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Cette série est trés bien menée au niveau du scénario, basé sur le théme des mutations génétiques. Pour les dessins, certains peuvent aimer, d'autres non, car c'est sûr qu'ils ne laissent pas indifférents. Pour ma part, j'ai eu un peu de mal à accrocher, je trouve les visages trop figés, trop statiques. Mais bon, question de goût.
Dans l'ensemble, j'ai passé un bon moment, série avec de l'action, de l'intrigue et quelques interrogations....
Il est vrai que cet album procure un sentiment "addiction" qui fait qu'on ne peut le
lâcher en cours de route. On dirait qu'on lit un film, ce qui est assez bien. On
dirait vraiment que les dessins ont été créés à partir de réelles photographies. Le
sujet est intéressant.
Là, où ça m'a cependant déplu et fait décrocher, c'est que le scénario est un
mélange de plusieurs films où le réel côtoie l'imaginaire: La Matrice, Vanilla Sky,
The tirtheenth floor et Dark city. Le suspense était bon jusqu'à ce qu'on découvre
où on veut nous mener. Là, je dois avouer que ça a dégonflé ma balloune de
plaisir. C'était très bien parti. Cependant, plusieurs questions demeurent sans
réponse; une chance que si on a vu tous les films pré-haut cités, on sera en
mesure de trouver des réponses qui nous conviennent.
Tout était pourtant bien ficelé avant que ça devienne du déjà "trop" vu et
qu'apparaissent soudainement les fils blancs de la couture...
Pondre un album qui parle de manipulation génétique n'est, à notre époque, plus un gage d'originalité, mais les 2 auteurs, par leur travail au niveau de l'ambiance et par l'épaisseur qu'ils arrivent à donner aux personnages font oublier haut la main toute critique. Au terme de l'album (que j'ai lu d'un traite jusque tard dans la soirée parce que j'étais accroc), on se dit en effet qu'on n'est pas face à des personnages archétypaux (des caricatures, quoi), mais on a fait la rencontre de vrais personnages avec une vraie épaisseur. Thomas Hale est plus que le "héros", c'est le gars intelligent mais à l'irresponsabilité suffisamment crasse pour qu'on aie envie de lui mettre une baigne. Soit. Je ne suis pas là pour parler de tous les personnages.
Reste Ponzio qui effectue un parcours sans faute et qui réussi très bien à rendre les ambiances oppressantes (Les remerciements adressés à Lynch et Cronenberg par les auteurs ne sont pas usurpés). Sa technique mi-photo retravaillée mi-dessin convient parfaitement à l'ambiance recherchée et empêche la bande dessinée de tomber dans la fadeur des "petits mickeys" qui auraient rendu banal un album qui semble ici indispensable.
Cette série est trés bien menée au niveau du scénario, basé sur le théme des mutations génétiques. Pour les dessins, certains peuvent aimer, d'autres non, car c'est sûr qu'ils ne laissent pas indifférents. Pour ma part, j'ai eu un peu de mal à accrocher, je trouve les visages trop figés, trop statiques. Mais bon, question de goût.
Dans l'ensemble, j'ai passé un bon moment, série avec de l'action, de l'intrigue et quelques interrogations....
Il est vrai que cet album procure un sentiment "addiction" qui fait qu'on ne peut le
lâcher en cours de route. On dirait qu'on lit un film, ce qui est assez bien. On
dirait vraiment que les dessins ont été créés à partir de réelles photographies. Le
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Là, où ça m'a cependant déplu et fait décrocher, c'est que le scénario est un
mélange de plusieurs films où le réel côtoie l'imaginaire: La Matrice, Vanilla Sky,
The tirtheenth floor et Dark city. Le suspense était bon jusqu'à ce qu'on découvre
où on veut nous mener. Là, je dois avouer que ça a dégonflé ma balloune de
plaisir. C'était très bien parti. Cependant, plusieurs questions demeurent sans
réponse; une chance que si on a vu tous les films pré-haut cités, on sera en
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Tout était pourtant bien ficelé avant que ça devienne du déjà "trop" vu et
qu'apparaissent soudainement les fils blancs de la couture...
Pondre un album qui parle de manipulation génétique n'est, à notre époque, plus un gage d'originalité, mais les 2 auteurs, par leur travail au niveau de l'ambiance et par l'épaisseur qu'ils arrivent à donner aux personnages font oublier haut la main toute critique. Au terme de l'album (que j'ai lu d'un traite jusque tard dans la soirée parce que j'étais accroc), on se dit en effet qu'on n'est pas face à des personnages archétypaux (des caricatures, quoi), mais on a fait la rencontre de vrais personnages avec une vraie épaisseur. Thomas Hale est plus que le "héros", c'est le gars intelligent mais à l'irresponsabilité suffisamment crasse pour qu'on aie envie de lui mettre une baigne. Soit. Je ne suis pas là pour parler de tous les personnages.
Reste Ponzio qui effectue un parcours sans faute et qui réussi très bien à rendre les ambiances oppressantes (Les remerciements adressés à Lynch et Cronenberg par les auteurs ne sont pas usurpés). Sa technique mi-photo retravaillée mi-dessin convient parfaitement à l'ambiance recherchée et empêche la bande dessinée de tomber dans la fadeur des "petits mickeys" qui auraient rendu banal un album qui semble ici indispensable.