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Ce treizième volume de l'édition de luxe de "Happy" laissera sans doute plus d'un fan de Urasawa sur sa faim... En effet, les deux tiers du livre sont assez mornes, le rythme ralenti de la narration s'ajoutant à une vraie carence de nouvelles idées intéressantes : la fameuse "bombe à retardement" du genou de Umino est assez peu excitante, et les différentes péripéties qu'affrontent nos héros sont pour le moins ressassées. Ce qui est clair, c'est que Urasawa prépare ici la conclusion de son récit, avec des artifices parfois assez tirés par les cheveux, comme la décadence et la chute pour le moins inattendue (et accélérée) de l'entreprise mafieuse de l'affreux Wanibuchi, et comme la soudaine "réhabilitation" de Keichiro. Au final, c'est - comme souvent chez Urasawa - d'un personnage secondaire que vient le redressement de l'histoire : Hina, dont la révolte contre la bonne éducation constitue le ressort des derniers chapitres de ce tome, permet à Urasawa de faire fonctionner à plein son admirable talent de narrateur et de metteur en scène, qui arrive à maturité, et lui permet de transcender les clichés du mélodrame social. C'est pour ce genre de passages qu'on aime encore "Happy", alors même que la mécanique sado-masochiste et perverse construite autour de Miyuki et Choko est depuis longtemps épuisée. On attend quand même la fin avec impatience !
Ce treizième volume de l'édition de luxe de "Happy" laissera sans doute plus d'un fan de Urasawa sur sa faim... En effet, les deux tiers du livre sont assez mornes, le rythme ralenti de la narration s'ajoutant à une vraie carence de nouvelles idées intéressantes : la fameuse "bombe à retardement" du genou de Umino est assez peu excitante, et les différentes péripéties qu'affrontent nos héros sont pour le moins ressassées. Ce qui est clair, c'est que Urasawa prépare ici la conclusion de son récit, avec des artifices parfois assez tirés par les cheveux, comme la décadence et la chute pour le moins inattendue (et accélérée) de l'entreprise mafieuse de l'affreux Wanibuchi, et comme la soudaine "réhabilitation" de Keichiro. Au final, c'est - comme souvent chez Urasawa - d'un personnage secondaire que vient le redressement de l'histoire : Hina, dont la révolte contre la bonne éducation constitue le ressort des derniers chapitres de ce tome, permet à Urasawa de faire fonctionner à plein son admirable talent de narrateur et de metteur en scène, qui arrive à maturité, et lui permet de transcender les clichés du mélodrame social. C'est pour ce genre de passages qu'on aime encore "Happy", alors même que la mécanique sado-masochiste et perverse construite autour de Miyuki et Choko est depuis longtemps épuisée. On attend quand même la fin avec impatience !