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Venise. Place de splendeurs et de ténèbres, de satins et de guenilles. Clé de voûte d'une société portée par la poésie et la philosophie, mais surtout gangrenée par le pouvoir, les intrigues, la jalousie Nul besoin de présenter encore Monsieur de C, illustre séducteur de ces dames, en perpétuelle quête de liberté et d'argent ! Le voilà cependant la proie de son plus tenace ennemi, le marquis San Vere. Leur ultime affrontement fera de Venise le théâtre troublant d'une traque sans répit, déchaînement de toutes les passions. Canaux sinueux, palais... Lire la suite
Qui veut la peau de Giacomo ? Le marquis de San Vere bien sûr ! Et cette fois ci cela devient sérieux et toute la police de Venise se lance à ses trousses. Mais les femmes, de toutes conditions, les gueux et autres truands viennent en aide à cet amoureux de la vie qu’est notre Casanova.
Nous avons encore droit à la souris mimi que San Vere a mis en cage à côté d’un chat famélique. Il s’agit d’un piège pour Giacomo dont la souris lui rappelle à chaque moment son amour Caterina, disparu lors du deuxième album.
Giacomo va éviter tous les pièges tendus et réussir à fuir Venise après un final qui se jouera au fil de l’épée dans un affrontement avec San Vere.
A force de fuites en avant, cette fois ci « notre héros » doit fuir la réalité. Son existence même divise la ville, et ce jouisseur qui nargue les lendemains et de ce fait la société des hommes comprend que si avenir il y a, celui-ci sera ailleurs.
Il s’agit de l’album le plus tempétueux digne des films de capes et d’épées les plus enlevés. C’est effectivement du grand spectacle, à la limite du virtuose dans le genre. La tristesse vient terminer cette série merveilleuse, que j’ai apprécié de bout en bout, avec des personnages souvent farfelus mais cependant attachants.
Qu'il est difficile de conclure une telle série… Après 14 ans et autant d'albums, Dufaux et Griffo terminent donc avec ce 15e opus les aventures de Giacomo C.
Ce dernier album ressemble à un hommage au théâtre, tragique mais surtout comique: récitatifs et chœurs (les gueux, les femmes, les maris…) rythment cette dernière aventure de Giacomo à Venise. Dufaux a choisi de terminer de manière grandiloquente, au risque de mettre en péril le fragile équilibre entre histoire, réalisme, et aventure qui faisait le charme de al série. C'est du grand spectacle, et c'est parfois trop…
Même si l'on adhère pas à cet ultime scénario, il reste le dessin magnifique et les chaudes couleurs de Griffo.
Qui veut la peau de Giacomo ? Le marquis de San Vere bien sûr ! Et cette fois ci cela devient sérieux et toute la police de Venise se lance à ses trousses. Mais les femmes, de toutes conditions, les gueux et autres truands viennent en aide à cet amoureux de la vie qu’est notre Casanova.
Nous avons encore droit à la souris mimi que San Vere a mis en cage à côté d’un chat famélique. Il s’agit d’un piège pour Giacomo dont la souris lui rappelle à chaque moment son amour Caterina, disparu lors du deuxième album.
Giacomo va éviter tous les pièges tendus et réussir à fuir Venise après un final qui se jouera au fil de l’épée dans un affrontement avec San Vere.
A force de fuites en avant, cette fois ci « notre héros » doit fuir la réalité. Son existence même divise la ville, et ce jouisseur qui nargue les lendemains et de ce fait la société des hommes comprend que si avenir il y a, celui-ci sera ailleurs.
Il s’agit de l’album le plus tempétueux digne des films de capes et d’épées les plus enlevés. C’est effectivement du grand spectacle, à la limite du virtuose dans le genre. La tristesse vient terminer cette série merveilleuse, que j’ai apprécié de bout en bout, avec des personnages souvent farfelus mais cependant attachants.
Qu'il est difficile de conclure une telle série… Après 14 ans et autant d'albums, Dufaux et Griffo terminent donc avec ce 15e opus les aventures de Giacomo C.
Ce dernier album ressemble à un hommage au théâtre, tragique mais surtout comique: récitatifs et chœurs (les gueux, les femmes, les maris…) rythment cette dernière aventure de Giacomo à Venise. Dufaux a choisi de terminer de manière grandiloquente, au risque de mettre en péril le fragile équilibre entre histoire, réalisme, et aventure qui faisait le charme de al série. C'est du grand spectacle, et c'est parfois trop…
Même si l'on adhère pas à cet ultime scénario, il reste le dessin magnifique et les chaudes couleurs de Griffo.
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