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Quelle écriture vraiment, bravo au scénariste. J’ai trouvé ces petites histoires de meurtres ultra captivantes ! L’intrigue est condensée en quelques pages, avec souvent des dénouements surprenants, mais qui tiennent la route. Quelle créativité. J’ai vraiment adoré. À mon sens, les deux premiers albums sont largement au dessus du 3e tome en terme d’histoires.
Le dessin est vraiment très bien. J’ai peut-être été un peu déconcerté par les époques. Tout est basé sur la même gamme de couleurs, que ce soit présent ou passé. D’autres tons pour le présent aurait été sympa. Cela tient du détail, évidemment.
Les chroniques de Green Manor par son majordome donne à lire des récits entre l'effrayants et le cocasses... Toutes les chroniques tournent autour d'un crime ou de plusieurs et des enquêtes qui en découlent. Vous l'aurez compris, le suspens est au rendez- vous.
Les histoires sont courtes mais plutôt sympas. Il y a beaucoup de personnages mais aucun ne se détache vraiment.
J'ai trouvé l'esthétique sympa avec beaucoup de détails. L'ambiance qui se dégage de cette BD est agréable.
Bref:
Une lecture agréable mais qui ne me marquera pas plus que ça.
Londres, fin XIXème - début XXème siècle. Un club réputé, le "Green Manor's club". D'élégants gentlemen en apparence tous aussi respectables les uns que les autres ... mais en apparence seulement ! Car au sein de ce club prestigieux, entre deux verres de brandy, nos amis british s'adonnent à leur passe-temps favori : imaginer le crime parfait ... et le réaliser !
Succession de plusieurs récits policiers, GREEN MANOR est une série sympathique qui séduit autant par son graphisme que par son ambiance. Les différentes histoires proposées sont pour la plupart excellentes, même si certaines sont un peu tirées par les cheveux. Le ton "so british", mêlé à un humour noir des plus délectables, donne toute sa saveur à l'atmosphère de la série. Enfin, à l'imagination de Velhmann s'ajoute le dessin de Bodart, classique mais très plaisant.
Au final, ce premier opus de GREEN MANOR s'avère être une vraie réussite et sa lecture est des plus agréables.
E-X-C-E-L-L-E-N-T! Pour l'humour noir, british et pour toutes ces courtes nouvelles qui mènent au meurtre, sans trop de fioritures...À offrir à celui qui adore les romans policiers, les Sherlock et pourquoi pas, les bouquins d'aliéniste...
Bel hommage à la littérature anglaise du 19éme siécle! Cet enchainement de petits récits est vraiment savoureux. Le dessin s'accorde bien à l'ambiance nuit brumeuse londienne.
J'aime en particuliers 21 Hallebardes même si au début j'ai crié au sacrilége: en vouloir à la vie de Conan Doyle! L'hommage est fait au genre polar mais aussi à l'humour so British de nos voisins d'outre Manche...
Conseil de lecture: à lire le soir devant la cheminée avec une tasse de thé!
Le source ayant présidé à l'inspiration du Green Manor, ce "hellfire club" so british, paraît on ne peut plus évidente : le fameux De l'assassinat considéré comme l'un des beaux arts, par Thomas de Quincey (auteur également de Confessions d'un mangeur d'opium). Et justement, tout le talent des auteurs est d'être parvenu à restituer tout ce sel si particulier, mélange d'humour noir, de cynisme grinçant, saupoudré, pour faire bonne mesure, d'un soupçon (pardonnez le jeu de mot) d'ambiance victorienne. La forme est classique : une succession de courtes histoires, toutes censées s'être produites dans les entrailles du club, véritable nid de gentlemen amoraux au goût prononcé pour le sang mais d'une parfaite respectabilité. Le dessin est correct ; il restitue la saveur de l'ambiance victorienne (la fin de cette période, en fait) sans atteindre le chef d'oeuvre. Mais ça n'est pas le but, pas plus que le point fort de la série. Non, ce qui confère indubitablement à Green Manor sa très grande qualité, c'est la force de ses scénarios, de petits bijoux ciselés avec drôlerie, humour et, surtout, une très grande inventivité ! du loufoque au pastiche de meurtre en chambre close, tout y est abordé et écorné. Dans le genre, c'est du grand art.
Hommage à la littérature policière du XIXe, "Green Manor" est un véritable
plaisir de lecture. Mélange de suspens, de mystère et d'une bonne dose de
cynisme, cet album présente de courtes histoires policières entre Sherlock
Holmes et E. Poe, mais toujours sous un second degrè volontairement moqueur.
Il suffit de lire l'histoire "21 hallebardes", où deux "intellectuels" rafinés se
vantent d'être en mesure de réaliser un meutre en Oeuvre d'Art pour finir par
s'apercevoir qu'ils ne sont que "deux pitoyables bouffons", c'est là le fond de
cette série : derrière ces énigmes jugées par le beau monde, on nous présente
un univers compacé et prétentieux qui n'a rien de plaisant.
A noter aussi les superbes introductions et conclusions où le talent de Bodart
génère une ambiance morbide et inquiétante qui pénètre immédiatement le
lecteur. Un délice pour les amateurs d'humour noir.
Quelle écriture vraiment, bravo au scénariste. J’ai trouvé ces petites histoires de meurtres ultra captivantes ! L’intrigue est condensée en quelques pages, avec souvent des dénouements surprenants, mais qui tiennent la route. Quelle créativité. J’ai vraiment adoré. À mon sens, les deux premiers albums sont largement au dessus du 3e tome en terme d’histoires.
