Les gouttes de Dieu
6. Tome 6
Une BD de
Tadashi Agi
et
Okimoto, Shu
chez Glénat
(Glénat Seinen Manga)
- 2009
Agi, Tadashi
(Scénario)
Okimoto, Shu
(Dessin)
<N&B>
(Couleurs)
Douaud, Sébastien
(Lettrage)
Thévenon, Anne-Sophie
(Traduction)
02/2009 (25 février 2009) 232 pages 9782723466530 Format Manga 82832
L’heure tant attendue du premier duel a enfi n sonné ! Réunis dans la demeure de maître Kanzaki, Shizuku et son rival Issei doivent dévoiler le vin qu’ils ont choisi, conformément à la description qui a été faite du premier des « douze apôtres ». On découvrira également les raisons qui ont fait de Chosuke un fervent amoureux du vin italien, au détriment du vin français, à travers son histoire d’amour contrarié. Avec, comme à chaque volume, de grands vins toujours aussi magistralement décrits !
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Tome 1 -
Tome 2 -
Tome 3 -
Tome 4 -
Tome 5 -
Tome 6 -
Tome 7 -
Tome 8 -
Tome 9 -
Tome 10 -
Tome 11 -
Tome 12 -
Tome 13 -
Tome 14 -
Tome 15 -
Tome 16 -
Tome 17 -
Tome 18 -
Tome 19 -
Tome 20 -
Tome 21 -
Tome 22 -
Tome 23 -
Tome 24 -
Tome 25 -
Tome 26 -
Tome 27 -
Tome 28 -
Tome 29 -
Tome 30 -
Tome 31 -
Tome 32 -
Tome 33 -
Tome 34 -
Tome 35 -
Tome 36 -
Tome 37 -
Tome 38 -
Tome 39 -
Tome 40 -
Tome 41 -
Tome 42 -
Tome 43 -
Tome 44 -
HS
Sixième opus de la saga des Gouttes de Dieu. Petite pause après la découverte du premier apôtre et dégustation des cinq premiers crus classés de Bordeaux. Un tome de transition très agréable à lire.
Est-ce une certaine lassitude qui s'empare de nous après le premier millier de pages ? Est-ce plutôt réellement "un coup de barre" de Tadashi Agi qui peine - et on le comprend - à renouveler son concept de départ ? Toujours est-il que ce sixième tome de la saga oenologue des "Gouttes de Dieu" nous enthousiasme et nous charme moins que les précédents : entre la répétition systématique de l'illustration visuelle (éblouissante certes) des sensations apportées par les vins dégustés (personnellement, je tique un peu sur l'assimilation du Château Margaux à la Reine Cléopâtre, mais je suppose que, vu du Japon…) et le relatif manque d'intérêt du nouveau défi relevé par Shizuku (prouver à un snob qu'il n'y a pas que la "marque" du vin qui compte, une question pertinente il est vrai dans les pays où la culture du vin n'est pas encore établie…), on patauge un peu dans la banalité ici. Et ce n'est pas la résolution de la première énigme - il en reste 12, ouuufffouuufff ! - qui nous rassure sur notre capacité à poursuivre un tel marathon...