2. Le cimetière des éléphants | largowinch11 | Très bon état | 35.00€ | |
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Info édition : Noté "84 05" au 4e plat. Il existerait un album pirate tiré à 26 exemplaires paru peu de temps avant l'EO (?).
Info édition : Liste des ouvrages du même auteur au verso.
Info édition : Format : 240 x 320 mm – Dos jaune et 4e plat fond vert avec portrait de Yves Chaland par Ted Benoit (signé) – Noté en page de garde : "Troisième édition" – Noté en p. 6 : "Première édition : 1984. © 1984 Humano S.A. et Yves Chaland Genève. Achevé d’imprimer en janvier 1991." – Sommaire: 2 récits de 22 et 23 planches séparés par une illustration pleine page en bichromie.
Info édition : Édition tirée à 1000 exemplaires. Dos toile bleue.
Info édition : Nouvelle édition en grand format ; ISBN différent; édition tirée à 1500 exemplaires ; dos toilé bleu.
Info édition : Tirage de luxe, limité à 100 exemplaires, réalisés entièrement à la main. Ce tirage se présente sous la forme d’un étui grand format, en Wintan Safia (imitation peau « maroquin »). Il comporte un marquage à chaud sur la couverture du titre ainsi que la signature d'Yves Chaland. L’étui s’ouvre en 2 par le centre. Il contient : •l’album au format 300 x 400 mm, reprenant la version NetB de cet album mythique. Impression des 45 planches en sérigraphie noir et blanc. •Insertion de 4 cases fortement agrandies au format 594 x 392 mm, imprimées en sérigraphie 3 à 4 couleurs. •Publication de la première histoire avec la planche 18 modifiée. •tranchefils ainsi qu’un signet. •3 autres cases seront imprimées en sérigraphie 6 à 7 couleurs à part Un soin est tout particulièrement apporté aux techniques d’impression, au papier et matière utilisée pour la couvrure des livres et étuis.
Info édition : Tirage de tête cartonné. Dos carré papier rouge. Édité à 827 exemplaires numérotés et signés dont 50 HC.
Deuxième album de Freddy Lombard, Le cimetière des éléphants, qui contient en réalité deux récits distincts.
Je me suis demandé tout au long de la seconde histoire si un lien allait être tissé entre les deux, mais il n'en ai rien, si ce n'est par le thème sur l'Afrique et la peuplade Bangobango. Il s'agit donc bien de deux récits différents, là aussi assez déroutants pour le lecture de BD classique que je suis.
Le premier récit se déroule en Afrique, l'Afrique de Jijé et Franquin, l'Afrique d'Hergé aussi.
Les enjeux du premier récit sont assez bien posés d'emblée, et l'histoire est très linéaire, ce qui n'est pas la marque de fabrique de Chaland, je crois qu'on peut le dire !
Il y aura un petit peu de chamanisme, un petit twist final à la Woody Allen et un triangle amoureux qui s'affine progressivement avec une meilleure connaissance des protagonistes par rapport à Godefroid de Bouillon.
Le second récit, qui donne son titre à l'album est de nouveau plus déroutant dans sa construction, plus proche de ce que Chaland a l'habitude de proposer. L'enjeu du récit ne nous sera révélé qu'à la fin, très poétique par ailleurs.
En revanche, si ce récit donne son titre à cet album africain, et est emprunt de l'esprit colonialiste époque, il se déroule quasi-intégralement en banlieue parisienne.
Encore une façon de prendre le lecteur à rebours de ce à quoi il s'attend.
Je serai volontiers preneur du contexte de prépublication de cet album dans Métal Hurlant.
Les deux récits ont-ils été scindés avec une coupure entre les deux, ou bien se sont-ils enchainés l'un directement après l'autre ?
Se compose de deux histoires tout à fait réjouissantes tant l’univers et la maitrise de Chaland sont excellents.Le trio est intéressant, chacun ayant un caractère qui paraît nécessaire à l’ensemble.Leur statut est ambigû. Il semble qu’ils soient tous trois cousins ou de la même famille car leurs revenus proviennent d’un individu qu’ils nomment l’oncle Isidore. Pourtant les relations avec Dina sont troublantes. La tête du trio est évidemment Freddy, au caractère affirmé, un peu rêveur et parfois irresponsable : nous dirons qu’il est lunatique ; Sweep dynamise en douceur la bande par son mauvais caractère et son ironie, tandis que Dina apporte une dimension de charme et presque d’érotisme fort bienvenue. Le tout est léger mais sait être grave. Si l’on voyage dans une Afrique d’opérette dans le premier épisode, on ne s’y sent pas moins comme un poisson dans l’eau. Les noirs caricaturés à la Spirou époque Franquin sont délicieux ; on vogue mine de rien en plein délire sans en être incommodé du tout. Chaland sait nous présenter un univers cohérent, une sorte d’années 50 fantasmées, dans un style belge mais dans un décor parisien.