Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Les cookies sur Bedetheque.com :
Nous respectons votre vie privée, et n'utilisons que des cookies internes indispensables au fonctionnement du site.
En savoir plus Fermer
Excellent début de série, un univers complexe et bien construit, très original esthétiquement et fascinant. Des personnages intéressants dont le dessin manque un peu de fluidité mais très attachants. Critique de la religion technique et du mécanicisme à la Descartes, avec en fond un problème d'énergie et de mouvement perpétuel très actuels, que l'on découvre au fil des albums de la série. Une de mes bd préférées
Le dessin n'est absolument pas le point fort de cette Bd, c'est le moins qu'on puisse dire. Il reste figé et les couleurs sont vraiment ternes.
Je n'ai pas été fasciné par la soi disante beauté de l'architecture et des machines.
C'est vrai que je viens de lire De Cape et de Crocs et que la comparaison ne souffre d'aucune photo. Si seulement les personnages étaient attachants ! Cependant, c'est loin d'être le cas...
Il est vrai que l'univers à la fois bureaucratique et mécanique ainsi décrit est très singulier et mérite toute notre attention. Le scénario se veut complexe en opposant la société civile au pouvoir religieux mais en réalité il réside plus en une course permanente. Les explications données par les personnages pour expliquer leur ralliement ou leur trahison ne sont pas très convaincants.
Horologiom demeure néanmoins une série iconoclaste qui mérite d'être au moins une fois lue.
Comme le dit si bien "minot" rien de transcendant dans cet album. Je n'y vois même pas de parallèle avec les œuvres citées. C'est original certes tant pour les dessins que pour les couleurs utilisées, ce qui fait d'une bande dessinée un œuvre originale, mais je n'ai vraiment pas apprécié cet album, je l'ai trouvé mou, sans grand intérêt, il y aurait certes un peu de 1984 mais bon c'est étrangement rythmé. On dirait également qu'au niveau du dessin les auteurs cherchaient un peu de Nef des Fous sans réussite. Je suis un peu déçu. J'ai le tome 2, 3 et 4 et je n'ai même pas envie de les lire...
Dans cette dictature plusieurs factions tentent d’arriver ou de rester au pouvoir. La police religieuse espionne le moindre de vos gestes et de vos paroles. Quand soudain, Mariulo, personne sans clef, déboule à Horologiom. Toute la ville est tourneboulée. Quoi, impossible de remonter cette personne ? La remettre dans le droit chemin ! Inadmissible. Dessins superbes et histoire originale.
Quelque part entre « Le meilleur des mondes », « Brazil », « 1984 » et « Le roi et l’oiseau », voici HOROLOGIOM ! Dans une cité imaginaire où toute la vie sociale et religieuse est régie par les lois de la mécanique, ayant pour résultat une déshumanisation complète de ses habitants, un être humain extérieur à la cité fait irruption, mettant ainsi en péril l’ordre et les fondements de la société d‘HOROLOGIOM. Ce premier tome n’est guère transcendant: un scénario convenu, un univers peu original, un rythme poussif, des personnages caricaturaux … bref rien de très exaltant. Quant au dessin, si le style tout en rigidité et en précision colle bien avec le thème de cette série, j’avoue qu’il ne me séduit pas plus que ça. Bref, la série démarre mollement.
Excellent début de série, un univers complexe et bien construit, très original esthétiquement et fascinant. Des personnages intéressants dont le dessin manque un peu de fluidité mais très attachants. Critique de la religion technique et du mécanicisme à la Descartes, avec en fond un problème d'énergie et de mouvement perpétuel très actuels, que l'on découvre au fil des albums de la série. Une de mes bd préférées
Le dessin n'est absolument pas le point fort de cette Bd, c'est le moins qu'on puisse dire. Il reste figé et les couleurs sont vraiment ternes.
Je n'ai pas été fasciné par la soi disante beauté de l'architecture et des machines.
C'est vrai que je viens de lire De Cape et de Crocs et que la comparaison ne souffre d'aucune photo. Si seulement les personnages étaient attachants ! Cependant, c'est loin d'être le cas...
Il est vrai que l'univers à la fois bureaucratique et mécanique ainsi décrit est très singulier et mérite toute notre attention. Le scénario se veut complexe en opposant la société civile au pouvoir religieux mais en réalité il réside plus en une course permanente. Les explications données par les personnages pour expliquer leur ralliement ou leur trahison ne sont pas très convaincants.
Horologiom demeure néanmoins une série iconoclaste qui mérite d'être au moins une fois lue.
Comme le dit si bien "minot" rien de transcendant dans cet album. Je n'y vois même pas de parallèle avec les œuvres citées. C'est original certes tant pour les dessins que pour les couleurs utilisées, ce qui fait d'une bande dessinée un œuvre originale, mais je n'ai vraiment pas apprécié cet album, je l'ai trouvé mou, sans grand intérêt, il y aurait certes un peu de 1984 mais bon c'est étrangement rythmé. On dirait également qu'au niveau du dessin les auteurs cherchaient un peu de Nef des Fous sans réussite. Je suis un peu déçu. J'ai le tome 2, 3 et 4 et je n'ai même pas envie de les lire...
Dans cette dictature plusieurs factions tentent d’arriver ou de rester au pouvoir. La police religieuse espionne le moindre de vos gestes et de vos paroles. Quand soudain, Mariulo, personne sans clef, déboule à Horologiom. Toute la ville est tourneboulée. Quoi, impossible de remonter cette personne ? La remettre dans le droit chemin ! Inadmissible. Dessins superbes et histoire originale.
Quelque part entre « Le meilleur des mondes », « Brazil », « 1984 » et « Le roi et l’oiseau », voici HOROLOGIOM ! Dans une cité imaginaire où toute la vie sociale et religieuse est régie par les lois de la mécanique, ayant pour résultat une déshumanisation complète de ses habitants, un être humain extérieur à la cité fait irruption, mettant ainsi en péril l’ordre et les fondements de la société d‘HOROLOGIOM. Ce premier tome n’est guère transcendant: un scénario convenu, un univers peu original, un rythme poussif, des personnages caricaturaux … bref rien de très exaltant. Quant au dessin, si le style tout en rigidité et en précision colle bien avec le thème de cette série, j’avoue qu’il ne me séduit pas plus que ça. Bref, la série démarre mollement.
Quel dessinateur de génie ! Et excellent scénariste ! Chaque case est un régal d'inventivité. Les couleurs sont magnifiques. Bref, un chef d'oeuvre.