Goldorak (Bajram/Dorison/Cossu/Sentenac)
Goldorak
Une BD de
Xavier Dorison
et
Alexis Sentenac
chez Kana
(Kana Classics)
- 2021
Dorison, Xavier
(Scénario)
Bajram, Denis
(Scénario)
Sentenac, Alexis
(Dessin)
Bajram, Denis
(Dessin)
Cossu, Brice
(Dessin)
Guillo, Yoann
(Couleurs)
Bajram, Denis
(Couleurs)
Blanchard, Anaïs
(Couleurs)
Bajram, Denis
(Storyboard)
Sentenac, Alexis
(Storyboard)
Cossu, Brice
(Storyboard)
Bajram, Denis
(Encrage)
Sentenac, Alexis
(Encrage)
Cossu, Brice
(Encrage)
Bajram, Denis
(Couverture)
Nagai, Gô
(Adapté de)
10/2021 (15 octobre 2021) 123 pages 9782505078463 Format normal 431465
La guerre entre les forces de Véga et Goldorak est un lointain souvenir. Actarus et sa sœur sont repartis sur Euphor tandis qu’Alcor et Vénusia tentent de mener une vie normale. Jusqu’au jour où, issu des confins de l’espace, surgit le plus puissant des golgoths de la division Ruine : Hydragon. Face à lui, les armées terriennes sont balayées et les exigences de la dernière division de Véga sidèrent la planète ; sous peine d’annihilation totale, tous les habitants du Japon ont sept jours pour quitter leur pays et laisser les forces de Véga coloniser... Lire la suite
Quand j'ai appris que Denis Bajram était sur le projet d'un album de BD de Goldorak, mon sang n'a fait qu'un tour.
Fan de Goldorak et complètement sous le charme de UW1 de M. Bajram je suis allé acheter l'album dès sa sortie. Une seule chose m'a déçu... Je n'ai pas eu la chance de faire partie des sélectionnés pour avoir une dédicace d'un de mes auteurs préféré. Il était pourtant là, juste devant moi, mais le nombre de places était limité...
Dessin animé de mon enfance, j'avais peur d'être déçu par cette nouvelle BD.
Il faut bien l'avouer, graphiquement je trouve que c'est remarquable, tant au niveau du dessin que du découpage.
Les traits des personnages sont fidèles à l'animé, avec un soupçon de moderne, j'aime beaucoup !
Sur le scénario, c'est pas mal... on aurait pu mieux faire mais c'est pas mal.
Conclusion : One shoot très appréciable, merci !
Les deux étoiles sont pour les dessins et les couleurs qui sont magnifiques.
En ce qui concerne le scénario, j'ai beaucoup moins apprécié. J'ai trouvé ça beaucoup trop simpliste et déjà vu. Décevant...
Au-delà de l'histoire de Goldorak, la BD clarifie un vrai message plus philosophique. Surprenant à découvrir à 50 ans après avoir été fan du dessin animé dans les années 80.
C'est un très bel hommage à ce dessin animé qui a marqué les enfants dans les années 80 (dont les auteurs et moi même faisons partie).
Le scénario reste fidèle (trop fidèle?) à l'esprit du dessin animé, avec quelques nuances intéressantes.
Les graphismes sont magnifiques. Le découpage, les couleurs sont superbes.
Le dessin arrive à respecter l'univers de son modèle mais en l'enrichissant tellement qu'on approche du génie.
Si ce one-shot a tout ce qu'il faut pour charmer les fans, je ne suis pas convaincu que les non-initiés seront séduit.
Grosses ficelles, peu de maturité, enfantin. On est souvent influencé par la hype et la critique médiatique. Là, j'étais chaud. Mais déçu. J'attendrais probablement trop par rapport à l'émotion de ma jeunesse :)
Un indispensable pour tout gosse ayant rêver de piloter Goldorak.
40 ans plus tard , les auteurs nous font de nouveau rêver.
Les auteurs nous offrent des moments d'émotions, et çà , en BD, ce n'est pas évident.
