Il faut flinguer Ramirez
2. Acte 2
Une BD de Nicolas Petrimaux chez Glénat (Glénat comics) - 2020
11/2020 (02 décembre 2020) 179 pages 9782344018743 Autre format 405500
Qui parviendra à flinguer... la rockstar du S. A. V. ? Falcon City est en émoi. Le lancement du Vacuumizer 2000 s’est transformé en une scène de crime macabre. L’inspecteur Eddy Vox est persuadé que le coupable n’est autre que Jacques Ramirez, un salarié de la Robotop fraîchement nommé « employé de l’année ». Quant aux hommes du cartel de Paso del Rio, ils n’ont pas dit leur dernier mot... C’est avec l’aide inattendue de deux célébrités en cavale que Ramirez parvient à leur fausser compagnie ! Alors qu’il avait planifié un week-end mémorable à... Lire la suite
Oh yeah, Ramirez est de retour! Je viens de terminer le tome 2 et franchement, c'est décoiffant, c'est rythmé, c'est drôle, ça pète de partout...
Cet acte est tout aussi bon, voire meilleur, que l'acte 1.
Le début de cette suite se situe exactement à l'endroit où le précédent tome nous avait laissés.
Le scénario est toujours aussi excellent, nous passons d'une révélation à l'autre, d'un étonnement à l'autre.
Dans ce tome, nous pouvons basculer de l'humour à la mélancolie, car OUI hélas, ce personnage a malheureusement perdu la vie (sniff, sniff, pourquoi Nicolas Pétrimaux a anéanti un rêve qui aurait pu être).
Les scènes d'action sont toujours aussi spectaculaires. Les dialogues restent aussi bien élaborés, certaines scènes et publicités sont hilarantes avec de nombreux clins d'œil.
En ce qui concerne l'aspect graphique, on retrouve la continuité du tome précédent. Les couleurs, d'une intensité chaude, nous plongent dans la chaleur de l'action. Grâce à la mise en scène des vignettes et à la mise en page, nous nous retrouvons plongés au cœur de l'action d'un film. Les doubles planches nous émerveillent, la mise en page est un véritable plaisir pour nos petits yeux.
Pour tous ceux qui ont été séduits par le premier, sautez sur la suite.
Une fois de plus, j'ai passé un excellent moment avec M. Ramirez. Je suis vraiment impatient de découvrir le troisième et dernier tome de la série.
Je suis plutôt déçu par ce tome n°2 de la série. Le dynamisme du tome n°1 a disparu. A mon avis, les auteurs ont manqué d'inspiration pour le scénario. Il eu été plus judicieux de sortir le tome n°2 après avoir bâti une oeuvre pouvant égaler le tome n°1. On a là un album que je considère comme bâclé et sorti avec trop de précipitation. Dommage, les auteurs nous avaient habitué à mieux.
Le silence qui entoure Ramirez commence à s’éclaircir. On aspire jamais totalement son passé. Un grain de poussière peut faire ressurgir un mouton de problèmes.
Dans une course insensée, les vies s’arrêtent aussi rapidement qu’un bon rock énergique. Star sous couvert pour renouer avec les feux de la rampe, hommage là où tout a basculé.
De la pellicule au papier, des pleines enneigées aux étendus désertiques, il y a du Fargo des frères Coen dans cette histoire.
J’avais tardé à me lancer dans cette série, un préjugé, une impression que ce n’était pas pour moi. La lecture du tome 1 m’avait ouvert les yeux. Il me fallait lire le 2 au plus vite, c’est chose faite. Le petit cinéma de Nicolas Petrimaux fonctionne toujours aussi bien. C’est toujours aussi déjanté, dynamique, explosif, drôle…Mais pour autant le scénario tient bien la route et les quelques infos distillées dans ce tome 2 maintiennent l’intérêt pour la suite….car le mystère reste présent et on se pose encore pas mal de questions sur ce héros improbable.. Qui est donc vraiment Jacques Ramirez ?
Au final on passe quand même un sacré bon moment, L’univers de cette série peut plaire à tout le monde, et le dessin n’est pas en reste, c’est beau, coloré, les scènes d’action sont impressionnantes.
Laisse-toi embarquer par Jacques Ramirez, tu ne le regretteras pas !
Tout d'un coup, je me rends compte que je n'ai pas laissé d'avis sur le Tome1, désolé ... Mais il y en a tellement et bien sûr je lui donne 5sur5.
