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C’est une reprise dans l’univers des super-héros avec une superbe détective de l’agence Alias. Rien à voir avec la série qui a fait les beaux jours au début des années 2000 avec un réalisateur J.J. Abrams qui allait véritablement se révéler comme l’un des meilleurs de sa génération.
En l’espèce, je n’ai pas du tout aimé ni le dessin qui est très fade, ni le scénario qui semble inexistant à force de multiplier les clins d’œil aux autres super-héros de la galaxie (Dr Strange, la Justice League…). Je ne savais pas que Spiderwoman existait. Me voilà rassuré.
Ce titre n’apportera rien de neuf. Nous avons droit à une héroïne qui ne sert à rien dans des aventures qui sont pas cohérentes, ni crédibles. Je suis d’ailleurs assez surpris par la campagne promotionnelle qui entoure ce titre en le louant comme un indispensable de la culture comics d’une héroïne pas comme les autres. Il faut dire que ce comics a inspiré une nouvelle série sur Netflix.
Plus de dix ans après la fin d’Alias – une des premières séries matures publiées en 2001 par Marvel sur son label Max Comics – et probablement bien aidée par le récent portage par Netflix du personnage sur petit écran, Jessica Jones et ses auteurs reprennent du service (Jessica Jones 2016, #1-6).
Le lien avec Alias n’est pas seulement évident du fait de son personnage principal mais aussi parce que l’on retrouve avec Jessica Jones le même scénariste (Brian M. Bendis), le même dessinateur (Michael Gaydos), le même coloriste (Matt Hollingsworth) et jusqu’aux aquarelles en couverture de David Mack. Si le dessin est aujourd’hui plus précis et les couleurs plus nuancées, il est particulièrement plaisant de retrouver tous ces auteurs pour un design et une caractérisation inchangés du personnage, le même art de mener une conversation, la même ambiance noire et urbaine et les mêmes intrigues toujours plus proches du polar que du véritable comics de super-héros.
Dans ce premier tome, Jessica Jones sort de prison et n’aspire qu’à retrouver une vie normale avec sa fille loin de sa vie de couple chaotique et de ses démêlés tant avec les super-vilains qu’avec les super-héros. L’introspection du personnage, son réalisme, son humanité et la richesse des dialogues rendent la série très prenante. A conseiller en particulier à ceux qui ont aimé le run de Bendis & Maleev sur Daredevil.
Il faut noter enfin la grande place accordée aux femmes dans cette série : outre l’héroïne, sa cliente et son adversaire du jour, on retrouve aussi Misty Knight, Spider-Woman, Captain Marvel et quelques autres personnages de second plan. Un casting très majoritairement féminin qui compense malgré tout assez peu le fait que les femmes continuent d’être les grandes absentes des comics de super-héros.
C’est une reprise dans l’univers des super-héros avec une superbe détective de l’agence Alias. Rien à voir avec la série qui a fait les beaux jours au début des années 2000 avec un réalisateur J.J. Abrams qui allait véritablement se révéler comme l’un des meilleurs de sa génération.
En l’espèce, je n’ai pas du tout aimé ni le dessin qui est très fade, ni le scénario qui semble inexistant à force de multiplier les clins d’œil aux autres super-héros de la galaxie (Dr Strange, la Justice League…). Je ne savais pas que Spiderwoman existait. Me voilà rassuré.
Ce titre n’apportera rien de neuf. Nous avons droit à une héroïne qui ne sert à rien dans des aventures qui sont pas cohérentes, ni crédibles. Je suis d’ailleurs assez surpris par la campagne promotionnelle qui entoure ce titre en le louant comme un indispensable de la culture comics d’une héroïne pas comme les autres. Il faut dire que ce comics a inspiré une nouvelle série sur Netflix.
Plus de dix ans après la fin d’Alias – une des premières séries matures publiées en 2001 par Marvel sur son label Max Comics – et probablement bien aidée par le récent portage par Netflix du personnage sur petit écran, Jessica Jones et ses auteurs reprennent du service (Jessica Jones 2016, #1-6).
Le lien avec Alias n’est pas seulement évident du fait de son personnage principal mais aussi parce que l’on retrouve avec Jessica Jones le même scénariste (Brian M. Bendis), le même dessinateur (Michael Gaydos), le même coloriste (Matt Hollingsworth) et jusqu’aux aquarelles en couverture de David Mack. Si le dessin est aujourd’hui plus précis et les couleurs plus nuancées, il est particulièrement plaisant de retrouver tous ces auteurs pour un design et une caractérisation inchangés du personnage, le même art de mener une conversation, la même ambiance noire et urbaine et les mêmes intrigues toujours plus proches du polar que du véritable comics de super-héros.
Dans ce premier tome, Jessica Jones sort de prison et n’aspire qu’à retrouver une vie normale avec sa fille loin de sa vie de couple chaotique et de ses démêlés tant avec les super-vilains qu’avec les super-héros. L’introspection du personnage, son réalisme, son humanité et la richesse des dialogues rendent la série très prenante. A conseiller en particulier à ceux qui ont aimé le run de Bendis & Maleev sur Daredevil.
Il faut noter enfin la grande place accordée aux femmes dans cette série : outre l’héroïne, sa cliente et son adversaire du jour, on retrouve aussi Misty Knight, Spider-Woman, Captain Marvel et quelques autres personnages de second plan. Un casting très majoritairement féminin qui compense malgré tout assez peu le fait que les femmes continuent d’être les grandes absentes des comics de super-héros.