A lire
A relire
Je ne l'attendais pas cet album mais il s'est imposé comme une évidence quand je l'ai vu arriver. Je garde un souvenir lointain de la série et je n'avais bien sur pas saisi toute la trame de l'histoire à l'époque. Le résumé introductif qui explique enfin le tout est donc plus que bienvenue.
Après je dois dire que l'album se déguste, tant pour la qualité du dessin et des couleurs que pour l'histoire. Il est bon de voir que les personnages ont également gagnés en épaisseur, c'est un excellent mixte entre l'original et la complexité des adultes. J'ai aussi apprécié que le final rejoigne le thème de Macross SDF (1982), ce n'est pas forcément voulu mais cela permet un pont entre franchise et cette époque.
Même si le cahier final le confirme, on sent le travail soigné à tout moment. Les moments clés emblématiques de la série reviennent par touches successives sans forcer. Le easter egg vinyle, c'est tellement drôle... Merci à vous les auteurs d'avoir tenu ce projet sur la longueur avec autant de passions. je serai curieux également de savoir si il va être édité au Japon et comment il a été reçu ?
FINALEMENT ! Après plus d’un an d’attente, je tiens enfin cet album mythique entre mes mains. Ayant été admirateur de la série durant ma jeunesse, je fus à la fois enthousiasmé et très anxieux à l’annonce de ce projet exceptionnel.
Enthousiasme de voir ce héros de légende revenir pour une dernière histoire, certes ; mais très anxieux, car, comme probablement nombre d’entre vous, j’ai été extrêmement déçu par cette vague de « remake » qui nous déferle dessus depuis quelques années.
Cela dit, BRAVO ! Les auteurs de cette BD ont créé une œuvre magistrale tout à la hauteur du personnage. Les dessins sont sublimes, l’action bien dosée et l’intrigue bien ficelées. Ce que j’ai surtout adoré fut le traitement octroyé à toute la caste de nos protagonistes ; ce qu’ils sont devenus et comment ils ont évolué, tous, de leurs côtés. Mais en particulier, comment Actarus fut affecté par toutes ces années passées au combat et sa réaction face à toute cette destruction qu’il a causé au nom de la victoire. Un sentiment que partagent nombre de vétérans et survivants de conflits armés.
Pour couronner le tout, l'addition des planches d’études et de développements, incluant la lettre adressée à Go Nagai (le créateur de Goldorak) qui ajoute une valeur supplémentaire à cet ouvrage. En fait, la seule petite erreur que j’ai aperçue fut au sujet de la blessure d’Actarus... elle est revenue alors qu’elle avait été guérie dans l’épisode 71 intitulé : « Mon meilleur ami ». Mais cela n’enlève rien à l’histoire et même sert plutôt bien l’intrigue.
En conclusion, si vous êtes comme moi, un nostalgique de ces vielles série de dessins animés, vous adorerez cet album. Les auteurs ont abordé le matériel original avec le plus grand des respects et le résultat dépasse de loin toutes mes attentes envers eux.
Un incontournable pour votre collection. Je le recommande fortement.
Bercé par Goldorak dans ma jeunesse, comme de nombreux "vieux" j'étais dans l’expectative pour cet album.
Beaucoup de talentueux auteurs sur cet album mais j'attendais le résultat avec inquiétude...
Allaient-ils réussir à me faire rêver à nouveau ou à me décevoir....
Le résultat est simple : un dessin sublime, un scénario à la fois nostalgique et moderne, des méchas sublimes, des combats dantesques, le trait des personnages respecté, la petite morale à la fin...
Au final, une bonne surprise et une bonne lecture.
Ce soir j'ai pris une claque... mais une belle claque. Grâce à Dorison, Bajram , Cossu, Sentenac et Guillo et leur pari fou de faire revivre, le temps d'une histoire, Goldorak.
Quiconque a été jeune dans les années 70, 80 connait Goldorak. Un robot venu d'ailleurs pour protéger la Terre des forces de Vega. La série faisait 74 épisodes. Cette BD est le digne 75ème épisode.