Pour m'excuser, je dois avouer que je l'ai offert comme cadeau à plein de personnes, aussi je ne culpabilise pas trop!
Et dire que je n'ai même pas eu 10% sur l'achat du T2 : désolant ;) !!!!!
Plus sérieusement : bien sûr, j'attendais avec délectation l'arrivée de ce nouvel opus! Mais ... j'ai été déçu.
Il y a bien sûr le délire permanent, les planches toutes de qualité, avec des détails. Mais je n'ai pas aimé le déroulement de l'histoire. C'est bien plus gore que le premier tome, même si c'est traité "à la Tarantino" , mais quand c'est trop, c'est trop pour moi! La scène dans le garage, par exemple.
Par ailleurs, contrairement au premier tome, je n'ai pas senti de fil conducteur dans cet album.
Autant dans le premier il y avait une énigme qui se déroulait tout le long des pages: Qui était ce Ramirez? Que lui voulaient ces gangsters? Qui les trucidaient au fur et à mesure qu'ils tentaient de s'approcher de lui? Y aurait-il méprise sur le personnage?
Dans ce second tome, ça tue à tout va sans qu'on comprenne pourquoi. Sans que rien s'entrouvre sur qu'est-ce qui fait qu'il est maintenant muet (ou refuse de parler)? Pourquoi il porte une alliance? Pourquoi, tout d'un coup sans crier gare, ce groupe de rock que ses collègues et lui ont créé? C'est quoi son histoire entre le début dans cet hôtel où il reprend les "affaires" de son père et quand on le retrouve Star des réparateurs d'aspirateur?
Pour tout avouer, que l'auteur et/ou l'éditeur se rassurent : En mémoire du tome1, j'achètera le dernier opus car j'espère une réponse à tous ces mystères!
Mais ça ne sera pas grâce à ce tome2 que j'ai trouvé trop moyen, comme si, après la décharge de délires contenus depuis longtemps chez l'auteur et traduits dans le tome1, il avait dû forcer le trait pour ce second opus.
Nicolas Petrinaux a du talent, il sait mettre en image ses histoires. Après avoir lu le tome 1, on ne pouvait qu'attendre la suite.
Petite déception. En effet, même si le récit reste enlevé, que le trait apparait toujours aussi dynamique et que le côté pastiche semble avoir le bon goût de ne pas être (encore) trop écœurant, on a malgré tout la fâcheuse impression que l'auteur commence déjà à légèrement tourner en rond. L'album n'est pour autant pas raté mais des réglages doivent être effectués pour ne pas tomber dans le pastiche toc à la Stranger Things (saison 3).
Courage, monsieur Petrimaux, nous attendons les suites et sommes certain de la qualité de votre (futur) travail!
Toujours aussi décalé, toujours aussi rythmé, toujours aussi bon !
Un tome 2, nous dévoile un peu plus sur notre réparateur d'aspirateur..
Vivement la suite.....
Désolé, c'est une boucherie en continu, je déteste ce genre. on est loin des bandes dessinées des années 80. Malheureusement le cinéma a prit cette tournure depuis plusieurs années.
J'ai littéralement dégusté cette DB sur plusieurs jours. un vrai régal a touts les niveaux. J' y retourne juste pour le plaisir des yeux
Impossible de faire la moinde remarque négative : c'est une tuerie !
Le plaisir ! Rien que le plaisir ! N'est ce pas le but d'une bd ? N'en déplaise a certains, chipoteur, expert autoproclamé des perspectives et autre analyse...Cette Bd emporte, fais rire et sourire...du plaisir je vous dit...!
C'est vraiment une tuerie dans tous les sens du terme !!!
à lire et relire, soucis du détail excellent
vivement l'acte 3 ( 4, 5 ..... :-) )
BRAVO monsieur Petrimaux et MERCI
C'est du dessin numérique; et alors ? Le rendu est bluffant et me satisfait pleinement. Ajoutez-y un scénario "tarantinesque" et explosif à souhait et vous obtenez une BD de pur divertissement de tout premier plan. Lecture vivement conseillée !
Un deuxième acte encore plus barré, encore plus explosif et encore plus puissant que le premier.
Plus qu'une simple BD, c'est un véritable film que l'on découvre.
