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J'ai beaucoup aimé la narration à la voix-off d'un speaker ainsi que la mise en image des différentes cases en noir et blanc de ce polar new-yorkais. Il y a quelque chose de véritablement ingénieux dans l'originalité de cet univers car tout semble s'enchaîner dans une ambiance assez lourde et mafieuse. On vit véritablement ce match de boxe décisif tout en essayant des esquives. Gong sonne la cloche et cela cogne déjà fort dans ce stadium !
L'auteur a pris des risques au fil des rounds et cela se ressent. D'autres lecteurs y verront peut-être un aspect assez chaotique comme un tabassage de violence sourde. Pour autant, on ne regrettera pas cette lecture dans une victoire par KO.
Laurent Astier est un auteur que je suis depuis ses débuts, surtout pour l'originalité de ses univers et la diversité dont il peut faire preuve d'un album à l'autre. Gong est un bel exemple de cette diversité. Le choix du noir et blanc se révèle judicieux et permet une immersion immédiate dans l'histoire d'un boxeur en proie à la cruauté du milieu. Les personnages sont fouillés, les rebondissements bien amenés, la narration subtile, la mise en scène impeccable... et la fin plutôt bien tournée. Gong est peut-être à ce jour l'oeuvre la plus aboutie de Laurent Astier et il concentre dans ces quelques moments de grâce une intensité qui fonctionne à merveille.
Je ne connaissais que Poison de Astier, et le style n'a absolument rien à voir, ici.
A première vue, mon impression sur cet album est mitigée. Les pages sont chaotiques, il n'y a pas de cases précises et définies mais plutôt un grand mélange, un peu comme Gotlieb en a l'habitude (mais là, bien sûr le registre est tout sauf comique!). Comme son boxeur de "héros", Astier prend des risques et tabasse sec en noir et blanc. Du coup, certaines pages sont très réussies, d'autres, plus rares, me paraissent presque ratés. Mais l'ensemble est hyper dynamique, on a l'impression de se trouver au coeur de l'histoire. Rien à dire sur la couverture par contre, comme chacun pourra le vérifier sur la BEL...
Niveau scénar, c'est là aussi mitigé: si globalement elle me convient très bien(cet univers pourri autour des rings, cette construction en cascade qui voit défiler les évènements au fur et à mesure que s'égrennent les secondes et les rounds d'un combat...), il y a tout de même quelques points qui me gênent: cette héroîne, trop Cosette pour être crédible, et cette fin déroutante: est-ce un final ouvert?? je n'ai pas bien saisi pour tout dire...
Bref: tout n'est pas parfait certes, mais globalement, je ne regrette pas du tout mon acquisition, car vraiment ce récit se vit comme un match de boxe, on sent une excitation réelle à la lecture, ce qui arrive tout de même rarement dans une bd. Ses quelques défauts en deviennent des avantages: on bouge sans cesse, on esquive, on tourne autour des personnages, parfois on ne sait plus où l'on est, on doit tourner le livre en tous sens pour comprendre et retrouver ses esprits, et on compte les points en attendant qu'une chose: la fin du round, histoire de se libérer un peu.
A deuxième vue donc,.... j'adore cet album.
Pas la peine de mettre de note, c'est une victoire par KO.
J'ai beaucoup aimé la narration à la voix-off d'un speaker ainsi que la mise en image des différentes cases en noir et blanc de ce polar new-yorkais. Il y a quelque chose de véritablement ingénieux dans l'originalité de cet univers car tout semble s'enchaîner dans une ambiance assez lourde et mafieuse. On vit véritablement ce match de boxe décisif tout en essayant des esquives. Gong sonne la cloche et cela cogne déjà fort dans ce stadium !
L'auteur a pris des risques au fil des rounds et cela se ressent. D'autres lecteurs y verront peut-être un aspect assez chaotique comme un tabassage de violence sourde. Pour autant, on ne regrettera pas cette lecture dans une victoire par KO.
Laurent Astier est un auteur que je suis depuis ses débuts, surtout pour l'originalité de ses univers et la diversité dont il peut faire preuve d'un album à l'autre. Gong est un bel exemple de cette diversité. Le choix du noir et blanc se révèle judicieux et permet une immersion immédiate dans l'histoire d'un boxeur en proie à la cruauté du milieu. Les personnages sont fouillés, les rebondissements bien amenés, la narration subtile, la mise en scène impeccable... et la fin plutôt bien tournée. Gong est peut-être à ce jour l'oeuvre la plus aboutie de Laurent Astier et il concentre dans ces quelques moments de grâce une intensité qui fonctionne à merveille.
Je ne connaissais que Poison de Astier, et le style n'a absolument rien à voir, ici.
A première vue, mon impression sur cet album est mitigée. Les pages sont chaotiques, il n'y a pas de cases précises et définies mais plutôt un grand mélange, un peu comme Gotlieb en a l'habitude (mais là, bien sûr le registre est tout sauf comique!). Comme son boxeur de "héros", Astier prend des risques et tabasse sec en noir et blanc. Du coup, certaines pages sont très réussies, d'autres, plus rares, me paraissent presque ratés. Mais l'ensemble est hyper dynamique, on a l'impression de se trouver au coeur de l'histoire. Rien à dire sur la couverture par contre, comme chacun pourra le vérifier sur la BEL...
Niveau scénar, c'est là aussi mitigé: si globalement elle me convient très bien(cet univers pourri autour des rings, cette construction en cascade qui voit défiler les évènements au fur et à mesure que s'égrennent les secondes et les rounds d'un combat...), il y a tout de même quelques points qui me gênent: cette héroîne, trop Cosette pour être crédible, et cette fin déroutante: est-ce un final ouvert?? je n'ai pas bien saisi pour tout dire...
Bref: tout n'est pas parfait certes, mais globalement, je ne regrette pas du tout mon acquisition, car vraiment ce récit se vit comme un match de boxe, on sent une excitation réelle à la lecture, ce qui arrive tout de même rarement dans une bd. Ses quelques défauts en deviennent des avantages: on bouge sans cesse, on esquive, on tourne autour des personnages, parfois on ne sait plus où l'on est, on doit tourner le livre en tous sens pour comprendre et retrouver ses esprits, et on compte les points en attendant qu'une chose: la fin du round, histoire de se libérer un peu.
A deuxième vue donc,.... j'adore cet album.
Pas la peine de mettre de note, c'est une victoire par KO.
Superbe polar en noir et blanc...et c'est sans doute ce qui porte l'histoire. Rien à redire. Ca cogne fort