Une histoire superbement ficelée avec une évolution du personnage principal tout à fait crédible. On retrouve la patte de Bajram et de sa foi en l'humanité qui est en chaque individu d'où qu'il soit (ceux qui ont lu ses autres séries savent de quoi je parle).
J'ai retrouvé avec plaisir certains lieux emblématiques de la série. Les auteurs ont réussi à restituer les personnages, l'ambiance, les souvenirs. On y retrouve certains easter eggs envoyés comme des balises temporelles aux enfants des années 80 qui sommeillent en nous. Sans vous dévoiler l'histoire, je peux vous dire que Goldorak a évolué et qu'il se réconcilie avec notre époque.
Ce livre apporte aussi une morale qui est d'autant plus importante qu'elle trouve écho à une actualité réelle de plus en plus présente.
Messieurs, je vous remercie pour ce moment de pur bonheur.
Allez, j'y vais moi aussi de mon petit couplet sur Goldorak :
Comme tous les quarantenaires biberonnés à Récré A2, j'ai forcément la nostalgie facile. Sans avoir été non plus un grand fan de la série dans mon enfance, je me suis senti quasiment obligé d'acheter cet album, poussé par une petite voix intérieure...
Mais ça va, ça fonctionne. C'est propre et bien goupillé. Du Goldorak pur jus avec un petit truc en plus qui en fait une BD pas si con que ça. Voire même très bien par endroits. Le scenario est malin, l'œuvre originale totalement respectée, portée par l'idée de la rendre plus mature avec une réflexion de fond et des personnages vulnérables.
Pas du tout indispensable, faut pas exagérer. Mais à lire, oui, clairement.
A l'inverse de la majorité, j'ai trouvé cet album ennuyeux. Compositions des planches sans grande originalité, dessins sans caractère (forcément, à plusieurs c'est chaud), scénario sans surprise, sans mystère ou suspense. Les bons points : une colorisation travaillée, des bonus intéressants et une couverture qui claque !
A réserver aux fans inconditionnels de la série...
J'étais pourtant devant Récré A2 et le Club Dorothée comme tous les actuels quadra mais je trouvais Goldorak redondant, ce n'était pas mon dessin-animé préféré. Un ranch tranquille, un Golgoth malveillant, Goldorak Go, astérohache et adieu le Golgoth ! Et la voix insupportable de Vénusia... Seuls les ennemis avaient du charisme.
Denis Bajram, si vous pouvez poursuivre UW2 plutôt que perdre votre temps dans ce type de projet...
Par contre, çà se vend bien, c'est positif pour les auteurs !
PS : Vous êtes sûr que Dorison était au scénario ?
Je suis incontestablement de cette génération où il n'y avait que trois chaînes de télévision et un dessin animée unique en fin d'après-midi après l'école. C'est la génération Goldorak et le premier manga qui a révolutionné tous les codes. Merci à Dorothée de l'avoir introduit en France au grand dam de la dinde du Poitou.
Quelle joie de retrouver Actarus et les personnages même s'ils ont un peu vieilli car l'action se situe 10 ans après la fin du dessin animée! La jeune génération va pouvoir faire la connaissance de ce héros venu d'une planète décimé par les troupes de Vega et ses golgoths.
Les auteurs ont su aller plus loin qu'un scénario simpliste en apportant tout leur savoir-faire pour ce projet mûrement réfléchi. Le dessin est réellement soigné avec une précision des détails hors norme. Même la colorisation est sublime. C'est dire ! Cet album constitue un véritable hommage réussi au plus puissant des robots.
Il y aura quelques surprises comme l'émergence d'un couple nouveau que l'on, pensait improbable à l'époque. Et puis, même si c'est assez guerrier, il est question de savoir faire la paix avec ses ennemis ce qui est une thématique nouvelle pour un Goldorak. Bref, on va dépasser le manichéisme des débuts.
Goldorak, c'est plus qu'un mythe, c'est une légende. Certes, il y avait la nostalgie de retrouver Goldorak au début de cette lecture mais cela va plus loin désormais. C'est un bonheur et une réussite. Astéro Hache et Fulguropoing seront au rendez-vous !
