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Ce troisième Gus fait honneur au titre de la série : pas de Clem ni de Gratt à l'horizon, seulement Gus. Le début de l'album se passe avant le premier album, et ce sont encore des histoires de Q. Ça demeure bien écrit (et heureusement, parce que ce n'est pas le dessin de Blain qui va vous titiller de ce côté-là), mais ça commence à sentir le réchauffé.
Par contre, la dernière histoire de l'album, "Angie, Anita, Anton", vient sauver l'album et vaut le prix d'entrée à elle seule. Gus se fait engager pour défendre une ville de cow-boys, et les dialogues entre Gus et le petit Anton, par exemple, sont verveux. On a enfin un enjeu un peu plus sérieux (même si ça demeure de la comédie), et l'ensemble est merveilleux. Un prélude au tome 4? Je crois bien que oui!
Ce 3ème tome est exclusivement centré sur Gus et fait la part belle au poker, aux conquêtes féminines et aux doutes liés à sa perte de dextérité. Un très bon album, où l'on s'attache un peu plus encore à la personnalité de notre bandit préféré...
Bon travail graphique de Blain, très en forme sur les trois premiers tomes de Gus.
Mais autant j’ai pu adorer Isaac, Hiram Lowatt, Quai d’Orsay ou même l’excellent Réducteur de vitesse, autant là je trouve que ça n’a pas grand intérêt…
C'est répétitif, ça ne va nulle part et l’ensemble m’a assez vite procuré un sentiment de lassitude.
Bon, elles pourraient être sympas ces aventures à base de plans cul, de cuites et de braquages... pourquoi pas… encore leur faudrait-il un minimum de cohérence parce que du coup, franchement, on s’en fout un peu.
Y consacrer 3 albums et 250 pages (!) en pensant que ça intéressera le lecteur me semble quand-même assez prétentieux..
Troisième opus de la série, exclusivement dédié à GUS ce coup-ci. Aussi bon que les deux autres volumes. Un album mêlant efficacement parties de poker entre cow-boys, braquages de banques et scènes de drague ou parties de jambes en l'air entre outlaws et personnages de la gente féminine plus que séduisantes. Le tout sur un ton humoristique des plus appréciables.
Après la (très très) légère déception du second tome de "Gus", on attendait avec impatience la suite des très conceptuelles aventures de notre cow boy favori : eh oui ! Gus est passé dans notre cœur devant Lucky Luke et Blueberry, et ceux qui ne nous comprendrons pas n'ont tout simplement pas lu "Ernest"… Car "Ernest" n'est ni plus ni moins que ce que Blain a fait de mieux à date - mieux encore que certains tomes transcendants de "Issac le Pirate", c'est dire ! Car la merveilleuse surprise de ce troisième tome, c'est que Blain réintroduit le "vrai" western - à mi-chemin entre Eastwood (l'improbable massacre au saloon final qui renvoie directement à la conclusion de "Impitoyable") et Walsh - sans pour autant délaisser la complexité des états d'âme de ses outlaws perdus face à leurs propres pulsions, comme face à ces femmes mystérieuses et fortes qu'ils n'arrivent jamais à vraiment comprendre. Le premier récit, "Ernest" est proprement vertigineux, adressant de manière aussi subtile que hilarante le décalage entre l'image "publique" d'un homme - ici, des outlaws, mais qu'importe… - et son propre sentiment d'imposture. Quant au troisième, "Angie, Anita, Anton", sans doute le western le plus "classique" de Blain (éleveurs de bétail contre paysans du coin, on est en territoire connu), il y souffle un mélange d'humour et de profonde dépression régulièrement balayé par le souffle de l'aventure : une GRANDE BD !
Ce troisième Gus fait honneur au titre de la série : pas de Clem ni de Gratt à l'horizon, seulement Gus. Le début de l'album se passe avant le premier album, et ce sont encore des histoires de Q. Ça demeure bien écrit (et heureusement, parce que ce n'est pas le dessin de Blain qui va vous titiller de ce côté-là), mais ça commence à sentir le réchauffé.
Par contre, la dernière histoire de l'album, "Angie, Anita, Anton", vient sauver l'album et vaut le prix d'entrée à elle seule. Gus se fait engager pour défendre une ville de cow-boys, et les dialogues entre Gus et le petit Anton, par exemple, sont verveux. On a enfin un enjeu un peu plus sérieux (même si ça demeure de la comédie), et l'ensemble est merveilleux. Un prélude au tome 4? Je crois bien que oui!
Ce 3ème tome est exclusivement centré sur Gus et fait la part belle au poker, aux conquêtes féminines et aux doutes liés à sa perte de dextérité. Un très bon album, où l'on s'attache un peu plus encore à la personnalité de notre bandit préféré...
Bon travail graphique de Blain, très en forme sur les trois premiers tomes de Gus.
Mais autant j’ai pu adorer Isaac, Hiram Lowatt, Quai d’Orsay ou même l’excellent Réducteur de vitesse, autant là je trouve que ça n’a pas grand intérêt…
C'est répétitif, ça ne va nulle part et l’ensemble m’a assez vite procuré un sentiment de lassitude.
Bon, elles pourraient être sympas ces aventures à base de plans cul, de cuites et de braquages... pourquoi pas… encore leur faudrait-il un minimum de cohérence parce que du coup, franchement, on s’en fout un peu.
Y consacrer 3 albums et 250 pages (!) en pensant que ça intéressera le lecteur me semble quand-même assez prétentieux..
Troisième opus de la série, exclusivement dédié à GUS ce coup-ci. Aussi bon que les deux autres volumes. Un album mêlant efficacement parties de poker entre cow-boys, braquages de banques et scènes de drague ou parties de jambes en l'air entre outlaws et personnages de la gente féminine plus que séduisantes. Le tout sur un ton humoristique des plus appréciables.
Après la (très très) légère déception du second tome de "Gus", on attendait avec impatience la suite des très conceptuelles aventures de notre cow boy favori : eh oui ! Gus est passé dans notre cœur devant Lucky Luke et Blueberry, et ceux qui ne nous comprendrons pas n'ont tout simplement pas lu "Ernest"… Car "Ernest" n'est ni plus ni moins que ce que Blain a fait de mieux à date - mieux encore que certains tomes transcendants de "Issac le Pirate", c'est dire ! Car la merveilleuse surprise de ce troisième tome, c'est que Blain réintroduit le "vrai" western - à mi-chemin entre Eastwood (l'improbable massacre au saloon final qui renvoie directement à la conclusion de "Impitoyable") et Walsh - sans pour autant délaisser la complexité des états d'âme de ses outlaws perdus face à leurs propres pulsions, comme face à ces femmes mystérieuses et fortes qu'ils n'arrivent jamais à vraiment comprendre. Le premier récit, "Ernest" est proprement vertigineux, adressant de manière aussi subtile que hilarante le décalage entre l'image "publique" d'un homme - ici, des outlaws, mais qu'importe… - et son propre sentiment d'imposture. Quant au troisième, "Angie, Anita, Anton", sans doute le western le plus "classique" de Blain (éleveurs de bétail contre paysans du coin, on est en territoire connu), il y souffle un mélange d'humour et de profonde dépression régulièrement balayé par le souffle de l'aventure : une GRANDE BD !