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Une thématique qui pourrait faire peur au premier abord...
Pourtant, l’album de Clara Vialletelle (dessins) et de Titiane Vorano (scénario) fait partie de ces BD récentes, comme TED, drôle de Coco (2018) ou Des maux à dire (2023), qui permettent de sortir des stéréotypes sur les troubles mentaux et l’internement... En s’appuyant sur des expériences vécues.
Clara Vialletelle met ainsi en images le séjour de Titiane dans une clinique de « santé mentale »... Deux mois finalement très positifs pour elle, ce qui m'a un peu surpris, je dois bien l'avouer.
C’est d’ailleurs écrit en gras dans le titre : Titiane n’est pas folle et elle fait d'ailleurs confiance au corps médical pour guérir, pour reprendre une vie normale. Il n’en demeure pas moins qu’elle a de vraies difficultés psychologiques et qu’elle doit donc passer par des étapes difficiles - effets secondaires des médicaments par exemple - avant de sortir de l’hôpital. Le soutien de ses proches s’avère également crucial dans sa rémission.
Dans ce cadre, les dessins de Clara Vialletelle sont en parfaite harmonie avec le sujet : le trait noir – quels yeux magnifiques - rehaussé de violet - symbole d’une profonde mélancolie – est ponctué de dessins pastels – en particulier un animal récurent, le tigre, qui représente en fait son TAG, sa maladie invisible.
En résumé, un magnifique album, plein d’humour, de légèreté, qui démystifie la clinique psychiatrique... Même si je ne peux m’empêcher de penser que tout le monde n’est pas logé à la même enseigne - la qualité des cliniques est inégale, il manque souvent de la place et il est très dur de se sevrer de certains médicaments etc. - et qu’il vaut mieux ne pas en arriver là... D’où l’importance d’apprendre à lâcher prise.
Il n’en demeure pas moins que cette BD biographique, plus qu’instructive...
Une thématique qui pourrait faire peur au premier abord...
Pourtant, l’album de Clara Vialletelle (dessins) et de Titiane Vorano (scénario) fait partie de ces BD récentes, comme TED, drôle de Coco (2018) ou Des maux à dire (2023), qui permettent de sortir des stéréotypes sur les troubles mentaux et l’internement... En s’appuyant sur des expériences vécues.
Clara Vialletelle met ainsi en images le séjour de Titiane dans une clinique de « santé mentale »... Deux mois finalement très positifs pour elle, ce qui m'a un peu surpris, je dois bien l'avouer.
C’est d’ailleurs écrit en gras dans le titre : Titiane n’est pas folle et elle fait d'ailleurs confiance au corps médical pour guérir, pour reprendre une vie normale. Il n’en demeure pas moins qu’elle a de vraies difficultés psychologiques et qu’elle doit donc passer par des étapes difficiles - effets secondaires des médicaments par exemple - avant de sortir de l’hôpital. Le soutien de ses proches s’avère également crucial dans sa rémission.
Dans ce cadre, les dessins de Clara Vialletelle sont en parfaite harmonie avec le sujet : le trait noir – quels yeux magnifiques - rehaussé de violet - symbole d’une profonde mélancolie – est ponctué de dessins pastels – en particulier un animal récurent, le tigre, qui représente en fait son TAG, sa maladie invisible.
En résumé, un magnifique album, plein d’humour, de légèreté, qui démystifie la clinique psychiatrique... Même si je ne peux m’empêcher de penser que tout le monde n’est pas logé à la même enseigne - la qualité des cliniques est inégale, il manque souvent de la place et il est très dur de se sevrer de certains médicaments etc. - et qu’il vaut mieux ne pas en arriver là... D’où l’importance d’apprendre à lâcher prise.
Il n’en demeure pas moins que cette BD biographique, plus qu’instructive...
...Est finalement très rassurante.