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C’est sous une couverture inédite que j’avais découvert "Le testament de Sibérie", initialement paru en 1974, et réédité par les éditions "des ronds dans l’O" . On a souvent reproché à René Follet de ne pas s’attacher les services d’un scénariste digne de son talent. Pourtant en aucun cas le dessin de René Follet était en cause, au contraire, il était le principal atout de ces bandes dessinées. Ici, un scénario simple mais efficace, une course poursuite dans les steppes enneigées de Sibérie, une histoire d’amitié de vengeance, un monde viril dans une nature hostile, le tout magnifiquement mis en image par René Follet. Tout au long de l’histoire, des personnages tout en couleur (je pense notamment à Stepim), assez stéréotypés tout de même (par exemple, Vassili, l’archétype du méchant) mais qui viennent apporter une touche d’humour à cette histoire (voir l’épisode de la réserve de viande).
Le dessin et l’intrigue sont certes datés voire un peu désuets mais j’ai aimé retrouver l’ambiance des petits formats, en noir et blanc, de mon enfance. Cet opus possède certes un charme désuet mais dans cette expression il ne faut pas oublier le mot "charme". Un petit bémol, c’est l’erreur sur le quatrième de couverture concernant la recherche du testament : il ne s’agit pas du testament du père d’Ivan Zourine mais celui du père de Mickaël Mistirine. Une réédition de qualité, une histoire qui nous entraînent dans l’hiver Sibérien, le tout servi par un beau dessin de René Follet.. que demander de mieux ?
C’est sous une couverture inédite que j’avais découvert "Le testament de Sibérie", initialement paru en 1974, et réédité par les éditions "des ronds dans l’O" . On a souvent reproché à René Follet de ne pas s’attacher les services d’un scénariste digne de son talent. Pourtant en aucun cas le dessin de René Follet était en cause, au contraire, il était le principal atout de ces bandes dessinées. Ici, un scénario simple mais efficace, une course poursuite dans les steppes enneigées de Sibérie, une histoire d’amitié de vengeance, un monde viril dans une nature hostile, le tout magnifiquement mis en image par René Follet. Tout au long de l’histoire, des personnages tout en couleur (je pense notamment à Stepim), assez stéréotypés tout de même (par exemple, Vassili, l’archétype du méchant) mais qui viennent apporter une touche d’humour à cette histoire (voir l’épisode de la réserve de viande).
Le dessin et l’intrigue sont certes datés voire un peu désuets mais j’ai aimé retrouver l’ambiance des petits formats, en noir et blanc, de mon enfance. Cet opus possède certes un charme désuet mais dans cette expression il ne faut pas oublier le mot "charme". Un petit bémol, c’est l’erreur sur le quatrième de couverture concernant la recherche du testament : il ne s’agit pas du testament du père d’Ivan Zourine mais celui du père de Mickaël Mistirine. Une réédition de qualité, une histoire qui nous entraînent dans l’hiver Sibérien, le tout servi par un beau dessin de René Follet.. que demander de mieux ?