Le dessin est vraiment très bien. J’ai peut-être été un peu déconcerté par les époques. Tout est basé sur la même gamme de couleurs, que ce soit présent ou passé. D’autres tons pour le présent aurait été sympa. Cela tient du détail, évidemment.
Œuvre à conserver et à relire !
Ce que j'en pense:
Les chroniques de Green Manor par son majordome donne à lire des récits entre l'effrayants et le cocasses... Toutes les chroniques tournent autour d'un crime ou de plusieurs et des enquêtes qui en découlent. Vous l'aurez compris, le suspens est au rendez- vous.
Les histoires sont courtes mais plutôt sympas. Il y a beaucoup de personnages mais aucun ne se détache vraiment.
J'ai trouvé l'esthétique sympa avec beaucoup de détails. L'ambiance qui se dégage de cette BD est agréable.
Bref:
Une lecture agréable mais qui ne me marquera pas plus que ça.
https://aufildesplumesblog.wordpress.com/2017/04/05/green-manor-t1-assassins-et-gentlemen-de-bodart-et-vehlmann
Londres, fin XIXème - début XXème siècle. Un club réputé, le "Green Manor's club". D'élégants gentlemen en apparence tous aussi respectables les uns que les autres ... mais en apparence seulement ! Car au sein de ce club prestigieux, entre deux verres de brandy, nos amis british s'adonnent à leur passe-temps favori : imaginer le crime parfait ... et le réaliser !
Succession de plusieurs récits policiers, GREEN MANOR est une série sympathique qui séduit autant par son graphisme que par son ambiance. Les différentes histoires proposées sont pour la plupart excellentes, même si certaines sont un peu tirées par les cheveux. Le ton "so british", mêlé à un humour noir des plus délectables, donne toute sa saveur à l'atmosphère de la série. Enfin, à l'imagination de Velhmann s'ajoute le dessin de Bodart, classique mais très plaisant.
Au final, ce premier opus de GREEN MANOR s'avère être une vraie réussite et sa lecture est des plus agréables.
Bodart, Vehlmann... Sens du rythme, histoires folles, humour, ambiance... Que reste t il a dire sur cette série géniale...
Sinon, des couvertures et une série "humour libre" qui dévalorisent ce bijou,dommage.
Bravo bravo et bravo
bonne série , j'aime ce genre de dessins, les histoire sont sympas, mais il me manque un truc pour vraiment adoré
E-X-C-E-L-L-E-N-T! Pour l'humour noir, british et pour toutes ces courtes nouvelles qui mènent au meurtre, sans trop de fioritures...À offrir à celui qui adore les romans policiers, les Sherlock et pourquoi pas, les bouquins d'aliéniste...
Bel hommage à la littérature anglaise du 19éme siécle! Cet enchainement de petits récits est vraiment savoureux. Le dessin s'accorde bien à l'ambiance nuit brumeuse londienne.
J'aime en particuliers 21 Hallebardes même si au début j'ai crié au sacrilége: en vouloir à la vie de Conan Doyle! L'hommage est fait au genre polar mais aussi à l'humour so British de nos voisins d'outre Manche...
Conseil de lecture: à lire le soir devant la cheminée avec une tasse de thé!
Le source ayant présidé à l'inspiration du Green Manor, ce "hellfire club" so british, paraît on ne peut plus évidente : le fameux De l'assassinat considéré comme l'un des beaux arts, par Thomas de Quincey (auteur également de Confessions d'un mangeur d'opium). Et justement, tout le talent des auteurs est d'être parvenu à restituer tout ce sel si particulier, mélange d'humour noir, de cynisme grinçant, saupoudré, pour faire bonne mesure, d'un soupçon (pardonnez le jeu de mot) d'ambiance victorienne. La forme est classique : une succession de courtes histoires, toutes censées s'être produites dans les entrailles du club, véritable nid de gentlemen amoraux au goût prononcé pour le sang mais d'une parfaite respectabilité. Le dessin est correct ; il restitue la saveur de l'ambiance victorienne (la fin de cette période, en fait) sans atteindre le chef d'oeuvre. Mais ça n'est pas le but, pas plus que le point fort de la série. Non, ce qui confère indubitablement à Green Manor sa très grande qualité, c'est la force de ses scénarios, de petits bijoux ciselés avec drôlerie, humour et, surtout, une très grande inventivité ! du loufoque au pastiche de meurtre en chambre close, tout y est abordé et écorné. Dans le genre, c'est du grand art.
Hommage à la littérature policière du XIXe, "Green Manor" est un véritable
plaisir de lecture. Mélange de suspens, de mystère et d'une bonne dose de
cynisme, cet album présente de courtes histoires policières entre Sherlock
Holmes et E. Poe, mais toujours sous un second degrè volontairement moqueur.
Il suffit de lire l'histoire "21 hallebardes", où deux "intellectuels" rafinés se
vantent d'être en mesure de réaliser un meutre en Oeuvre d'Art pour finir par
s'apercevoir qu'ils ne sont que "deux pitoyables bouffons", c'est là le fond de
cette série : derrière ces énigmes jugées par le beau monde, on nous présente
un univers compacé et prétentieux qui n'a rien de plaisant.
A noter aussi les superbes introductions et conclusions où le talent de Bodart
génère une ambiance morbide et inquiétante qui pénètre immédiatement le
lecteur. Un délice pour les amateurs d'humour noir.