Insiders
12. L'option lybienne
Une BD de
Jean-Claude Bartoll
et
Munch
chez Dargaud
- 2019
Bartoll, Jean-Claude
(Scénario)
Munch
(Dessin)
Charrance, Jocelyne
(Couleurs)
Munch
(Couverture)
Garreta, Renaud
(Autres)
06/2019 (14 juin 2019) 46 pages 9782205079371 Format normal 368453
Après l'attentat contre Air Force One, Najah trouve refuge en Libye et doit organiser un trafic de drogue destiné à financer Al Qaïda. Pour sauver sa peau la belle insider va être confrontée à des choix de plus en plus cornéliens, d'autant que le directeur du FBI a maintenant un terrible compte personnel à régler avec elle, et que le cartel des cartels n'a pas dit son dernier mot. Un épisode final explosif, une course contre la mort savamment orchestrée par Jean-Claude Bartoll et exécuté brillamment par Munch qui signe ici le dessin de son deuxième... Lire la suite
Un album de bonne facture : Dessin correct, scénario qui avance, avec de bons rebondissements...
J'aime beaucoup les cycles courts qui permettent de terminer un chapitre en quelques albums tout en avançant dans l'intrigue principale.
Les dessins ne sont pas terribles.
La série est trop longue.
Le scénario peu crédible.
Et on nous annonce un 3ème cycle.
Encore un album au rythme très soutenu qui conclut ce second cycle.
Le conseil des mafias transnationales a été démantelé et le traître, le sénateur Donavan, capturé malgré sa tentative échouée de suicide (il ne doit pas être dans un bel état quand même).
Quant à Najah, elle va être victime d’un tueur que Juliette, la survivante du conseil des mafias, a lancé à sa poursuite. Tom Windows, le conseiller pour la sécurité nationale auprès du président des USA, dévoile le projet insiders au président. Tom Windows sait que Najah a toujours agi dans le but de réussir sa mission, et cela malgré l’assassinat de sa propre fille, et pourtant il a donné l’ordre de la tuer.
A la fin du Deuxième cycle beaucoup pensent que Najah est morte, mais elle n’est morte que d’un œil (qu’elle ouvre à la dernière case).
Le graphisme de Munch est correct et il fait le job même s’il est en dessous du niveau de Renaud Garreta lors du premier cycle.