Le janitor
2. Week-end à Davos
Une BD de
Yves Sente
et
François Boucq
chez Dargaud
- 2007
Sente, Yves
(Scénario)
Boucq, François
(Dessin)
Gérard, Sébastien
(Couleurs)
Boucq, François
(Couleurs)
11/2007 (23 novembre 2007) 46 pages 9782505001348 Grand format 68822
Suite à sa dernière mission exemplaire, Vince, jeune recrue du service de protection et des renseignements extérieurs de la Curie, se voit invité à rejoindre le très secret Corps des Janitors. Ils sont 12 dans le monde à faire partie de ce service spécial de l'Église. Ils ne se connaissent pas. Ils ne peuvent pas se rencontrer. Trias, le troisième Janitor, vient de disparaître. Vince va reprendre sa place devenue vacante... Sa première mission est d'accompagner et de surveiller deux prélats lors d'une réunion parallèle au Forum économique mondial... Lire la suite
Ce tome 2 de Janitor lance notre héros dans une mission de protection de représentants du Saint-Siège à la conférence de Davos.
S’en suivra une tentative de délit d’initié, à grande échelle, orchestrée par les ennemis du parti du bien.
Ça reste bien tant pour le dessin (agréable) que pour le scénario (prévisible dans son dénouement mais toujours agréable).
Se lit donc agréablement.
Vince, devenu un janitor, a pour mission d’accompagner à Davos deux prélats en charge des finances du Vatican, et donc de l’Eglise catholique. Ses supérieurs redoutent que l’un des prélats ne soit pas exactement un vertueux chrétien.
A Davos, beaucoup de rencontres informelles et discrètes se tiennent à l’abri de la presse et d’éventuels manifestants.
Les deux éminences, leurs secrétaires respectifs et leur garde du corps se retrouvent dans un hôtel avec quelques-uns des plus gros banquiers du monde… Lorsque la Troisième Guerre mondiale éclate…
Critique :
La mise en place dans le premier tome trouve ici son développement sur fond d’apocalypse dans un des plus reculés et sauvages coins de Suisse, dans les Grisons. La série due à l’imagination d’Yves Sente tient bien ses promesses. Toutefois, je suis curieux de voir comment, par quelle magie, l’auteur va expliquer les apparitions d’une petite fille qui arrive toujours à point nommé pour sortir Vince de l’embarras.
On n’est pas loin des aventures d’un James Bond vaticanisé. Le tout se laisse lire même si certains trouveront les dialogues trop longs.
S’il est presque plus bavard que le premier (ou au moins autant), j’ai préféré ce second tome.
Explication et action se mêlent de façon assez fluide, il y a du mystère, une excellente idée avec cette réunion, une bonne explication finale avec une chouette présentation des pouvoirs de renseignement du Vatican, du mystère avec cette petite fille…
Les dessins restent très efficaces…
Bref, très bien.
A cours d'idée dans mes achats, je fais pas mal de magasins d'occase et suis tombé sur cette série.
Le dessin de Boucq s'adapte mal aux scénes d'actions et j'ai trouvé qqs erreurs d'échelles sur les dessins des voitures.
Au dela de ça c'est tout bon, même si certaines cases pourraient être enrichies de détails.
Coté scénario, je n'avais rien lu de Sente. J'ai été agréablement surpris par le premier tome: choix du théme, mélange des genres. Le second tome est un peu plus tiré par les cheveux et copie qqs idées à 007.
Je lirais la suite sans bouder mon plaisir, même si il ne restera pas inoubliable.
Envoyé à Davos, Vince, l'espion du Vatican, est pris dans un étrange traquenard avec tous les autres invités. Une machination semble être mise au point pour mettre la finance internationale à plat.
Cela fonctionne, et des pistes sont ouvertes pour un développement de la série centrée sur le personnage principal. Cette série doit toutefois capitaliser sur sa force: ne pas sombrer dans un enieme "Da Vinci Code".
Vivement la suite quand meme.
Une histoire originale, tournant dans le domaine de l'église mélangé avec du suspence, un peu comme les templiers modernes.
Ce deuxième album est un peu mieux car l'histoire est plus riche en action et aussi parceque les colueurs sont plus claires( il suffit de voir la couverture), malgré que le dessin de Boucq ne m'attire pas énormément.
James Bond au pays du Vatican. Voilà tout est dit, rien ne manque dans cette série, du bon scénario, un dessin typique et vous retrouverez tout ce que l'on aime chez M. Bond : poursuites en voiture, poursuites sur neige, complot international, hôtesse d'un soir, espionnage en pagaille,... Une bonne série à lire et à relire.
Je découvre cette serie avec ce tome. Le janitor suit des personnes du Vatican a Davos pour les proteger. La ils tombent sur une machination qui sera dejouee par le heros. Autant dire que la machination, on y croit pas un seul instant, contrairement aux convives. La trame est interessante, plutot bien ficelée, sans etre des plus passionnantes. Le tout est desservi par un dessin correct.
Si le premier tome a pris son temps pour démarrer, ce second tome, qui clôt ce premier cycle, ne comporte aucun temps mort. Et il se termine sur une question : qui est vraiment Vince ?
Le dessin de Boucq me semble un poil en dessous de celui de Bouncer, mais reste excellent. Sente confirme son statut de grand scénariste et signe avec Le Janitor une série très prometteuse. Le choix du héros est vraiment très original.
Vivement la suite !
Ce deuxième épisode nous emmène tambour battant au centre d'une affaire de délit d'initiés à grande échelle où le Vatican semble impliqué. Vince va devoir puiser dans ses ressources pour venir à bout du complot. Le scénario et les dialogues sont bien ficelés. Si les planches bien que très classiques reste de bonne facture, les traits des personnages sont un peu "rustiques". Hormis cette réserve cette série est agréable à lire.
Un tome riche en idées et rondement menée
Clotûre de ce premier cycle : j'attends la suite !!!
L'histoire prend son envol, les éléments abordés dans le tome 1 s'emboitent pour former l'intrigue de ce tome 2. L'histoire est plutôt sympa et franchement on ne s'ennui pas. C'est une bd à lire assurément.