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Les livres d'Hugo Pratt me sont toujours tombés des mains, du moins les Corto Maltese que j'ai tentés (j'essaie de ne pas rester sur un échec donc je relis régulièrement, chez les copains de préférence, des livres que je n'ai pas aimés quelques années auparavant). Et là je me suis dit : bah.. allez, le déclic c'est peut-être pour maintenant ?
Que dalle. Si c'était un film je serais parti de la salle au bout d'un quart d'heure. Là, avec toute ma meilleure volonté du monde qui m'appartient dans lequel je vis, j'ai refermé l'histoire à la page 7.
L'intrigue ? Un croisement plus ou moins conscient entre un James Bond (ça commençait mal, de toute manière, ça non plus je n'ai jamais pu rester jusqu'à la fin) et un Fantôme du Bengale, le charme de Ray Moore en moins. Les évènements tombent du ciel, le lecteur est bombardé de postulats (le héros est gentil et surtout très très fort. Les méchants en ont une peur bleue et ils ne la ramènent pas, sauf le général qui envoie des jouets_ d'où le titre_ mécaniques vachement balèzes). Et quand l'éléphant géant est arrivé et que l'ombre qui marche (c'est le nom du héros, hé oui) monte dedans, ben là j'ai décroché.
Le dessin ?... J'ai décroché aussi. Je ne comprends toujours pas pourquoi Pratt est considéré (comme Breccia, excusez du peu !) comme un maître du noir et blanc. à ce compte-là je préfère 10 fois aller lire un Risso ou un Toppi. Allez j'arrête là, je réessaierai un Corto d'ici une dizaine d'années, peut-être que mes goûts auront évolué. Tiens, du coup je m'adresse aux connaisseurs, par lequel faut-il commencer pour avoir une chance de trouver ça comestible ?
Les livres d'Hugo Pratt me sont toujours tombés des mains, du moins les Corto Maltese que j'ai tentés (j'essaie de ne pas rester sur un échec donc je relis régulièrement, chez les copains de préférence, des livres que je n'ai pas aimés quelques années auparavant). Et là je me suis dit : bah.. allez, le déclic c'est peut-être pour maintenant ?
Que dalle. Si c'était un film je serais parti de la salle au bout d'un quart d'heure. Là, avec toute ma meilleure volonté du monde qui m'appartient dans lequel je vis, j'ai refermé l'histoire à la page 7.
L'intrigue ? Un croisement plus ou moins conscient entre un James Bond (ça commençait mal, de toute manière, ça non plus je n'ai jamais pu rester jusqu'à la fin) et un Fantôme du Bengale, le charme de Ray Moore en moins. Les évènements tombent du ciel, le lecteur est bombardé de postulats (le héros est gentil et surtout très très fort. Les méchants en ont une peur bleue et ils ne la ramènent pas, sauf le général qui envoie des jouets_ d'où le titre_ mécaniques vachement balèzes). Et quand l'éléphant géant est arrivé et que l'ombre qui marche (c'est le nom du héros, hé oui) monte dedans, ben là j'ai décroché.
Le dessin ?... J'ai décroché aussi. Je ne comprends toujours pas pourquoi Pratt est considéré (comme Breccia, excusez du peu !) comme un maître du noir et blanc. à ce compte-là je préfère 10 fois aller lire un Risso ou un Toppi. Allez j'arrête là, je réessaierai un Corto d'ici une dizaine d'années, peut-être que mes goûts auront évolué. Tiens, du coup je m'adresse aux connaisseurs, par lequel faut-il commencer pour avoir une chance de trouver ça comestible ?