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Jouer les imposteurs pour se retrouver dans un monde de bourgeois oisif et ainsi échapper à la misère sociale, c'est le postulat de départ de cette série qui se déclinera en trois actes à la manière d'une pièce de théâtre. Le dessin est assez épuré et minimaliste. On l'oubliera vite au profit de la mise en scène avec des personnages qui jouent leur rôle avec une certaine élégance.
J'ai bien aimé la psychologie qui en fait une oeuvre plus mâture que la moyenne. Cependant, il est dommage que le troisième tome vienne tout gâcher par une improbable histoire d'achat de tableau censé punir les mafieux de service. Et pourtant, notre héros imposteur n'est pas vraiment très clean. La subtilité qui était de mise se transforme en quelque chose de plus vulgaire avec un happy end de circonstance.
Il restera néanmoins de cette lecture des réflexions plus vraies que nature sur le fait par exemple que chacun joue un rôle dans la société.
Certains auteurs ont le pouvoir de vous émerveiller par des ambiances suaves et envoûtantes. Christian Cailleaux fait partie de ceux-là.
"Les Imposteurs" est un récit au scénario subtile et agréable. Dans un climat tout à fait unique, l'auteur nous raconte les mésaventures d'un docker qui d'une manière involontaire devient Albert Fenta, écrivain célèbre de son état. Cet homme comprend vite que c'est pour lui une opportunité à ne pas laisser passer.
C'est bien écrit et on se demande vraiment où va nous conduire cette imposture. Certains personnages laissent encore planer des doutes sur leur importance dans la trame de l'histoire. Par exemple, le barman qui me semble bien mystérieux et qui s'amuse à fuir devant certaine questions trop pertinentes. Et puis cette jeune fille que l'on voit en début d'album ainsi qu'aux pages 38-39. Elle aura sûrement un rôle déterminant par la suite .
Le dessin de Cailleaux est lui tout à fait particulier mais il s'y dégage beaucoup de finesse et de justesse. Je pense que c'est grâce, en majeur partie, à ce graphisme si singulier que l'album est ce qu'il est. Certaines planches nous plongent parfois dans une atmosphère un peu suréaliste. Cela nous permet de mieux cerner le sens artistique de l'auteur.
Voici donc un album qui vous fera découvrir des saveurs différentes mais qui sont franchement dignes d'interêt.
A conseiller !
Jouer les imposteurs pour se retrouver dans un monde de bourgeois oisif et ainsi échapper à la misère sociale, c'est le postulat de départ de cette série qui se déclinera en trois actes à la manière d'une pièce de théâtre. Le dessin est assez épuré et minimaliste. On l'oubliera vite au profit de la mise en scène avec des personnages qui jouent leur rôle avec une certaine élégance.
J'ai bien aimé la psychologie qui en fait une oeuvre plus mâture que la moyenne. Cependant, il est dommage que le troisième tome vienne tout gâcher par une improbable histoire d'achat de tableau censé punir les mafieux de service. Et pourtant, notre héros imposteur n'est pas vraiment très clean. La subtilité qui était de mise se transforme en quelque chose de plus vulgaire avec un happy end de circonstance.
Il restera néanmoins de cette lecture des réflexions plus vraies que nature sur le fait par exemple que chacun joue un rôle dans la société.
Certains auteurs ont le pouvoir de vous émerveiller par des ambiances suaves et envoûtantes. Christian Cailleaux fait partie de ceux-là.
"Les Imposteurs" est un récit au scénario subtile et agréable. Dans un climat tout à fait unique, l'auteur nous raconte les mésaventures d'un docker qui d'une manière involontaire devient Albert Fenta, écrivain célèbre de son état. Cet homme comprend vite que c'est pour lui une opportunité à ne pas laisser passer.
C'est bien écrit et on se demande vraiment où va nous conduire cette imposture. Certains personnages laissent encore planer des doutes sur leur importance dans la trame de l'histoire. Par exemple, le barman qui me semble bien mystérieux et qui s'amuse à fuir devant certaine questions trop pertinentes. Et puis cette jeune fille que l'on voit en début d'album ainsi qu'aux pages 38-39. Elle aura sûrement un rôle déterminant par la suite .
Le dessin de Cailleaux est lui tout à fait particulier mais il s'y dégage beaucoup de finesse et de justesse. Je pense que c'est grâce, en majeur partie, à ce graphisme si singulier que l'album est ce qu'il est. Certaines planches nous plongent parfois dans une atmosphère un peu suréaliste. Cela nous permet de mieux cerner le sens artistique de l'auteur.
Voici donc un album qui vous fera découvrir des saveurs différentes mais qui sont franchement dignes d'interêt.
A conseiller !