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Encore un titre de Thomas Ott qui mérite une lecture pour les amateurs d'histoires fantastiques. J'ai beaucoup aimé la phrase de l'auteur en préface écrite en V.O: "It may be your dream, but it's my rules!". Qui a dit cela ? Réponse : Freddy Krueger. Le ton est donné.
Je n'ai pas très bien compris la première nouvelle à savoir "The job". Par contre, la seconde nouvelle "10" sur le thème du Ku Klux Klan m'a paru excellente. Le troisième récit "God" dénonce une société de délateurs mais très croyants ce qui peut paraître antinomique.
Le dernier chapitre à savoir "Goodbye" est réellement le clou du spectacle. C'est grandiose.
Le noir est toujours la couleur par défaut ce qui souligne le caractère assez pessimiste de l'oeuvre de l'auteur. Celui-ci semble se démarquer de ses contemporains pour nous entrainer dans un univers bien à lui.
Le cadrage de ces histoires fait penser à des productions cinématographiques. On sent d'ailleurs l'influence du cinéma noir ou d'horreur. C'est toujours muet ce qui renforce une impression de malaise à imaginer le pire. L'angoisse nous prend assez rapidement. A découvrir pour les vrais amateurs du genre !
Glauques, sombres, ils donnent une ambiance étouffante à l’ensemble qui contribue grandement à rendre les histoires plus étranges qu’elles ne le sont déjà.
Les cadrages renforcent également souvent cette impression d’étrangeté, nous positionnant, nous, lecteurs, dans des endroits incongrus pour voir les scènes, dans des angles, des contre-plongées, qui contribuent là aussi à rendre encore plus tordues les histoires.
Elles sont quatre, avec pour point commun l’étrangeté et le morbide.
Le job, ambiance polar noir, se déroule bien, jusqu’à un final assez déroutant, paradoxal, surprenant.
10, l’histoire la plus « normale » des quatre, se suit avec plaisir et satisfaction.
G.O.D. m’a beaucoup plu pour l’ambiance même si le sens profond m’est légèrement passé au-dessus (quelle est cette entreprise, le but, pourquoi l’apparition, la manifestation, la dénonciation, le final ??)
Goodbye, excellente dans le principe, plus simple à suivre même si elle reste décalée, m’a laissé dubitatif avec la double fin quand une seule suffisait – mais l’idée reste bonne.
Un ouvrage noir, surprenant, entre déjanté et hors norme.
Encore un titre de Thomas Ott qui mérite une lecture pour les amateurs d'histoires fantastiques. J'ai beaucoup aimé la phrase de l'auteur en préface écrite en V.O: "It may be your dream, but it's my rules!". Qui a dit cela ? Réponse : Freddy Krueger. Le ton est donné.
Je n'ai pas très bien compris la première nouvelle à savoir "The job". Par contre, la seconde nouvelle "10" sur le thème du Ku Klux Klan m'a paru excellente. Le troisième récit "God" dénonce une société de délateurs mais très croyants ce qui peut paraître antinomique.
Le dernier chapitre à savoir "Goodbye" est réellement le clou du spectacle. C'est grandiose.
Le noir est toujours la couleur par défaut ce qui souligne le caractère assez pessimiste de l'oeuvre de l'auteur. Celui-ci semble se démarquer de ses contemporains pour nous entrainer dans un univers bien à lui.
Le cadrage de ces histoires fait penser à des productions cinématographiques. On sent d'ailleurs l'influence du cinéma noir ou d'horreur. C'est toujours muet ce qui renforce une impression de malaise à imaginer le pire. L'angoisse nous prend assez rapidement. A découvrir pour les vrais amateurs du genre !
Les dessins sont superbes.
Glauques, sombres, ils donnent une ambiance étouffante à l’ensemble qui contribue grandement à rendre les histoires plus étranges qu’elles ne le sont déjà.
Les cadrages renforcent également souvent cette impression d’étrangeté, nous positionnant, nous, lecteurs, dans des endroits incongrus pour voir les scènes, dans des angles, des contre-plongées, qui contribuent là aussi à rendre encore plus tordues les histoires.
Elles sont quatre, avec pour point commun l’étrangeté et le morbide.
Le job, ambiance polar noir, se déroule bien, jusqu’à un final assez déroutant, paradoxal, surprenant.
10, l’histoire la plus « normale » des quatre, se suit avec plaisir et satisfaction.
G.O.D. m’a beaucoup plu pour l’ambiance même si le sens profond m’est légèrement passé au-dessus (quelle est cette entreprise, le but, pourquoi l’apparition, la manifestation, la dénonciation, le final ??)
Goodbye, excellente dans le principe, plus simple à suivre même si elle reste décalée, m’a laissé dubitatif avec la double fin quand une seule suffisait – mais l’idée reste bonne.
Un ouvrage noir, surprenant, entre déjanté et hors norme.