J'avais peur d'être déçu ou d’être face a un album style Manga mais finalement c'est un digne hommage a ce héros, une version actualisé en fait ou devrais je dire, une adaptation "Bande Dessinées" classique par des auteurs et dessinateurs contemporains.
Des plus et des moins pour ce tome 'one shot' revival du héros de notre enfance ...
Les plus : Un énorme flashback en 1978 ... je courrais après l'étude pour ne pas rater le début diffusé dans Récré A2. Pour ce tome, des graphismes superbes, un vrai fan service, un beau respect de l'histoire originelle, des noms et des armes, une vraie suite de la série animée. Un beau rendu d'un Actarus sombre et tourmenté. On sait enfin comment Actarus change ses habits pour sa combinaison de pilote ('Métamorphose !').
Les moins : Un loupé dans la mise en couleur, du coup les personnages semblent avoir rajeuni (15 ans aprés !). Le graphisme du Bizarrogoth, car la nano-technologie n'est pas du tout bien rendue, on a l'impression qu'il s'est trempé dans un bidon de pétrole (ou alors c'est ça l'idée), des loupés scénaristiques (Vénusia amoureuse d'Alkor ??? Phénicia pas amoureuse d'Alkor ???). Pas assez de golgoths et de combats à mon goût, même si on les aperçoit dans la soucoupe amirale vers la fin. On aurait pu croire que les Végans avaient enfin compris qu'il fallait envoyer 12 golgoths pour exploser Goldorak une bonne fois pour toute ... et on ne sait toujours pas pourquoi lors du 'transfert' de la soucoupe vers le poste de pilotage de Goldo, le siège fait 2 demi-tours ... et puis il manque Kosmorak (voir épisode 74) ...
Pour moi, un bel exercice où les auteurs se sont fait plaisir (j'imagine, à quel point) en collaborant sur ce revival, mais même si c'est extrêmement beau, je suis resté sur ma faim et je trouve que le sujet a été survolé ... j'aurais aimé que l'histoire murisse un peu plus ... à l'image de ses fans !
Dernier bémol : ce n'est pas du fait des auteurs, mais Goldorak sans les musiques de Shunsuke Kikuchi, ça enlève beaucoup au récit ...
Quand vous avez comme moi plus de 40 ans, Goldorak est une Madeleine de Proust unique, un monument intouchable de l'imaginaire de mon enfance.
Revisiter le mythe? quel culot !
Et pourtant : ça marche, et à la perfection ! Car Goldorak est une oeuvre magistrale qui respecte autant qu'elle revisite l'oeuvre initiale. Un bravo aux auteurs pour ce tour de force, d'autant plus réussi que les risques de déception étaient élevés.
5/5, une réussite absolue, à lire sans réserve.
Énorme. Je viens de lire le bouquin et je n’ai pas pu le refermer avant la fin. Tout est parfait, le scénario, les planches avec l’encrage, la couleur, le découpage, et le dessin. J’essaye de trouver des défauts mais je n’en trouve pas. En plus on évite la nostalgie tout en amenant du moderne. Le postulat de départ de continuer l’histoire quelques années après est génial.l’ Exercice était périlleux, on pouvait s’attendre au pire mais également aux meilleurs vu les auteurs. La maquette également est très belle. Et le collector est vraiment sympa grand format avec des super bonus beaucoup d’encrage avec beaucoup d’explications, des story board, certains pleine page, tout ça pour un prix abordable dans un très joli coffret. Vraiment toutes les cases sont cochées, l’exercice était casse-gueule mais bravo vous avez réussi. Longue vie à ce Goldorak. Pourvu qu’il y en ai d’autres…
la je reconnais que les 5 auteurs français ont fait du bon travaillent que se soit sur les dessins le scenario et les couleurs sous les yeux bien sur de go Nagail qui a tous controler, exelent boulot
En revenge je ne comprend pas l'engouement autout du coffret collector que moi le 1er j'ai acquis,certains sites disent qu'ils est RARE et deja epuisée et que les encheres s'affolent sur EBAY,je tiens a rappeller que le coffret est sortie a 10 000 exemplaires MAIS c'est enormes,le coffret n'est pas non plus sortie a 2000 ou 5000 ex,comme disait une certaine serie tv americaine "la verité est ailleurs"
Je l'attendais depuis longtemps et je suis bluffé par le livre.
