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C’est un titre assez bizarre mais qu’on comprendra par la suite en lisant ce manga. Il part d’un constat assez intéressant un peu à la manière du fameux film de Luc Besson à savoir Lucy. On sait qu’on n’utilise que 10% des capacités de notre cerveau. Que se passerait-il si on pouvait augmenter ce pourcentage ?
Malheureusement, la réponse choisie par l’auteur s’écarte des normes traditionnelles pour tomber dans le paranormal. Il y a également cet homme qui se laisse assez facilement trouer le cerveau pour 700000 yens. Cette trépanation n’est guère crédible mais passons. Il est vrai que la mise en scène est très satisfaisante. On est pris par ce récit d’autant que le graphisme est plutôt agréable.
Au final, une série étrange assez sympathique dans l’ensemble mais qui souffre tout de même d’incohérences et d’une grande difficulté de compréhension. C’est assez souvent dérangeant mais cette audace pourra plaire aux plus courageux.
En lisant le titre, un vieux réflexe m’a fait me demander si on y retrouverait, à un moment ou à un autre le classique « Homonculus sensoriel » très cher à nos Neuropsychiatriques, et à nos neurochirurgistes, ainsi que toutes les maladies qui s’y rattachent. Bref, en usant d’un contexte contemporain notre auteur aurait de quoi en faire un titre passionnant. Alors est-ce le cas ?
Dès le départ, l’auteur nous présente des personnages déjà adulte, et donc tot ou tard nous aurons droit à un bon vieux Flash back de derrière les fagots…On remarque très vite, tout de meme, les rituels désangoissants de la voiture, de la position du fœtus, mais aussi du suçage du pouce. Pourquoi, alors, notre héros ne suce-t-il pas son pouce lorsque sa voiture part à la fourrière ? Allez savoir ? Mais il le fera une fois qu’il sera à l’hotel en train de dormir. Il est interessant de voir que le récit intime de la personne reprend le dessus lorsqu’elle n’est plus sous la pression sociale, mais malgré ça il y a trop d’interaction pour se limiter dans une conduite théoriquement claire, le discours social étant moins perceptible dans une chambre d'hotel. C’est par l’intermédiaire d’un jeune chirurgien ultra-riche que notre héros va petit à petit découvrir « un autre monde ». Mais quel besoin y avait-il pour donner autant de crédibilité, et de poids social à l’homunculus ? Le héros aurait très bien pu s’ouvrir le lobe préfrontal ( lieu caractérisé en neuro-machin par l’empathie humaine !) lors d’une bagarre, ou autre…Ca fausse véritablement l’interet du titre, ou la pression, la cohérence, et la crédibilité sociale tentera à tous les coups de reprendre le dessus sur l’imaginaire.
Et c’est ce qu’il va se passer avec le chef des Yakusa, ou pour obtenir une « paix intérieure » commune, si ça c’est pas un discours social, ils vont chacun faire revenir une blessure enfantine à la conscience. C’est là que le titre est brillant parce que l’on entend trop souvent que nos blessures et/ou traumatismes d’enfances ne sont pas réparables ( genre : « après ce qu’il vient de se passer, ou ce qu’elle vient de vivre, votre vie est foutue ! »), ils vont traiter leur psychisme mutuellement pour enfin régler ce problème antérieur dans le présent ( le contexte étant différent, et l’interprétation étant, elle aussi, différente ça ne donne pas les memes résultats !). Mais ce n’est pas parce que l’on règle tel problème, tel jour que ça y est c’est fini, et qu’ il n’y en aura pas un autre plus tard, d’ou l’impression mitigée, à mon sens par rapport à l’auteur, de laisser là ( fin du second tome !), le Yakuza, et de continuer sans lui derrière….
Meme si l’homonculus, cela se remarque facilement, a un but thérapeutique entre deux, voire plusieurs personnes, notre héros ne sera jamais au bout de ses peines, car il sera toujours pris dans les tourbillons des représentations( la sienne, et celle des autres !).
Ces 2 premiers tomes augurent des évènements interessants, si le titre poursuit sur sa lancée, avec un dessin toujours aussi réussit, on pourra faire de ce titre un incontournable rapidement. Bref meme si je suis un peu mitigé sur une ou 2 choses, le titre tient parfaitement ses promesses, et je suis curieux de voir ( force oculaire institutionnelle ! ) la suite des pérégrinations contemporaines de monsieur Nakoshi qui pour le moment donne l’impression d’avoir été, mais d’etre toujours ( meme si c’est moins perceptible !) un froid calculateur, mais qui tout doucement, et par l’intermédiaire de son nouveau don, s’humanise…
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Un grand bof ! Comme dans la plupart des mangas, les suites d'images s'enchevêtrent et donnent au lecteur une impression confuse qui nuit au scénario pourtant original ! Il faut tourner quinze pages pour entrevoir une action qui ne dure que 2 secondes et demi, c'est d'un lassant ! On est loin mais alors très loin des Tanigushi ! Mais il paraît qu'il existe bien pire alors je vais poursuivre mon initiation aux mangas !
Un premier tome vraiment interressant avec un dessin de qualité ( tres detaillé ) et un scenario surprenant et captivant, l'intrigue est rudement bien mené.
Très bon seinen manga, dans la lignée de Monster ou 20th Century Boys. Le dessin est particulièrement réussi, notament les visages des personnages. Côté scénario, on notera un bel effort sur la psychologie des personnages, ainsi que sur l’ambiance générale du récit. Je le recommande chaudement aux amateurs d’étrange.
