Jazz Maynard
7. Live in Barcelona
Une BD de Raule et Roger chez Dargaud - 2019
09/2019 (20 septembre 2019) 46 pages 9782505070986 Grand format 372120
Préparant son prochain concert au Cave Canem, Jazz s'entraîne avec sa trompette à l'histoire si particulière. Voulant faire la promotion de l'événement, Lucia lui propose de répondre à quelques questions le concernant. Mais Jazz est réticent. Du côté de Teo, celui-ci a rejoint Judas pour une partie de poker. Mais des malfrats armés font irruption, tuent l'Oncle Raimundo et prennent la fuite en emportant l'argent des jeux. Cette mort soudaine afflige tout le monde, surtout Jazz, Teo et Judas, qui devaient beaucoup à cet homme. Empli de haine et... Lire la suite
Dernier album de cette excellente série.
Maynard flirte plus que jamais entre sa vie "légale" de musicien et sa vie interlope de voleur.
Son choix sera orienté par sa fidélité à sa famille.
Un final surprenant, peut être un peu moraliste.
Il est vraiment dommage que Roger produise à chacun des albums des couvertures très peu engageantes pour qui n’aurait pas encore fait connaissance avec Jazz Maynard. Sa colorisation tout à fait dispensable écrase la puissance de ses dessins et la spécificité de l’exercice « couverture » lui échappe. Il se fait plaisir mais le rôle d’accroche de la couverture n’est pas rempli. Vraiment dommage et quand on voit la place du dernier tome de cette série d’exception dans les ventes d’albums cela confirme que la communication autour du cambrioleur trompettiste est bien en-deça d]e ce qu’elle devrait être…
Retour à El Raval pour Jazz et Téo après leur périple islandais. Là, dans la chaleur des nuits barcelonaises Jazz s’apprête à sortir son premier album… si son passé lui en laisse le temps. Car lorsque l’on est aussi de la rue il est difficile de s’en couper définitivement…
Ce Live in Barcelona est un Requiem. Un étonnant objet qui sonne comme le chant du cygne d’une série que ses auteurs n’ont pas vu évoluer et qu’ils n’ont pas su comment clôturer. Fermant en un one-shot trop court deux trilogies très différentes mais ô combien ébouriffantes il commence sur une note optimiste, sorte de tombé de rideau revenant au titre de la série et au nom d’un personnage que l’on n’a que trop peu vu jouer de l’instrument… avant de se précipiter en une poursuite mortifère. On y revoit des têtes familières, le commissaire, la clocharde, les grands-parents, mais trop vite, fugacement et sans lendemain. La question se pose alors dès l’étonnante dernière page: fallait-il ce dernier album? Ou plutôt ne fallait-il pas rester sur un rythme ternaire? [...]
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