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Le concept "Happy" commence-t-il à craquer aux jointures dans ce 7ème volume, à force de répéter les mêmes situations tout en gardant le récit dans les limites de l'acceptable pour un lectorat adolescent ? Ce risque est particulièrement aigu lors de deux moments-clé du récit : d'abord lorsque Thunder passe très près de la mort alors qu'un avenir de réhabilitation se dessine pour lui. En l'épargnant, Urasawa garde "Happy" en deçà de la tragédie, et perd une occasion magnifique d'élever son récit vers une certaine "noblesse" qui aurait superbement tranché avec la trivialité qui règne en maître dans les rebondissements de l'histoire. Un autre exemple de déception est lorsque l'on découvre que les capotes de Keishiro ont été remplies de savon liquide, prouvant qu'Urasawa recule toujours devant la consommation de l'acte sexuel entre ses personnages : c'est certes, on l'imagine, la règle du jeu pour ce genre de mangas au Japon, mais c'est une autre occasion perdue de conférer une épaisseur nouvelle à ses intrigues. Dernière déception à la lecture de ce tome, la manière dont Urasawa n'arrive pas à rendre crédibles les décisions du "Crocodile" et la menace de son désir implacable (ouaf ! Ouaf !) pour l'héroïne : la prolongation du jeu du chat et de la souris entre eux sonne bien artificielle. Espérons donc que le "reboot" de l'intrigue aux USA permette de corriger certaines de ces faiblesses !
Le concept "Happy" commence-t-il à craquer aux jointures dans ce 7ème volume, à force de répéter les mêmes situations tout en gardant le récit dans les limites de l'acceptable pour un lectorat adolescent ? Ce risque est particulièrement aigu lors de deux moments-clé du récit : d'abord lorsque Thunder passe très près de la mort alors qu'un avenir de réhabilitation se dessine pour lui. En l'épargnant, Urasawa garde "Happy" en deçà de la tragédie, et perd une occasion magnifique d'élever son récit vers une certaine "noblesse" qui aurait superbement tranché avec la trivialité qui règne en maître dans les rebondissements de l'histoire. Un autre exemple de déception est lorsque l'on découvre que les capotes de Keishiro ont été remplies de savon liquide, prouvant qu'Urasawa recule toujours devant la consommation de l'acte sexuel entre ses personnages : c'est certes, on l'imagine, la règle du jeu pour ce genre de mangas au Japon, mais c'est une autre occasion perdue de conférer une épaisseur nouvelle à ses intrigues. Dernière déception à la lecture de ce tome, la manière dont Urasawa n'arrive pas à rendre crédibles les décisions du "Crocodile" et la menace de son désir implacable (ouaf ! Ouaf !) pour l'héroïne : la prolongation du jeu du chat et de la souris entre eux sonne bien artificielle. Espérons donc que le "reboot" de l'intrigue aux USA permette de corriger certaines de ces faiblesses !