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C'est un manga un peu particulier car il ne se passe pas grand chose. On suit une bande de jeunes gens dans le cadre d'un club de passionné de la culture visuelle moderne. Le genre de gens qui font la queue à minuit dans les magasins pour acheter le dernier jeu vidéo à la mode. Le genre également à être un otaku.
Je reconnais cependant que c'est plutôt bien dessiné avec un graphisme plutôt attrayant. Genshiken, c'est le nom raccourci de "Club d'Etude de la Culture Visuelle Moderne". Il faut être passionné de manga et d'anime. Il y a un véritable parcours initiatique qui va mener notre héros de l'université à la vie active.
C'est également un shonen difficile à classer entre les tranches de vie, l'humour et l'aspect sentimentale. On entre dans l'univers de la sous-culture nippone dans toute sa splendeur. Une série sympathique.
Excellent début de série qui décrit bien l'univers des Otaku. Les personnages et leur personnalité sont intéressants et on a un grand plaisir à les suivre dans leur passion. Vivement la suite.
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Genshiken
Club D’étude de la Culture visuelle moderne
De Kio shimoku
Le monde des Otakus version soft. On pourrait, si j’étais un Otaku, entrer dans de grandes envolées lyrique, ou faire un réquisitoire ( violent, évidemment !) contre tous ceux qui ne comprennent pas cette culture, et la considère injustement comme de la « sous-culture »
( terme à la fin du bouquin !). Et pourtant il faut bien avouer que l’auteur réussit à rendre touchante sa joyeuse petite troupe de tete en l’air.
Le problème( encore faut-il voir la vie comme un problème !)que l’on rencontre à la lecture de ce tome 1, c’est que finalement on en tire rien si ce n’est le « monde de l’Otaku » et ses errances que sont le Fanzinat, le Cosplay, le Comifest, les grandes joutes verbales lors de la sortie du dernier Anime/manga à la mode, Jeux vidéo…et la solitude qui en découle.
Bref mis à part quelques rituels d’intégrations différents en fonction des personnages dans le Club, de la manière d’assumer sa passion et soi-meme au sein d’un groupe
(Enfin, il faut dire que toute passion vit au travers des autres d’une manière positive ou négative, alors que dire de soi… !), il ne se passe pas grand chose.
Exceptée la jeune Saki Kasukabe qui a une vision très personnelle, en fait non pas tellement mais elle a du mal à comprendre que l’on puisse vivre d’une autre manière que la sienne.
Bon j’arrete là parce que je n’arrive pas à trouver un pole interessant à exploiter pour le titre, pourtant c’est loin d’etre raté.
Enfin, un petit mot sur la question de la « sous culture » et donc implicitement de la « sur culture ». Ca ne veut rien dire, évidemment, parce que l’on peut me jouer la 5 eme symphonie de Beethoven, celle ou le destin frappe à la porte, d’une manière correcte c’est-à-dire sans fausse note, et ce sans émotion. Non pas que je place l’émotion au dessus de tout parce qu’il y a des œuvres qui sont des stéréotypes d’émotions impossible à lire, ou à voir, mais bien parce qu’elle provoque le doute de l’émotion, ou de la sensibilité. Il ne s’agit pas, non plus, de tomber dans un torrent de 40 jours, ou dans la justesse comme on l’entend de temps à autre, mais bien dans une forme de force du doute.
Pour conclure les chroniques quotidiennes de nos Otakus en puissance se révèlent rafraîchissantes et réellement plaisante à lire, mettant en avant un mode de vie, rythmé par les envies, et les affres de nos héros.( Lequel ne l’est pas… !)
En d’autres termes, et meme si vous n’etes pas un Otaku comme moi, Genshiken est bizarrement une très bonne lecture.
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C'est un manga un peu particulier car il ne se passe pas grand chose. On suit une bande de jeunes gens dans le cadre d'un club de passionné de la culture visuelle moderne. Le genre de gens qui font la queue à minuit dans les magasins pour acheter le dernier jeu vidéo à la mode. Le genre également à être un otaku.
Je reconnais cependant que c'est plutôt bien dessiné avec un graphisme plutôt attrayant. Genshiken, c'est le nom raccourci de "Club d'Etude de la Culture Visuelle Moderne". Il faut être passionné de manga et d'anime. Il y a un véritable parcours initiatique qui va mener notre héros de l'université à la vie active.
C'est également un shonen difficile à classer entre les tranches de vie, l'humour et l'aspect sentimentale. On entre dans l'univers de la sous-culture nippone dans toute sa splendeur. Une série sympathique.
Excellent début de série qui décrit bien l'univers des Otaku. Les personnages et leur personnalité sont intéressants et on a un grand plaisir à les suivre dans leur passion. Vivement la suite.
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Genshiken
Club D’étude de la Culture visuelle moderne
De Kio shimoku
Le monde des Otakus version soft. On pourrait, si j’étais un Otaku, entrer dans de grandes envolées lyrique, ou faire un réquisitoire ( violent, évidemment !) contre tous ceux qui ne comprennent pas cette culture, et la considère injustement comme de la « sous-culture »
( terme à la fin du bouquin !). Et pourtant il faut bien avouer que l’auteur réussit à rendre touchante sa joyeuse petite troupe de tete en l’air.
Le problème( encore faut-il voir la vie comme un problème !)que l’on rencontre à la lecture de ce tome 1, c’est que finalement on en tire rien si ce n’est le « monde de l’Otaku » et ses errances que sont le Fanzinat, le Cosplay, le Comifest, les grandes joutes verbales lors de la sortie du dernier Anime/manga à la mode, Jeux vidéo…et la solitude qui en découle.
Bref mis à part quelques rituels d’intégrations différents en fonction des personnages dans le Club, de la manière d’assumer sa passion et soi-meme au sein d’un groupe
(Enfin, il faut dire que toute passion vit au travers des autres d’une manière positive ou négative, alors que dire de soi… !), il ne se passe pas grand chose.
Exceptée la jeune Saki Kasukabe qui a une vision très personnelle, en fait non pas tellement mais elle a du mal à comprendre que l’on puisse vivre d’une autre manière que la sienne.
Bon j’arrete là parce que je n’arrive pas à trouver un pole interessant à exploiter pour le titre, pourtant c’est loin d’etre raté.
Enfin, un petit mot sur la question de la « sous culture » et donc implicitement de la « sur culture ». Ca ne veut rien dire, évidemment, parce que l’on peut me jouer la 5 eme symphonie de Beethoven, celle ou le destin frappe à la porte, d’une manière correcte c’est-à-dire sans fausse note, et ce sans émotion. Non pas que je place l’émotion au dessus de tout parce qu’il y a des œuvres qui sont des stéréotypes d’émotions impossible à lire, ou à voir, mais bien parce qu’elle provoque le doute de l’émotion, ou de la sensibilité. Il ne s’agit pas, non plus, de tomber dans un torrent de 40 jours, ou dans la justesse comme on l’entend de temps à autre, mais bien dans une forme de force du doute.
Pour conclure les chroniques quotidiennes de nos Otakus en puissance se révèlent rafraîchissantes et réellement plaisante à lire, mettant en avant un mode de vie, rythmé par les envies, et les affres de nos héros.( Lequel ne l’est pas… !)
En d’autres termes, et meme si vous n’etes pas un Otaku comme moi, Genshiken est bizarrement une très bonne lecture.
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