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L’Odéon de Londres vient de brûler… Un pasteur qui se promène en pleine nuit
aux abords d’un cottage est attaqué par des inconnus… Des motards hantent une
route de campagne… Une femme alitée dans un sinistre lit d’hôpital ne survit que
grâce à des appareils sophistiqués…
Rodolphe nous invite à suivre les pérégrinations d’un homme, co-auteur de
Gothic — une pièce de théâtre qui semble sortir de l’ordinaire — dans un bien
étrange univers où la réalité et le fantasme se croisent en permanence. A la
lecture de ce nouvel opus, le lecteur se retrouve plongé dans l’imaginaire de
Poe, une sorte de maison Usher, en plein milieu de la forêt.
Le dessin de Marcelé est admirable, croisement de Muñoz (le pasteur), de Miller
(la pluie) et de Comès (la forêt et les convives de la soirée du Baron)… Son trait
délicat et plein d’âme nous donne envie de lire l’album en noir et blanc, tant la
maîtrise des contrastes est parfaite.
L’intrigue connaît sont point d’orgue avec une soirée hors du temps, dans une
demeure bourgeoise perdue au milieu de nulle part, qui se transforme en orgie,
ultime moment de la décadence de l’homme, à la manière de Schnitzler. Pendant
ce temps, la police enquête sur une affaire criminelle, l’incendie d’un lieu de
spectacle, mais sait-elle ce qui se passe vraiment ?
De ce combat entre le Bien — réel ou supposé — et le Mal — quel est son
véritable visage ? — le lecteur ne peut que retenir son souffle et attendre la suite
avec impatience.
Le rideau a brûlé mais le spectacle continue…
L’Odéon de Londres vient de brûler… Un pasteur qui se promène en pleine nuit
aux abords d’un cottage est attaqué par des inconnus… Des motards hantent une
route de campagne… Une femme alitée dans un sinistre lit d’hôpital ne survit que
grâce à des appareils sophistiqués…
Rodolphe nous invite à suivre les pérégrinations d’un homme, co-auteur de
Gothic — une pièce de théâtre qui semble sortir de l’ordinaire — dans un bien
étrange univers où la réalité et le fantasme se croisent en permanence. A la
lecture de ce nouvel opus, le lecteur se retrouve plongé dans l’imaginaire de
Poe, une sorte de maison Usher, en plein milieu de la forêt.
Le dessin de Marcelé est admirable, croisement de Muñoz (le pasteur), de Miller
(la pluie) et de Comès (la forêt et les convives de la soirée du Baron)… Son trait
délicat et plein d’âme nous donne envie de lire l’album en noir et blanc, tant la
maîtrise des contrastes est parfaite.
L’intrigue connaît sont point d’orgue avec une soirée hors du temps, dans une
demeure bourgeoise perdue au milieu de nulle part, qui se transforme en orgie,
ultime moment de la décadence de l’homme, à la manière de Schnitzler. Pendant
ce temps, la police enquête sur une affaire criminelle, l’incendie d’un lieu de
spectacle, mais sait-elle ce qui se passe vraiment ?
De ce combat entre le Bien — réel ou supposé — et le Mal — quel est son
véritable visage ? — le lecteur ne peut que retenir son souffle et attendre la suite
avec impatience.
Le rideau a brûlé mais le spectacle continue…