Une pure merveille à mes yeux.
C'est sublime mais j'ai également été emporté par le scénario, les personnages, la poésie et la mélancolie qui s'en dégagent.
Ayant revu la série animé avec mon fils ces dernières années, je ne m'attendais pas à une telle maturité des personnages et de l'histoire mais c'est franchement bien vu.
Bravo aux auteurs ! quel talent ! une réussite totale en ce qui me concerne.
Cinquantenaires de tous pays réjouissez-vous, Goldorak est de retour !
Nostalgiques de RecréA2, je vous invite à découvrir le nouvel album de Barjam, Cossu, Dorison, Sentenac et Guillo qui nous font revivre une nouvelle aventure de Goldorak.
Et quelle aventure !
Nous retrouvons nos héros vieillis, (la patrouille des aigles) presque désabusés pour certains (Actarus, étrangement barbu, particulièrement éprouvé au début de cet épisode), appelés, encore une fois, à sauver leur pays contre les Golgoths ; mais aussi Procyon,Rigel, Mizar,Banta
Le tour de force est tout de même de ne faire figurer Goldorak qu’à la moitié de l’album, qui compte 136 pages, sans pour autant dénaturer les souvenirs que l’on avait de ce dessin animé. Je dois avouer avoir eu des frissons, lorsque Actarus prononce le mythique « Goldorak Go ! », une véritable madeleine de Proust, vous dis-je, cet album. Et que dire du fameux « métamorphose ! », parfaitement dessiné par le trio Bajram, Cossu et Sentenac.
Justement côté dessin il faut souligner la qualité du travail, mais aussi les couleurs en parfaites adéquation avec celles du dessin animé et des pages parfois audacieuses (page 64) au niveau du découpage. Quelques clins d’œil sympathiques égrènent la lecture de l’album, comme le disque 45 tours que sort Procyon (page 60).
L’album est agrémenté d’un cahier de 16 pages sur la genèse de cette histoire, qui montre, s’il fallait encore le prouver, que les auteurs ont une passion dévorante pour Goldorak depuis leur plus tendre enfance. Cette passion s’est ressentie dans l’album qui, pour moi, est une de mes meilleures lectures de cette année.
Finalement, je retire ce que je disais en introduction « cinquantenaires de tous pays réjouissez-vous, Goldorak est de retour !», mes enfants de 20 et 21 ans m’ont emprunté l’album en faisant un « Waouh ! », au vu de la couverture.
« Goldorak » en définitive, n’appartient plus exclusivement aux gens de 50 ans ou plus, comme moi et tant mieux.
Un grand merci aux auteurs.
Une BD faite par des "vieux" fans, tous fabuleusement talentueux (les auteurs de Universal War One et du 3ème testament en tête), pour des "vieux" fans nostalgiques et ayant vibré dans leur enfance par le plus iconique des robots géants (du moins en France).
Cette histoire est un hommage à toute une enfance comme j'en ai rarement vu : l'histoire est vraiment chouette, les dessins et la colorisation sont à tomber, le respect de l'oeuvre originale animée est incroyable, le respect des enfants qui ont tous pris 40 ans et qui se souviennent avec tendresse et nostalgie de leurs goûters après l'école devant la télévision est absolu.
C'est vibrant, poignant, très émouvant pour moi qui ai grandi avec Goldorak.
En bref, c'est une réussite absolument magistrale et totale.
Sachez que ce 5/5 est une "petite" note à mes yeux, cette BD méritant clairement bien plus que ça.
En refermant le livre, j'ai eu une petite pensée pour Ségo : tu as toujours été à côté de la plaque, aujourd'hui (toujours) comme il y a 40 ans quand tu parlais de "japoniaiserie" et que tu fustigeais Goldorak.