortir de la vision du narrateur pour juger par lui-même de la réalité et du fondement de ce qu'on lui présente. Comment interpréter si c'est l'interprétation qu'on nous donne et non les évènements ?
Quoi qu'il en soit, je conseille quand même la lecture... pour les amateurs du genre bien sûr