Le janitor
INT. Intégrale
Une BD de
Yves Sente
et
François Boucq
chez Dargaud
- 2022
Sente, Yves
(Scénario)
Boucq, François
(Dessin)
Boucq, Alexandre
(Couleurs)
Gérard, Sébastien
(Couleurs)
Marquebreucq, Bérengère
(Couleurs)
03/2022 (25 mars 2022) 280 pages 9782505114024 Grand format 445009
À l'aube du XXIème siècle, le Secrétariat d'État du Vatican décide de créer le service des Janitores : « Les Gardiens de la Porte » selon le dictionnaire latin. Les « Concierges » selon le langage courant anglo-saxon. Les deux termes conviennent assez bien à ces hommes, finalement. Ils protègent et nettoient les coulisses du Saint-Siège de la manière la plus discrète qui soit. Ils sont douze et ne sont remplacés que lorsque l'un d'eux décède. Lorsque le récit démarre, Trias, le troisième Janitor, vient de disparaître au cours d'une mission. Le... Lire la suite
Opus inégaux mais toujours bien rythmés et intéressants, je reste sur ma faim (fin). Dommage de ne pas avoir plus de réponses aux questions en suspens ! Le tome 2 est un pur chef d’œuvre. 4/5 pour l’ensemble de la série.
J’ai passé un agréable moment … c’est enlevé, plaisant, imaginatif.
On ne s’ennuie pas … une bonne BD de divertissement.
Sorte de James Bond moderne mais au service du Vatican, nous suivons l'histoire de Vince qui va devoir assurer entre protection de membres ecclésiastiques, filatures, course-poursuites, le tout en démêlant sa jeunesse qui paraît très floue au premier abord.
Cette série réussit à mêler des thématiques et questionnements intéressantes telles que la mondialisation, la réunion des puissants de ce monde à Davos, la puissance financière et religieuse du Vatican… Des membres du IIIe Reich seront également de la partie, de même que sombres sociétés secrètes ayant des desseins tout aussi sombres pour l'humanité.
Boucq rend un très bonne copie des dessins et le découpage est dynamique, on ne s'ennuie pas une seconde.
Un élément fantastique apparaît à plusieurs reprises permettant à notre héros de se sortir de situations où normalement il aurait dû mourir. Le procédé est utilisé plusieurs fois et s'apparente à de la facilité scénaristique bas de gamme (on appelle cela un "deus ex machina" dans le jargon).
Cette édition intégrale comprend les cinq volets existant formant un premier cycle laissant la porte ouverte à des suites qui ne verront probablement jamais le jour, et ce n'est peut-être pas une mauvaise chose.
Sympathique et divertissant comme pourrait l'être un film de James Bond.