Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Les cookies sur Bedetheque.com :
Nous respectons votre vie privée, et n'utilisons que des cookies internes indispensables au fonctionnement du site.
En savoir plus Fermer
Noir et dérangeant. Voilà les mots qui me semblent caractériser ce cycle fantastique en 5 tomes. Le dessin (on a envie de dire la peinture), la mise en page, les couleurs volontairement ternes et à la palette réduite, tout cela forme un ensemble cohérent et original qui plonge le lecteur dans un univers oppressant... où il ne tarde pas à s’égarer ! Car le scénario est d’une complexité qui s’apparente à un puzzle dans lequel viennent s’imbriquer des références à Lovecraft (le mythe de Cthulhu) et à la légende du Hollandais Volant (le Vaisseau fantôme). Alors, on aime ou pas, on se laisse prendre ou non. Pour ma part, à partir du tome 3, j’ai commencé à décrocher pour finir par ne plus rien comprendre à l’histoire que j’étais en train de lire, confondant même certains personnages. Le style nerveux de Sorel contribue à cette confusion tout comme le télescopage des lieux et des époques. On ne sait plus très bien où l’on est (Venise, Ostende, la Mer du Nord, l’Ile des Morts...), ni quand. Et l’histoire se « termine » de la façon la plus nébuleuse qui soit, avec des phylactères flottants qui ne se relient plus aux personnages, laissant au lecteur le soin d’imaginer ce qu’il veut. En conclusion, l’Ile des Morts est une œuvre atypique et forte. Mais il me semble que ses auteurs n’ont pas réussi à la maîtriser suffisamment. Peut-être, après tout, est-ce cela qui plaira à certains ?
Le style de Sorel est fascinant. L'ïle des morts est un voyange dans les ténèbres de l'esprit, l'ambiance est lugubre mais hypnotique, l'histoire maintient une tension continue, même si les derniers tômes font dans l'abstraction intensive. Comment se rendre physiquement sur "l'ïle des morts" telle que peinte par Arnold Böcklin...
Cette série m'a ouvert au monde de la peinture, et je ne m'en remettrai jamais.
Noir et dérangeant. Voilà les mots qui me semblent caractériser ce cycle fantastique en 5 tomes. Le dessin (on a envie de dire la peinture), la mise en page, les couleurs volontairement ternes et à la palette réduite, tout cela forme un ensemble cohérent et original qui plonge le lecteur dans un univers oppressant... où il ne tarde pas à s’égarer ! Car le scénario est d’une complexité qui s’apparente à un puzzle dans lequel viennent s’imbriquer des références à Lovecraft (le mythe de Cthulhu) et à la légende du Hollandais Volant (le Vaisseau fantôme). Alors, on aime ou pas, on se laisse prendre ou non. Pour ma part, à partir du tome 3, j’ai commencé à décrocher pour finir par ne plus rien comprendre à l’histoire que j’étais en train de lire, confondant même certains personnages. Le style nerveux de Sorel contribue à cette confusion tout comme le télescopage des lieux et des époques. On ne sait plus très bien où l’on est (Venise, Ostende, la Mer du Nord, l’Ile des Morts...), ni quand. Et l’histoire se « termine » de la façon la plus nébuleuse qui soit, avec des phylactères flottants qui ne se relient plus aux personnages, laissant au lecteur le soin d’imaginer ce qu’il veut. En conclusion, l’Ile des Morts est une œuvre atypique et forte. Mais il me semble que ses auteurs n’ont pas réussi à la maîtriser suffisamment. Peut-être, après tout, est-ce cela qui plaira à certains ?
Le style de Sorel est fascinant. L'ïle des morts est un voyange dans les ténèbres de l'esprit, l'ambiance est lugubre mais hypnotique, l'histoire maintient une tension continue, même si les derniers tômes font dans l'abstraction intensive. Comment se rendre physiquement sur "l'ïle des morts" telle que peinte par Arnold Böcklin...
Cette série m'a ouvert au monde de la peinture, et je ne m'en remettrai jamais.