Green Manor
2. De l'inconvénient d'être mort
Une BD de Fabien Vehlmann et Denis Bodart chez Dupuis (Humour Libre) - 2002
02/2002 45 pages 2800132337 Format normal 15 à 20 euros 8627
Thomas Below, le majordome du club Green Manor, s'est échappé de l'asile psychiatrique et s'est introduit dans une demeure, où il retient une famille plus ou moins en otage. Le docteur Thorne vient pour le raisonner. Mr Below lui raconte d'autres histoires de crimes : Jeux d'enfants : comment un peu de chimie vient au secours de George, majordome du club d'une patience extrême, que Lord Virgile tente de pousser à bout, pousser au crime ... La marque de la bête : la terrible machination d'une femme pour se venger de son mari au travers de son propre... Lire la suite
Dans la lignée du premier opus, ce second tome de GREEN MANOR s'avère être tout aussi bon que son prédecesseur. Dessin exquis, histoires originales, ambiance très prenante ... un très bon moment de lecture !
Aussi perfide que le premier, aussi original! Un must! À quand le troisième?
qu'il est dur de parler des histoires! impossible! car l'histoire doit suprendre le lecteur! Les chutes sont souvent teintés de cynisme... mais quel régal ! mention spéciale pour "la marque de la bête"et "nuit vaudou" quand à "derniéres volontés" ça fait penser à ce qu'il se passe encore aux USA... on est pas si loin de notre époque en fait! pourtant on est bien dans les brumes du Londres victorien!
amis de sherclock Holmes : tu as rouvé ta prochaine lecture! et vivement la suite!
Le deuxième opus de la série. Toujours en verve, les auteurs poursuivent sur la lancée du premier album en reprenant le principe identique : une collection de courtes histoires axées autour d'un meurtre ou d'une situation abracadabrantesque. L'inventivité est toujours au rendez-vous et la qualité des dessins, le même. Bref, vivement la suite !
Ce second tome de "Green Manor" est du même niveau que le premier, avec
une nouvelle approche dans les sujets : il y a beaucoup plus de références à la
magie et aux supertitions de l'époque. On sent que le scénariste (Velhmann)
utilise le contexte particulier de l'époque coloniale pour opposer le fantastique
développement scientifique de la fin du XIXe aux mystères et à la supertition et
aux légendes des colonies orientales et de la vieille europe.
A lire tout particulièrement "La marque de la Bête", "L'ombre du centurion" ou
l'excellent "Nuit vaudou". Cette dernière histoire reprenant d'autant plus
l'humour noir et moqueur très présent dans le premier tome et un peu moins
dans ce second.
Bref, si on aime le premier, on n'est pas déçu par le second