Hellboy & B.P.R.D.
1. 1952
Une BD de
Mignola, Mike
et
Alex Maleev
chez Delcourt
(Contrebande)
- 2016
Mignola, Mike
(Scénario)
Arcudi, John
(Scénario)
Maleev, Alex
(Dessin)
Stewart, Dave
(Couleurs)
Moscow☆Eye
(Lettrage)
Mignola, Mike
(Couverture)
Stewart, Dave
(Couverture)
Capuron, Anne
(Traduction)
02/2016 (10 février 2016) 110 pages 9782756077314 Format comics 265886
Une série d'horribles meurtres et de bizarres rumeurs emmènent le Professeur Bruttenholm et son jeune protégé Hellboy au Brésil, pour ce qui va être sa première mission. Le démon de l'Enfer et un petit groupe d'agents découvrent que de sombres secrets sont enfouis au cœur d'une forteresse portugaise datant du XVIe siècle. LA série sur les débuts du personnage fétiche de Mignola que tous les fans attendaient !
Une BD très bien dessinée comme je les aime! Une belle planche d illustration entre chaque chapitre. L histoire est prenante meme si un peu tordue. De belles bagarres et rebondissements. Un bon moment de lecture dans le sur-naturel et l'occulte!
Il existe de multiples séries, mini-séries et autres one-shots autour d’Hellboy et de son univers fantastique ; celle-ci est toujours en cours et raconte les premiers pas du jeune démon au sein du B.P.R.D. (Hellboy and the B.P.R.D.: 1952 - 2014, #1-5).
Envoyé au Brésil avec une petite équipe d’agents du B.P.R.D. pour enquêter sur une série de meurtres, Hellboy se montre plutôt en retrait dans cette première aventure. Il se contente d’envoyer ses petites remarques sarcastiques et d’être le bourrin de service lorsque la situation échappe au contrôle de ses nouveaux collègues. Aspects religieux, ésotériques et pseudo-scientifiques, on retrouve ici les ingrédients classiques d’un Hellboy. Jusqu’à y retrouver également le méchant nazi, un bon argument commercial pour lancer une série dans cet univers mais aussi une facilité scénaristique navrante, dommage...
Présent sur les cinq épisodes, la partie graphique est réalisée par Alex Maleev et c’est tout simplement magnifique. A tel point que l’on aurait pu, pour une fois, déroger à la tradition de laisser la couverture à Mike Mignola.