Hauteville House
4. Atlanta
Une BD de
Fred Duval
et
Thierry Gioux
chez Delcourt
- 2007
Duval, Fred
(Scénario)
Gioux, Thierry
(Dessin)
Beau, Carole
(Couleurs)
Quet, Christophe
(Storyboard)
Deluze, Ève
(Lettrage)
Gioux, Thierry
(Couverture)
Manchu
(Couverture)
10/2007 (10 octobre 2007) 50 pages 9782756004921 Grand format 67649
Atlanta, 1864. Églantine, en mission d’infiltration, a découvert ce que l’empereur Napoléon III compte négocier avec les états confédérés du Sud : l’utilisation d’une arme monstrueuse et vivante découverte dans les bas-fonds d’un temple maya. De leurs côtés, Zelda, Gavroche et Georges, prisonniers des sudistes, sont transférés par train vers Atlanta où le Général Hood veut les interroger avant de livrer l’ultime bataille…
Voilà une fin de cycle en apotéose.
Un premier cycle grandiose, alors que quelques années auparavant j'avais trouvé le premier tome nul, maintenant que j'ai relu le un puis les suivants, je dois dire que je suis devenue acro à cette exelente série d'un genre nouveau ou plutot plusieurs genres assemblés les uns dans une série.
Je recomande vivement cette série.
Toujours, ce mêmes mélanges dans Hauteville House, ce cocktail étonnant, cette fois-ci, c'est le tome N°4, La fin !!!!!!!
A LIRE ABSOLUMENT : 8/10 pour la série complètes, beaux déssins, et belles couleurs sont également encore aux rendez-vous... Cette série a été, très réussis, très prenantes...
Je constate à la lecture de ce dernier épisode que la qualité décline un peu. Les dessins sont moins précis et les dialogues parfois un peu faciles. Cette histoire qui a maintenu un bon suspens pendant les trois premiers volumes perd de son intensité pour finalement s'arrêter de façon un peu rapide lors d'une bataille avec pléthore de machines blindées et volantes, dommage. L'épilogue laisse supposer une suite à venir, que faut il en penser ?
Rien de bon dans cet épisode qui ne mérie que d'être le dernier. J'ai pas lu les 10 dernières pages tellement c'était nul : Première fois !
Le pire, c'est les dessins car il ne s'est franchement pas foulé le tâcheron qui a commis ça... pas payé cher j'espère. C'est du trait d'amateur et un style pauvre qui termine de flinguer une histoire déjà tirée par le cheveux. Toujours avec Victor Hugo dedans, un manga aurait mieux servi cette histoire qui s'effonce un peu plus encore.
Pour être d'un tel mortel dans son déroulé, l'histoire doit s'écrire avec seulement quelques cases d'avance sur le graphisme. L'histoire d'un épisode des Mystère de l'ouest, c'est l'intégrale de Lovecraft à coté. J'ai jamais compris comment un mec pouvait passer des mois à mettre en dessin une mauvaise blague qui se raconte en 20 secondes.
Seul le background SF de départ était bon, tout ce qui a suivi n'a été que commerce et c'est quand même dommage... Allez les ouvriers, arrêtez les dégats et rendez l'avance que vous avez palpé : C'est pas la peine de vous faire souffrir avec un deuxième cycle parceque le mec du troisième au service marketing l'a dit.
Voilà, je termine ce premier cycle.
Voici venu le temps de l'affrontement final. Le scénario n'a rien d'exceptionnel pour ce dernier volume. Il convient néanmoins de relever que le rythme est soutenu tout au long de cet album et que quelques éléments psychologiques sont exploités.
J'ai apprécié le dessin et les couleurs mais je me répète. J'insiste malgré tout sur quelques très jolis plans de la bataille.
En résumé, on rentre facilement dans cet album et on n'a pas envie de s'interrompre pendant sa lecture. Les jalons pour une suite ayant été posés, vivement le second cycle.
Je viens d'acheter cet album, et je suis déçu du scénario. On a l'impression que les auteurs ont voulu terminé un 1er cycle en le bâclant . Le rythme haletant des deux premiers albums -que j'avais trouvé très bon- n'est plus présent; même le dessin est moins à la hauteur. Bref, je me suis ennuyé sur cette BD.
j'ai encore beaucoup aimé le dessin et j'ai trouvé le scénario très prenant jusqu'au bout. Bon, ok, on part un peu dans le fantastique mais ça reste malgré tout très réaliste dans l'irréel :-)
Pas de surprise avec ce quatrième opus d'Hauteville-House qui clôt le cycle dans la droite ligne de son commencement. Le dessin est toujours aussi agréable servant bien ce monde au cadre et à l'ambiance Steampunk (hormis les scènes de batailles en vue panoramique qui ne sont pas du tout à mon goût) et l'intrigue de cette course-poursuite d'espions menée tambours battants mais somme toute très conventionnelle se dénoue de façon prévisible. C'est d'ailleurs le point faible de la série qui abuse un peu des poncifs du genre et ne s'attardent pas à mieux nuancer des personnages qui se partagent entre deux types d'archétypes, les gentils héros (qu'ils soient républicains français, rebelles mexicains ou unionistes américains) et les méchantes raclures (qu'elles servent Napoléon III, l'Empire mexicain ou la Confédération). Cela dit, le ton léger et le style efficace rendent la lecture de ce premier cycle (puisqu'à priori il semble évident qu'une suite lui sera donné) vraiment très plaisante.