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Je suis pas fan du tout des dessins que je ne trouve pas lisibles, j'ai du mal à m'attacher à des personnages aussi peu figuratifs.
L'histoire est un peu tiré par les cheveux, et j'ai du mal à m'intéresser à ces personnages trop éloignés de moi.
Bref je ne pense pas aller plus loin, mais c'est un jugement apparemment pas partagé puisque certains crient au génie.
Tous les gouts sont dans la nature !
J'ai lu uniquement le 1er tome et je ne vais pas aller plus loin. Je ne suis décidément pas trop fan de ce genre d'illustration, genre de roman graphique. A lire, certes, mais pour amateur du genre, seulement.
C’est en achetant par hasard un livre à un demi euro que Rabaté est tombé amoureux et a décidé d’adapter en BD cette histoire écrite par un homonyme de Tolstoï. Et il faut bien avouer qu’après lecture de ce premier tome on peut difficilement lui en vouloir d’avoir adapté cette histoire.
On se retrouve à Petrograd en 1917 au début de la révolution russe. Tous les russes sont nerveux et inquiets, sauf un : Siméon Nevzorof ! Car Siméon va enfin pouvoir accomplir la destinée qu’une tzigane lui avait prédit il y a quatre an : vivre des aventures incroyables et devenir riche quand le reste du pays sera en guerre.
C’est stimulé (voir incité) par cette prédiction qu’il va scruter la misère qui commence à l’entourer, à l’affût de la moindre opportunité pour s’enrichir et tirer profit du malheur des autres. On va suivre les aventures et les rencontres de cet anti-héros, qui tel un charognard va lâchement profiter de la guerre qui l’entoure.
Une ambiance de guerre, de désolation et de misère qui est admirablement retransmise grâce à un dessin sublime en noir et blanc.
Un dessin somptueux, une perception de la révolution russe plus qu’originale avec un anti-héros qui perçoit l’arrivée de cette guerre comme un gigantesque casino qui s’avance vers lui et d’où il est certain de ressortir gagnant car une tzigane l’a lu dans ses mains : il est né sous le signe d’IBICUS.
Une oeuvre magnifique, les tribulations d'un homme qui doit avoir tout les défauts du monde, sur un fond de révolution russe très sanglante et sans pitiée.
Des dessins réellement somptueux et très vivant qui racontent a eux seul toute l'histoire. Même si l'ensemble est assez pessimiste, tout cela s'avère une excellente lecteure.
Nous sommes en Russie, au début du mois d'octobre 1917, ça bouge, on sent la révolution arriver...
Là, Siméon Nevzorof, comptable, sourit. Pourquoi ? Parce qu'une tzigane lui a prédit au paravent que lorsque la Russie serait à feu et à sang, il deviendrait riche.
A travers ces 4 tomes, nous allons donc suivre les aventures de Siméon Nevzorof, antihéros par excellence.
Cet homme est un profiteur, il est à l'affût de la moindre occasion pour tirer profit du malheur des autres. Jamais il ne lui prendrait d'aider quelqu'un sans avoir besoin de lui.
D'un autre côté, il est lâche et jamais il ne fera directement du mal à son prochain, jamais il ne se battra pour défendre ses intérêts, il préfèrera la fuite...
Pour nous raconter tout ça, Pascal Rabaté peint. Toutes les planches de cette bd sont des peintures. Il n'y a pas beaucoup de texte, le dessin est parfaitement utiliser pour raconter l'histoire.
Je trouve le premier tome d'une énorme richesse, tant au niveau du scénario qui est très dense que du dessin que je trouve tout simplement superbe.
Je crois que n'importe quelle planche de cette bd pourrait être encadrées et affichées. Si vous n'aimez pas ce tome, ça ne sert à rien de continuer, je ne pense pas que la suite vous fasse changer d'avis.
En effet, je trouve que les tomes suivants sont un ton en dessous, mais vu la qualité du premier, la tâche était dure.
D'une part au niveau du dessin : je crois que Rabaté a fait évoluer sa technique histoire de ne pas faire sans arrêt la même chose et au final, dans les tomes 3 et 4, ses planches me paraissent moins belles, moins fines au niveau du coup de pinceau ce qui rend la lecture par moment un peu difficile.
D'autre part au niveau du scénario : le premier tome est très dense et plein de rebondissement, c'est la grande aventure. Ensuite, c'est plus accès sur les déboires de Siméon Nevzorof qui va alterner les hauts et les bas. Au début, on le voit croquer à pleines dents dans cette nouvelle vie qui s'offre à lui et petit à petit, il ne va plus rien maîtriser pour devenir complètement esclave de son destin. Il fait même de la peine. C'est une ordure mais en même temps tellement un "loser" qu'il en est attendrissant, très attachant et c'est au final une des forces du récit.
Je vous recommande donc cette série. Elle apporte tellement d'originalité et de qualités sans sombrer dans l'illisible et le pénible que ce fut pour moi un plaisir immense.