Il y a une somptueuse mise en scène dont les plans, les cadrages, les découpages et les mouvements donnent une fluidité dans la lecture, telle que l'on a du mal a quitter les pages des yeux, comme on aurait du mal à quitter un écran de cinéma.
Les rebondissements judicieusement placés rendent ce deuxième acte vivant, mais dont l'issue heureuse des protagonistes semble au contraire bien proche de la mort.
Ajoutons à tout cela une colorisation maitrisée qui sublime les décors et l'ambiance sud américaine des années 90.
Il s'en dégage une atmosphère qui nous prend aux tripes.
Entre la BD, le Comics, le roman graphique et le cinéma, Il Faut Flinguer Ramirez est un ovni du 9ème art, qui a su embarquer tout le monde dans son univers.
Le 3ème et dernier acte, d'ore et déjà très attendu, annonce à n'en pas douter une conclusion épique.
Comme le dit Nicolas Pétrimaux lui-même, IFFR est plus un « static picture », autrement dit un film dessiné, qu’une BD.
J’aime bien, mais je ne fais pas partie du fan club de cette esthétique de jeux vidéo appliquée au 9ème art. Le dessin numérique a son intérêt mais il ne fait pas tout. Or, ce graphisme ostentatoire en met tellement plein la vue qu’il a tendance à l’emporter sur l’histoire. Histoire qui, il faut le dire, possède une qualité majeure : son rythme frénétique, créé par une mise en scène inventive. Ce tempo parfaitement maitrisé est un modèle du genre.
Pour le scenario en lui-même, on a 80% de boum boum et d’enrobage – effets de cadrages, de perspectives et de couleurs, tous très efficaces – et 20% d’un récit relativement pauvre, truffé de gimmicks et de situations loufoques, qui, au delà de son allant, ne débouche sur rien de très consistant pour l’instant. Je passe sur les fausses pubs à l’humour assez bas du front ; ce genre de conneries ne me fera jamais rire mais je reconnais que c’est stylé et que ça donne une identité forte à l’ensemble.
Le défaut principal, pour moi, est de n’avoir pas créé de véritable héros à cette histoire. Ramirez est quand même un peu neuneu et aucun personnage n’émerge du lot à part peut-être Ramon, le tueur, que sa capacité à ne pas mourir rend intéressant. Mais ce choix narratif m’a semblé discutable car finalement, la double ou triple vie de Ramirez devient secondaire, et la maigre intrigue finie noyée sous la pyrotechnie et les couches de vernis.
3 étoiles pour l'ambiance, la beauté des planches ET le boulot monumental que cela représente. Mais visuellement spectaculaire ne veut pas dire révolutionnaire... Au vu du battage médiatique hallucinant dont elle bénéficie, cette série est quand même largement surcotée, un peu comme les films de Tarantino desquels elle s’inspire. Un divertissement de luxe, flatteur pour la rétine, mais dénué de réflexion, de finesse, de toute profondeur. Ça tombe bien, c’est apparemment exactement ce que voulais faire Pétrimaux : « Un truc d’action qui ne se prend pas la tête » a-t-il dit en interview.
Moi, il m’en faut quand même un peu plus pour déchainer mon enthousiasme…
Notre réparateur d'aspirateur Jacques Ramirez est enfin de retour pour un second tome survitaminé et dynamique. Il faut dire que la rock star du service après-vente de Robotop nous avait un peu manqué. Pour autant, n'oublions pas le titre : il faut le flinguer !
Personnellement, j'aime bien ce personnage muet assez sympathique qui me fait penser au défunt chanteur John Scatman dont d'ailleurs j'avais acheté son unique album (ski-ba-bop-ba-dop-bop). Je m'attends toujours à ce qu'il prononce des mots mais non, il reste sans parole ce qui constitue en soi une vraie prouesse notamment pour le déroulé de ce récit. Le dessin nous permet de faire ressentir toutes les émotions notamment quand il retrouve son père qui veille sur lui.
Le sang va encore couler et cela sera parfois assez triste de perdre notamment un personnage auquel on commençait à s'attacher. Il faut dire que ces tueurs du cartel ne font pas dans la dentelle. On arrive aussi à percevoir un peu plus d'éléments du passé pour comprendre les enjeux de l’intrigue présente.
J'ai adoré toutes ces trouvailles qui renvoi aux années 80 avec ces clins d’œil à Madonna par exemple ou à ces acteurs de film d'action totalement débiles qui ne savait aligner deux mots intelligents lors d'interview.
