Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Les cookies sur Bedetheque.com :
Nous respectons votre vie privée, et n'utilisons que des cookies internes indispensables au fonctionnement du site.
En savoir plus Fermer
Tome 1 : La méchanceté des humains
Tome 2 : La méchanceté des non-humains
Tome 3 : La méchanceté des Géants
Tome 4 : La méchanceté des dieux
Et devinez qui sont les pires ? Les dieux, bien sur !
J'ai lu cette série au rythme de sa parution, et j'avais trouvé l'histoire PÉNIBLE, voir dérangeante. On doit se laver les mains après chaque lecture, tellement le sang dégouline des pages. Les héros présumés meurent à tour de bras, et on perd tous nos repères. Une relecture des 4 tomes en une fois s'imposait donc.
L'histoire traîne pendant les deux premiers albums, puis accélère au 3e pour s'emballer dans le dernier, où tout s' « explique » à grands coups d'interventions divines. Dei ex machina ! (le pluriel est voulu)
Mais paradoxalement, c'est cette quatrième partie du scénario qui est la plus cohérente, car l'intervention des dieux apporte un semblant de cohésion à toute la saga.
Le dessin est intrigant, avec parfois des scènes sublimes, d'autres plus esquissées. Ma planche préférée ? La toute dernière, ou Loki apparaît à Charlemagne dans le vitrail - un clin d'oeil au lecteur pour lui rappeler la part du merveilleux dans le scénario.
On apprend beaucoup sur une période qui revampe totalement l'image du bon Charlemagne à la barbe fleurie qui m'était restée en souvenir de la petite école. Mais le mélange didactique / fantasy peine à lever, et le manque de fil directeur nous laisse insatisfait. Donc, 6/10 pour l'effort, surtout au dessinateur, et malheureusement 4/10
pour le résultat.
Tome 1 : La méchanceté des humains
Tome 2 : La méchanceté des non-humains
Tome 3 : La méchanceté des Géants
Tome 4 : La méchanceté des dieux
Et devinez qui sont les pires ? Les dieux, bien sur !
J'ai lu cette série au rythme de sa parution, et j'avais trouvé l'histoire PÉNIBLE, voir dérangeante. On doit se laver les mains après chaque lecture, tellement le sang dégouline des pages. Les héros présumés meurent à tour de bras, et on perd tous nos repères. Une relecture des 4 tomes en une fois s'imposait donc.
L'histoire traîne pendant les deux premiers albums, puis accélère au 3e pour s'emballer dans le dernier, où tout s' « explique » à grands coups d'interventions divines. Dei ex machina ! (le pluriel est voulu)
Mais paradoxalement, c'est cette quatrième partie du scénario qui est la plus cohérente, car l'intervention des dieux apporte un semblant de cohésion à toute la saga.
Le dessin est intrigant, avec parfois des scènes sublimes, d'autres plus esquissées. Ma planche préférée ? La toute dernière, ou Loki apparaît à Charlemagne dans le vitrail - un clin d'oeil au lecteur pour lui rappeler la part du merveilleux dans le scénario.
On apprend beaucoup sur une période qui revampe totalement l'image du bon Charlemagne à la barbe fleurie qui m'était restée en souvenir de la petite école. Mais le mélange didactique / fantasy peine à lever, et le manque de fil directeur nous laisse insatisfait. Donc, 6/10 pour l'effort, surtout au dessinateur, et malheureusement 4/10
pour le résultat.