Je suis pas fan du tout des dessins que je ne trouve pas lisibles, j'ai du mal à m'attacher à des personnages aussi peu figuratifs.
L'histoire est un peu tiré par les cheveux, et j'ai du mal à m'intéresser à ces personnages trop éloignés de moi.
Bref je ne pense pas aller plus loin, mais c'est un jugement apparemment pas partagé puisque certains crient au génie.
Tous les gouts sont dans la nature !
J'ai lu uniquement le 1er tome et je ne vais pas aller plus loin. Je ne suis décidément pas trop fan de ce genre d'illustration, genre de roman graphique. A lire, certes, mais pour amateur du genre, seulement.
C’est en achetant par hasard un livre à un demi euro que Rabaté est tombé amoureux et a décidé d’adapter en BD cette histoire écrite par un homonyme de Tolstoï. Et il faut bien avouer qu’après lecture de ce premier tome on peut difficilement lui en vouloir d’avoir adapté cette histoire.
On se retrouve à Petrograd en 1917 au début de la révolution russe. Tous les russes sont nerveux et inquiets, sauf un : Siméon Nevzorof ! Car Siméon va enfin pouvoir accomplir la destinée qu’une tzigane lui avait prédit il y a quatre an : vivre des aventures incroyables et devenir riche quand le reste du pays sera en guerre.
C’est stimulé (voir incité) par cette prédiction qu’il va scruter la misère qui commence à l’entourer, à l’affût de la moindre opportunité pour s’enrichir et tirer profit du malheur des autres. On va suivre les aventures et les rencontres de cet anti-héros, qui tel un charognard va lâchement profiter de la guerre qui l’entoure.
Une ambiance de guerre, de désolation et de misère qui est admirablement retransmise grâce à un dessin sublime en noir et blanc.
Un dessin somptueux, une perception de la révolution russe plus qu’originale avec un anti-héros qui perçoit l’arrivée de cette guerre comme un gigantesque casino qui s’avance vers lui et d’où il est certain de ressortir gagnant car une tzigane l’a lu dans ses mains : il est né sous le signe d’IBICUS.
Ce premier tome est un petit bijou !
C'est un chef d'oeuvre.
Il n'y a pas d'autres mots.
Une oeuvre magnifique, les tribulations d'un homme qui doit avoir tout les défauts du monde, sur un fond de révolution russe très sanglante et sans pitiée.
Des dessins réellement somptueux et très vivant qui racontent a eux seul toute l'histoire. Même si l'ensemble est assez pessimiste, tout cela s'avère une excellente lecteure.
Nous sommes en Russie, au début du mois d'octobre 1917, ça bouge, on sent la révolution arriver...
Là, Siméon Nevzorof, comptable, sourit. Pourquoi ? Parce qu'une tzigane lui a prédit au paravent que lorsque la Russie serait à feu et à sang, il deviendrait riche.
A travers ces 4 tomes, nous allons donc suivre les aventures de Siméon Nevzorof, antihéros par excellence.
Cet homme est un profiteur, il est à l'affût de la moindre occasion pour tirer profit du malheur des autres. Jamais il ne lui prendrait d'aider quelqu'un sans avoir besoin de lui.
D'un autre côté, il est lâche et jamais il ne fera directement du mal à son prochain, jamais il ne se battra pour défendre ses intérêts, il préfèrera la fuite...
Pour nous raconter tout ça, Pascal Rabaté peint. Toutes les planches de cette bd sont des peintures. Il n'y a pas beaucoup de texte, le dessin est parfaitement utiliser pour raconter l'histoire.
Je trouve le premier tome d'une énorme richesse, tant au niveau du scénario qui est très dense que du dessin que je trouve tout simplement superbe.
Je crois que n'importe quelle planche de cette bd pourrait être encadrées et affichées. Si vous n'aimez pas ce tome, ça ne sert à rien de continuer, je ne pense pas que la suite vous fasse changer d'avis.
En effet, je trouve que les tomes suivants sont un ton en dessous, mais vu la qualité du premier, la tâche était dure.
D'une part au niveau du dessin : je crois que Rabaté a fait évoluer sa technique histoire de ne pas faire sans arrêt la même chose et au final, dans les tomes 3 et 4, ses planches me paraissent moins belles, moins fines au niveau du coup de pinceau ce qui rend la lecture par moment un peu difficile.
D'autre part au niveau du scénario : le premier tome est très dense et plein de rebondissement, c'est la grande aventure. Ensuite, c'est plus accès sur les déboires de Siméon Nevzorof qui va alterner les hauts et les bas. Au début, on le voit croquer à pleines dents dans cette nouvelle vie qui s'offre à lui et petit à petit, il ne va plus rien maîtriser pour devenir complètement esclave de son destin. Il fait même de la peine. C'est une ordure mais en même temps tellement un "loser" qu'il en est attendrissant, très attachant et c'est au final une des forces du récit.
Je vous recommande donc cette série. Elle apporte tellement d'originalité et de qualités sans sombrer dans l'illisible et le pénible que ce fut pour moi un plaisir immense.