Jeremiah
37. La bête
Une BD de Hermann chez Dupuis - 2019
09/2019 (27 septembre 2019) 45 pages 9791034737130 Format normal 374972
Lorsque Jeremiah et Kurdy débarquent dans un patelin perdu entouré de prés où paissent des moutons, ils ne souhaitent que boire un coup et si possible se refaire un peu de blé au poker dans le premier bar potable. Mais les terres agraires du coin ne sont rien d'autre qu'une lande immense laissée en friche et à peine surveillée par des bergers. Or, des bêtes sauvages et féroces dévastent les troupeaux et attaquent les humains depuis quelques temps. Virna, jeune bergère qui semble être en froid avec la loi, emmène Jeremiah et son comparse dans le... Lire la suite
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Mais où est donc Hermann. Scénario pauvre pas beaucoup de corps des dessins parfois bâclés! Le rêve n'y est plu! Une fin pour la série serai à envisager! Exemple Kurdy tue Jeremiah pour toucher une Prime que le demi-frère de Jeremiah offre car il n'a jamais digéré le fait de la mort de ces parents tués pour avoir mentis à BIRMINGHAM son Père....
Du vu et du revu!
Après deux albums de qualité médiocre, un opus qui redresse légèrement la barre avec un "scénario" plus présent.
Les avis précédents résument bien les grandes lignes de ce que vaut "Jérémiah" aujourd'hui: à savoir une série qui aurait dû s'arrêter depuis un moment ou reprise par de nouveau auteurs.
Un trois étoiles parce qu'on retrouve les codes de Jérémiah.
Mais effectivement, c'est plutôt plan-plan.
Le titre du dernier album m'avait laissé penser que c'était le dernier.
On a quand même l'impression qu'on a fait le tour de la question.
L'homme est la créature la plus nuisible qui existe sur terre. C'est pas faux, on à compris mais peut être est il temps d'envisager un vrai renouvellement, ou de s'arrêter. Reste le dessin , que j'adore toujours autant.
un peu mieux, mais franchement, on fait beaucoup mieux ailleurs.
Tome 37 : il y a longtemps que l'auteur aurait du changer de série...
Je trouve l’avis d'Aegedius sévère. Les dernières péripéties de Jeremiah et Kurdy sont toutes construites sur un principe identique mais le rythme de ce dernier album est bon comparé au deux précédents très très décevants.
Hermann nous gratifie d'un album bien au-dessus du précédent mais sans pour autant atteindre des sommets. Le dessin est toujours de qualité mais le scénario (car il y en a un) n'est pas extraordinaire. C'est du classique et ça ronronne. On sent un vrai essoufflement dans cet univers où il n'y a plus aucun enjeu. On arrive sur un format "monster of the week", où le schéma narratif est toujours le même, seule la menace change. Dans un monde de pop-culture post -apo qui joue sur le fil rouge et les intrigues longues et complexes, le format one-shot des aventures de Jeremiah fait de plus en plus daté et perd beaucoup en intérêt. Mais le plus gros problème dans cet album, est le manque complet d'enjeu d'un point de vue des personnages. D'une part, nos deux héros vivent chacun l'aventure de leur côté et leurs interactions sont très limitées, ce qui fait perdre au duo sa force narrative. D'autre part, on ne les sent jamais en danger. Sûrs d'eux, déroulant des plans sans accrocs, dominant l'ennemi par la force et la ruse, tout déroule sans aucune surprise ni ressort dramatique. "Kurdy et moi sommes des errants... réflexe de survie, alors on a le regard qui se balade" : voilà résumé en une bulle tout le fond de ce qu'est devenue la série. Celui qui est le plus baladé, c'est le lecteur... Si vous êtes fan de la série, vous prendrez un peu de plaisir à retrouver Jeremiah et Kurdy, sinon, passez votre chemin.
Un très bon Jeremiah qui reprend les codes du western où des personnes convoitent les terres d’autres personnes. Le dessin d’Hermann est toujours aussi bon. Le scénario n’est pas non plus à se rouler par terre mais le bonheur de retrouver Kurdy et Jeremiah dans une histoire qui se tient vraiment est un vrai plaisir.