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Attention: l'édition couramment disponible du huitième volume de "Happy!" présente un problème critique : une partie importante des pages (non numérotées) est reliée dans le désordre, ce qui rend la lecture quasi impossible, même si on peut être assez masochiste pour apprécier cette complexité additionnelle !
Le transfert quasi "en l'état" de l'intrigue de "Happy!" et de ses péripéties sadiques du Japon vers les USA ne permet malheureusement pas (pour le moment...) à Urasawa de donner à sa saga tennistique le second souffle qui est de plus en plus souhaitable. Les matchs de tennis sont toujours aussi passionnants, les intrigues entre "tenniswomen" toujours aussi vicieuses, mais au final, on fait du surplace, et le dépaysement culturel a plus d'inconvénients que d'avantages : pas sûr qu'Urasawa connaisse et comprenne la société américaine aussi bien la société allemande, au point de la transformer - comme dans "Monster" - en carburant pour sa fiction ! Alors, malgré cette déception globale, qu'est-ce qui fonctionne dans le "Volume 8" ? Sans aucun doute la rivalité amoureuse du yakuza et du "fils à papa", et les scènes de comédie romantique - ici assez amères - qui en résultent. Pour le reste, on attendra le "Volume 9" pour juger de la qualité de la suite de la saga "Happy!"
Attention: l'édition couramment disponible du huitième volume de "Happy!" présente un problème critique : une partie importante des pages (non numérotées) est reliée dans le désordre, ce qui rend la lecture quasi impossible, même si on peut être assez masochiste pour apprécier cette complexité additionnelle !
Le transfert quasi "en l'état" de l'intrigue de "Happy!" et de ses péripéties sadiques du Japon vers les USA ne permet malheureusement pas (pour le moment...) à Urasawa de donner à sa saga tennistique le second souffle qui est de plus en plus souhaitable. Les matchs de tennis sont toujours aussi passionnants, les intrigues entre "tenniswomen" toujours aussi vicieuses, mais au final, on fait du surplace, et le dépaysement culturel a plus d'inconvénients que d'avantages : pas sûr qu'Urasawa connaisse et comprenne la société américaine aussi bien la société allemande, au point de la transformer - comme dans "Monster" - en carburant pour sa fiction ! Alors, malgré cette déception globale, qu'est-ce qui fonctionne dans le "Volume 8" ? Sans aucun doute la rivalité amoureuse du yakuza et du "fils à papa", et les scènes de comédie romantique - ici assez amères - qui en résultent. Pour le reste, on attendra le "Volume 9" pour juger de la qualité de la suite de la saga "Happy!"