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La couverture n'est pas vraiment attirante et ne reflète en rien la qualité de ce shojo. Il faudra passer ce premier obstacle pour découvrir une série qui ma foi est intéressante avec du rythme et des rétournements de situations imprévisibles. Narita est le personnage central de cette histoire, une fille qui est toujours prête à aider les autres et à commencer par sa soeur qui se fourre sans le savoir dans des ennuis.
Ce manga est vraiment plaisant à lire. Cependant, il ne sera pas aussi hot que cela. On découvre plutôt l'univers des shataku, ce genre de résidence fermée genre HLM construit par une compagnie à l'usage de ses employés. Cela peut vite devenir un enfer en ayant pour voisin tous les collègues et surtout les supérieurs hiérarchiques de ses parents. La moindre gaffe et le père de notre héroïne pourrait se retrouver muté perdu à l'autre bout du pays. Il y a toute une dimension sociale plutôt instructive à découvrir.
L'auteur nous offre une histoire d'amour et de haine, où les méchants et les gentils ne sont pas toujours ceux que l'on croît et où l'on mesure le poids de la hiérarchie japonaise.
Hatsumi vit dans un ensemble d'habitations gérées par la société dans laquelle travaille son père. Madame Tachibana, la femme du PDG, y règne ainsi en maîtresse implacable. Un jour, Hatsumi fait une grosse bourde en faisant tomber un test de grossesse pour sa petite soeur, pile devant Ryoki, le fils Tachibana, un jeune garçon particulièrement cruel et insensible. Il décide alors de faire chanter Hatsumi : si elle ne veut pas qu'il révèle son secret à sa mère, la jeune fille devra devenir son "esclave" et obéir au moindre de ses ordres. Mais l'amour ne s'inviterait-il pas dans l'air ? Sans compter le retour du séduisant Azusa, un ami d'enfance rempli de bienveillance... Pour un lecteur occidental, "Hot Gimmick" pourrait s'avérer assez étrange et incompréhensible. Car il faut bien avoir à l'esprit des spécificités propres à la culture japonaise, comme l'importance cruciale de la réputation familiale, ce qui explique comment Hatsumi peut accepter de céder face au chantage (à priori pas si important que ça) de Ryoki. Mais il faut reconnaître qu'il est difficile de s'attacher à ces personnages, entre une héroïne consternante de maladresse et de passivité, ou d'autres personnages tout simplement détestables. Le fait que Ryoki considère avant tout Hatsumi comme un objet pour s'initier à la sexualité, s'avère également assez dérangeant par moment. Sans compter un dessin tout ce qu'il y a de plus quelconque. Un premier tome assez faible.
La couverture n'est pas vraiment attirante et ne reflète en rien la qualité de ce shojo. Il faudra passer ce premier obstacle pour découvrir une série qui ma foi est intéressante avec du rythme et des rétournements de situations imprévisibles. Narita est le personnage central de cette histoire, une fille qui est toujours prête à aider les autres et à commencer par sa soeur qui se fourre sans le savoir dans des ennuis.
Ce manga est vraiment plaisant à lire. Cependant, il ne sera pas aussi hot que cela. On découvre plutôt l'univers des shataku, ce genre de résidence fermée genre HLM construit par une compagnie à l'usage de ses employés. Cela peut vite devenir un enfer en ayant pour voisin tous les collègues et surtout les supérieurs hiérarchiques de ses parents. La moindre gaffe et le père de notre héroïne pourrait se retrouver muté perdu à l'autre bout du pays. Il y a toute une dimension sociale plutôt instructive à découvrir.
L'auteur nous offre une histoire d'amour et de haine, où les méchants et les gentils ne sont pas toujours ceux que l'on croît et où l'on mesure le poids de la hiérarchie japonaise.
Hatsumi vit dans un ensemble d'habitations gérées par la société dans laquelle travaille son père. Madame Tachibana, la femme du PDG, y règne ainsi en maîtresse implacable. Un jour, Hatsumi fait une grosse bourde en faisant tomber un test de grossesse pour sa petite soeur, pile devant Ryoki, le fils Tachibana, un jeune garçon particulièrement cruel et insensible. Il décide alors de faire chanter Hatsumi : si elle ne veut pas qu'il révèle son secret à sa mère, la jeune fille devra devenir son "esclave" et obéir au moindre de ses ordres. Mais l'amour ne s'inviterait-il pas dans l'air ? Sans compter le retour du séduisant Azusa, un ami d'enfance rempli de bienveillance... Pour un lecteur occidental, "Hot Gimmick" pourrait s'avérer assez étrange et incompréhensible. Car il faut bien avoir à l'esprit des spécificités propres à la culture japonaise, comme l'importance cruciale de la réputation familiale, ce qui explique comment Hatsumi peut accepter de céder face au chantage (à priori pas si important que ça) de Ryoki. Mais il faut reconnaître qu'il est difficile de s'attacher à ces personnages, entre une héroïne consternante de maladresse et de passivité, ou d'autres personnages tout simplement détestables. Le fait que Ryoki considère avant tout Hatsumi comme un objet pour s'initier à la sexualité, s'avère également assez dérangeant par moment. Sans compter un dessin tout ce qu'il y a de plus quelconque. Un premier tome assez faible.