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Ivre de vengeance, José perd une fois de plus de son humanité. Pour que sa cyborg puisse être encore opérationnelle, il donne son feu vert afin de réinitialiser complètement Henrietta, effaçant de fait l'intégralité de ses souvenirs et diminuant encore plus son espérance de vie. La haine n'a maintenant plus de limites et Padania passe à la vitesse supérieure en s'emparant d'une centrale nucléaire à Turin. Ce sera le site de l'ultime bataille, tous les protagonistes y sont rassemblés et on sent que n'importe qui peut y rester. Un volume remarquable qui va sans cesse crescendo, avec un début nous exposant de manière efficace les enjeux, puis on enchaîne sur la prise de la centrale par Padania et enfin sur l'offensive de l'agence pour la reprendre. L'action est très présente et elle est savamment dosée et ponctuée de scènes très fortes et poignantes. Mais les sentiments des personnages restent au premier plan et illuminent de leur présence la violence en place. En guerre, il n'y a pas de vainqueurs, mais au contraire que des perdants devenus des bêtes délestées de leur humanité. La fin du volume, glaçante, sonne ainsi comme un dur retour à la réalité : les souffrances engendrées, sans cesse accumulées, finissent tôt ou tard par se retourner contre soi, et l'on ne peut y échapper. Le dessin de Yu Aida est depuis quelques volumes d'une parfaite maîtrise et ici encore il est éblouissant. Un volume immense, remarquablement construit et dessiné, et d'une très grande intensité. Et pourtant le conflit ne fait que commencer.
Ivre de vengeance, José perd une fois de plus de son humanité. Pour que sa cyborg puisse être encore opérationnelle, il donne son feu vert afin de réinitialiser complètement Henrietta, effaçant de fait l'intégralité de ses souvenirs et diminuant encore plus son espérance de vie. La haine n'a maintenant plus de limites et Padania passe à la vitesse supérieure en s'emparant d'une centrale nucléaire à Turin. Ce sera le site de l'ultime bataille, tous les protagonistes y sont rassemblés et on sent que n'importe qui peut y rester. Un volume remarquable qui va sans cesse crescendo, avec un début nous exposant de manière efficace les enjeux, puis on enchaîne sur la prise de la centrale par Padania et enfin sur l'offensive de l'agence pour la reprendre. L'action est très présente et elle est savamment dosée et ponctuée de scènes très fortes et poignantes. Mais les sentiments des personnages restent au premier plan et illuminent de leur présence la violence en place. En guerre, il n'y a pas de vainqueurs, mais au contraire que des perdants devenus des bêtes délestées de leur humanité. La fin du volume, glaçante, sonne ainsi comme un dur retour à la réalité : les souffrances engendrées, sans cesse accumulées, finissent tôt ou tard par se retourner contre soi, et l'on ne peut y échapper. Le dessin de Yu Aida est depuis quelques volumes d'une parfaite maîtrise et ici encore il est éblouissant. Un volume immense, remarquablement construit et dessiné, et d'une très grande intensité. Et pourtant le conflit ne fait que commencer.