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01/1967
44 pages
2800101253 Format normal
50 à 75 euros 3767
Le trio composé de Gil Jourdan, Libellule et Crouton tente de démasquer un gang de trafiquants de scooters en Chine, pour le compte d'un grossiste qui en possède le monopole et qu'on surnomme « Le Chinois à deux roues ».
Anecdote: Spirou original de 1966. Planche23b Libellule dit à Crouton "vous savez ce que vous fumez?des cigarettes à l'opium" "Réédition:"des cigarettes chinoises.C'est fait avec de la paille de riz".. Planche25b ".....autre chose en sautant,opiomane!" Opiomane est supprimé dans la réédition. P'tit coup de censure...!
Le dernier grand album de la série. L'atmosphère est un régal et la tension est bien palpable, tant GIL JOURDAN, Libellule et Crouton semblent ne jamais pouvoir se dépêtrer des situations périlleuses dans lesquelles ils se sont embarqués. Un album marqué par des conditions météorologiques dantesques (il pleut sans discontinuer de la première à la dernière page) qui rendent l'ambiance particulièrement pesante.
De l'action, du danger, des paysages superbes, des scènes spectaculaires et un dessin parfaitement maîtrisé; bref, un excellent épisode.
L'intérêt de la série ne réside pas dans les scénarii, mais plutôt dans le pouvoir d'évocation des décors de Tillieux et dans sa capacité à restituer les ambiances "polardiennes" des années 50. En contrepoint, les interventions du duo comique Libellule-Crouton désamorcent la tension dramatique du moment.
"Le chinois à deux roues" n'échappe pas à cette règle ; dès la première case de l'album, Tillieux nous plonge dans l'action, il lui suffit ensuite de deux pages pour poser les fondements de l'histoire en flashback avant de nous renvoyer aux dures réalités de l'excursion routière en terrain montagneux avec "Le salaire de la peur" et "100.000 dollars au soleil" en sous texte.
Curieusement, alors que notre trio n'en est pas à sa première (en)quête, Tillieux envoie ses héros affronter une Chine mystérieuse et hostile en costume-cravate, on a déjà vu plus pratique comme tenue de baroud, faut-il voir en cette singularité un indicateur de la confiance du trio en la brièveté de la mission. Ou alors une volonté de l'auteur d'identifier précisément ses personnages comme étant étrangers au décor ambiant ?
Je ne vous raconte pas l'histoire, celle-ci s'avère prenante de bout en bout et on se retrouve à la dernière case en regrettant d'être déjà à la fin.
Dernier chef d'oeuvre de la série.
Nous sommes en Chine, ce qui dans les années 60 est assez gonflé. Pourtant cette Chine est assez peu réaliste. Nous sommes d'abord dans le Si-Kiang, région inexistante. A moins qu'il ne s'agisse du Sin-Kiang, auquel cas les paysages dessinés ne correspondent pas vraiment (et même pas du tout !) à la région, pas plus d'ailleurs que les conditions climatiques.
Dans la même mesure, nous ne sommes pas dans la Chine de Mao, mais dans une Chine intemporelle, celle des seigneurs de la guerre et des brigands.
Pourquoi Tillieux n'a-t-il pas choisi de créer un état fictif comme autrefois le Macassara et la principauté du Gomen dans le dernier album ("Le gant à 3 doigts") ? Mystère.
En tout cas, il est assez significatif de voir que l'album s'achève alors que notre fine équipe est dans un avion haut dans le ciel. L'atterissage est pour bientôt.
Info édition : Tirage limité à 495 exemplaires numérotés de 1 à 495 et 50 exemplaires hors commerce avec certificat signé par l'éditeur. Dos toilé beige. Format 330 x 455 mm. Inclus 2 planches sérigraphiées sur cello et bleus de mise en couleur sur papier (pl. 18 et 35) et un portfolio de 6 autocollants dans une enveloppe illustrée ainsi qu'une carte marque-page. Avec 6 planches de César et une publicité Spirou par Tillieux en fin de volume.
Anecdote: Spirou original de 1966. Planche23b Libellule dit à Crouton "vous savez ce que vous fumez?des cigarettes à l'opium" "Réédition:"des cigarettes chinoises.C'est fait avec de la paille de riz".. Planche25b ".....autre chose en sautant,opiomane!" Opiomane est supprimé dans la réédition. P'tit coup de censure...!
Le dernier grand album de la série. L'atmosphère est un régal et la tension est bien palpable, tant GIL JOURDAN, Libellule et Crouton semblent ne jamais pouvoir se dépêtrer des situations périlleuses dans lesquelles ils se sont embarqués. Un album marqué par des conditions météorologiques dantesques (il pleut sans discontinuer de la première à la dernière page) qui rendent l'ambiance particulièrement pesante.
De l'action, du danger, des paysages superbes, des scènes spectaculaires et un dessin parfaitement maîtrisé; bref, un excellent épisode.
L'intérêt de la série ne réside pas dans les scénarii, mais plutôt dans le pouvoir d'évocation des décors de Tillieux et dans sa capacité à restituer les ambiances "polardiennes" des années 50. En contrepoint, les interventions du duo comique Libellule-Crouton désamorcent la tension dramatique du moment.
"Le chinois à deux roues" n'échappe pas à cette règle ; dès la première case de l'album, Tillieux nous plonge dans l'action, il lui suffit ensuite de deux pages pour poser les fondements de l'histoire en flashback avant de nous renvoyer aux dures réalités de l'excursion routière en terrain montagneux avec "Le salaire de la peur" et "100.000 dollars au soleil" en sous texte.
Curieusement, alors que notre trio n'en est pas à sa première (en)quête, Tillieux envoie ses héros affronter une Chine mystérieuse et hostile en costume-cravate, on a déjà vu plus pratique comme tenue de baroud, faut-il voir en cette singularité un indicateur de la confiance du trio en la brièveté de la mission. Ou alors une volonté de l'auteur d'identifier précisément ses personnages comme étant étrangers au décor ambiant ?
Je ne vous raconte pas l'histoire, celle-ci s'avère prenante de bout en bout et on se retrouve à la dernière case en regrettant d'être déjà à la fin.
Dernier chef d'oeuvre de la série.
Nous sommes en Chine, ce qui dans les années 60 est assez gonflé. Pourtant cette Chine est assez peu réaliste. Nous sommes d'abord dans le Si-Kiang, région inexistante. A moins qu'il ne s'agisse du Sin-Kiang, auquel cas les paysages dessinés ne correspondent pas vraiment (et même pas du tout !) à la région, pas plus d'ailleurs que les conditions climatiques.
Dans la même mesure, nous ne sommes pas dans la Chine de Mao, mais dans une Chine intemporelle, celle des seigneurs de la guerre et des brigands.
Pourquoi Tillieux n'a-t-il pas choisi de créer un état fictif comme autrefois le Macassara et la principauté du Gomen dans le dernier album ("Le gant à 3 doigts") ? Mystère.
En tout cas, il est assez significatif de voir que l'album s'achève alors que notre fine équipe est dans un avion haut dans le ciel. L'atterissage est pour bientôt.