C’est un titre assez bizarre mais qu’on comprendra par la suite en lisant ce manga. Il part d’un constat assez intéressant un peu à la manière du fameux film de Luc Besson à savoir Lucy. On sait qu’on n’utilise que 10% des capacités de notre cerveau. Que se passerait-il si on pouvait augmenter ce pourcentage ?
Malheureusement, la réponse choisie par l’auteur s’écarte des normes traditionnelles pour tomber dans le paranormal. Il y a également cet homme qui se laisse assez facilement trouer le cerveau pour 700000 yens. Cette trépanation n’est guère crédible mais passons. Il est vrai que la mise en scène est très satisfaisante. On est pris par ce récit d’autant que le graphisme est plutôt agréable.
Au final, une série étrange assez sympathique dans l’ensemble mais qui souffre tout de même d’incohérences et d’une grande difficulté de compréhension. C’est assez souvent dérangeant mais cette audace pourra plaire aux plus courageux.
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Homunculus
T1 & 2
De Hidéo Yamamoto
En lisant le titre, un vieux réflexe m’a fait me demander si on y retrouverait, à un moment ou à un autre le classique « Homonculus sensoriel » très cher à nos Neuropsychiatriques, et à nos neurochirurgistes, ainsi que toutes les maladies qui s’y rattachent. Bref, en usant d’un contexte contemporain notre auteur aurait de quoi en faire un titre passionnant. Alors est-ce le cas ?
Dès le départ, l’auteur nous présente des personnages déjà adulte, et donc tot ou tard nous aurons droit à un bon vieux Flash back de derrière les fagots…On remarque très vite, tout de meme, les rituels désangoissants de la voiture, de la position du fœtus, mais aussi du suçage du pouce. Pourquoi, alors, notre héros ne suce-t-il pas son pouce lorsque sa voiture part à la fourrière ? Allez savoir ? Mais il le fera une fois qu’il sera à l’hotel en train de dormir. Il est interessant de voir que le récit intime de la personne reprend le dessus lorsqu’elle n’est plus sous la pression sociale, mais malgré ça il y a trop d’interaction pour se limiter dans une conduite théoriquement claire, le discours social étant moins perceptible dans une chambre d'hotel. C’est par l’intermédiaire d’un jeune chirurgien ultra-riche que notre héros va petit à petit découvrir « un autre monde ». Mais quel besoin y avait-il pour donner autant de crédibilité, et de poids social à l’homunculus ? Le héros aurait très bien pu s’ouvrir le lobe préfrontal ( lieu caractérisé en neuro-machin par l’empathie humaine !) lors d’une bagarre, ou autre…Ca fausse véritablement l’interet du titre, ou la pression, la cohérence, et la crédibilité sociale tentera à tous les coups de reprendre le dessus sur l’imaginaire.
Et c’est ce qu’il va se passer avec le chef des Yakusa, ou pour obtenir une « paix intérieure » commune, si ça c’est pas un discours social, ils vont chacun faire revenir une blessure enfantine à la conscience. C’est là que le titre est brillant parce que l’on entend trop souvent que nos blessures et/ou traumatismes d’enfances ne sont pas réparables ( genre : « après ce qu’il vient de se passer, ou ce qu’elle vient de vivre, votre vie est foutue ! »), ils vont traiter leur psychisme mutuellement pour enfin régler ce problème antérieur dans le présent ( le contexte étant différent, et l’interprétation étant, elle aussi, différente ça ne donne pas les memes résultats !). Mais ce n’est pas parce que l’on règle tel problème, tel jour que ça y est c’est fini, et qu’ il n’y en aura pas un autre plus tard, d’ou l’impression mitigée, à mon sens par rapport à l’auteur, de laisser là ( fin du second tome !), le Yakuza, et de continuer sans lui derrière….
Meme si l’homonculus, cela se remarque facilement, a un but thérapeutique entre deux, voire plusieurs personnes, notre héros ne sera jamais au bout de ses peines, car il sera toujours pris dans les tourbillons des représentations( la sienne, et celle des autres !).
Ces 2 premiers tomes augurent des évènements interessants, si le titre poursuit sur sa lancée, avec un dessin toujours aussi réussit, on pourra faire de ce titre un incontournable rapidement. Bref meme si je suis un peu mitigé sur une ou 2 choses, le titre tient parfaitement ses promesses, et je suis curieux de voir ( force oculaire institutionnelle ! ) la suite des pérégrinations contemporaines de monsieur Nakoshi qui pour le moment donne l’impression d’avoir été, mais d’etre toujours ( meme si c’est moins perceptible !) un froid calculateur, mais qui tout doucement, et par l’intermédiaire de son nouveau don, s’humanise…
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Un grand bof ! Comme dans la plupart des mangas, les suites d'images s'enchevêtrent et donnent au lecteur une impression confuse qui nuit au scénario pourtant original ! Il faut tourner quinze pages pour entrevoir une action qui ne dure que 2 secondes et demi, c'est d'un lassant ! On est loin mais alors très loin des Tanigushi ! Mais il paraît qu'il existe bien pire alors je vais poursuivre mon initiation aux mangas !
Un premier tome vraiment interressant avec un dessin de qualité ( tres detaillé ) et un scenario surprenant et captivant, l'intrigue est rudement bien mené.
Très bon seinen manga, dans la lignée de Monster ou 20th Century Boys. Le dessin est particulièrement réussi, notament les visages des personnages. Côté scénario, on notera un bel effort sur la psychologie des personnages, ainsi que sur l’ambiance générale du récit. Je le recommande chaudement aux amateurs d’étrange.