Le premier tome avait été un franc-succès révélant le talent d'un nouveau venu dans le monde de la bande dessinée à savoir Nicolas Petrimaux. Ce second volet était assez attendu au tournant. On se situe dans la continuité avec une parfaite maîtrise du récit, du dessin, des plans de cadrage et de ces articles et photos publicitaires qui ponctuent habilement les différents chapitres. Et puis, beaucoup d'adrénaline. C'est un pur bonheur !
Petit conseil : ignorez les commentaires "des critiques du dimanche" dont la sempiternelle frustration est le moteur et n'hésitez pas si vous souhaitez passer un agréable moment devant cette délicieuse BD.
Il ne reste plus qu'un dernier tome. On l'attend déjà avec impatience.
Que dire, ce qui me chiffonne le plus ce n'est pas l'histoire que je trouve très sympas, mais plutôt les dessins.
Est ce que sans l'aide d'une tablette cet auteur aurait été capable d'avoir ce niveau ? loin de moi l'idée que ce monsieur ne sait pas dessiner. Quand je vois les perspectives des villes des bâtiments, des scènes en intérieur. je me dit que l'idée vient plus du logiciel qui peut proposer différents angles de vue que des perspectives imaginé par l'auteur.
Les objets tv, ampli , panneau etc...c'est tellement parfait que je n'imagine pas ça avec du travail "traditionnel" mais encore la possibilité numérique de façonner et déplacer en "un click" des objets parfaits, et ensuite à déplacer un personnage dans différents contextes ?
Les couleurs ouais c'est beaux mais c'est encore du numérique, est ce que l'auteur est en réalité capable de créer ses atmosphères au demeurent très belles sans une tablette ?
Attention ce sont des questions que je me pose en toute légitimité sans vouloir dénigrer le travail accompli.
En fait c'est en cherchant des planches originales de ses dessins sur internet pour mieux rendre compte de son travail que j'ai appris qu'il travaillait sur tablette. Exit l'original place au pdf ...
Certaines cases les décors c'est du copier collé c'est quand même dommage.
Un vrai bon dessinateur ? ou un vrai bon dessinateur numérique ?
ENORME! Rien à redire!! L'ambiance! Les couleurs! "Les pubs"!^^ Les scènes sur 2 pages! Du rythme quoi!!
quelle claque! couleur et rythme
au risque de répéter ce qui a déjà été dit ou écrit : cette BD "dépoussière" le genre. il faut absolument la lire et se faire son idée et ne surtout pas feuilleter 3,4 planches par curiosité. Il est important d'être prit dans le rythme de l'histoire et les actions qui s'enchainent au fil de ces 2 excellents tomes.
les personnages n'ont rien d'exceptionnels mais le scenario et la mise en scène sont top
Un "film dessiné" excellent qui met un coup de vieux à la BD traditionnelle.
Le scénario, le dessin, la mise en scène, la photo, la couleur, rien n'est à jeter.
Foncez!!!
Une BD dont beaucoup d’auteurs devraient y prendre quelques " leçons " , comment faire un album.
Tout comme le vol. 1 , le vol. 2 est juste une réussite à tout point de vue
Je voulais mettre 3 étoiles, mais j'en mets 4 à l'arrivée : car cette série est très addictive.
C'est bien réalisé, il y a un gros travail derrière, respect Mr Petrimaux.
Maintenant, on veut la suite !!!
après une longue attente le tome 2 a finit par arriver.
j'avoue ne pas être déçu par cette histoire plus proche d'un film d'action que d'une bande dessinée.
les dessins ne sont pas toujours parfaits mais certaine scènes sont vraiment très réussies et parfaitement cadrées comme dans un film en fait.
les couleurs sont encore parfaitement adaptées.
le scénario quand à lui dévoile petit à petit ce qu'est réellement Ramirez très loin d'être un simple réparateur d'aspirateurs.
vraiment du très bon mais qui peut déstabiliser les habitués du style Hergé.
enfin la suite ! mais pas la fin ! il faudra attendre le tome 3 (snif). une très très bonne suite, avec toujours autant d'actions et une façon de raconté et de mettre en page extra, je crois que l'on assiste à un nouveau genre de BD qui donne l'impression de voir un film.
une étoile en moins pour moi car quelque élément ajouté par l'auteur que je n'approuve pas, mais ce n'est pas moi qui écrit.