Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Les cookies sur Bedetheque.com :
Nous respectons votre vie privée, et n'utilisons que des cookies internes indispensables au fonctionnement du site.
En savoir plus Fermer
Avec" Les folles nuits de Cryptée" Ardem a enfin les honneurs de la collection cartonnée des éditions "Dynamite". Il suit en cela le chemin d'Igor et Bocère avec "La pharmacienne" à cette différence près que pour Ardem, il s'agit là d'une réédition. Dans son "encyclopédie de la bande dessinée érotique" (édition "la Musardine"), Henri Filippini souligne que "le nom d'Ardem apparaît la première fois avec la publication des "Folles nuits de Cryptée" dans la collection des "Marquis" des éditions Glénat", toute une époque !
Je possède un certain nombre de bd signées Ardem, comme "Vidéos privées", "Chantages" ou encore"Tournage amateur", pourtant, je suis assez étonné de la maitrise du scénario par Ardem (alias Alain Mounier) sur son premier album de près de 64 pages. Car, contrairement à de nombreuses bd dites pour adultes, il y a une histoire, certes ponctuée de scènes pornographiques souvent crues - fellations, sodomies, doubles pénétrations...tout y est- , illustrée par un dessin de qualité. Même les récitatifs sont légions dans cette bande dessinée !
D'ailleurs l'histoire débute comme un film de Francis Leroi ( réalisateur entres autres de "Je suis à prendre" avec Brigitte Lahaie en 1978) où se côtoient, dans un décor luxueux, Maître et valets, majordomes, et servantes. Bref, un album témoin d'une époque révolue, celle où les films pornographiques n'avaient pas encore débouché sur le "Gonzo".
Avec cet opus, Ardem annonce sa marque de fabrique: soumission des femmes,un certain goût pour le chantage, le tout sur fonds d'histoire familiale.
Lecture réservée à un public très averti, il va s'en dire.
Avec" Les folles nuits de Cryptée" Ardem a enfin les honneurs de la collection cartonnée des éditions "Dynamite". Il suit en cela le chemin d'Igor et Bocère avec "La pharmacienne" à cette différence près que pour Ardem, il s'agit là d'une réédition. Dans son "encyclopédie de la bande dessinée érotique" (édition "la Musardine"), Henri Filippini souligne que "le nom d'Ardem apparaît la première fois avec la publication des "Folles nuits de Cryptée" dans la collection des "Marquis" des éditions Glénat", toute une époque !
Je possède un certain nombre de bd signées Ardem, comme "Vidéos privées", "Chantages" ou encore"Tournage amateur", pourtant, je suis assez étonné de la maitrise du scénario par Ardem (alias Alain Mounier) sur son premier album de près de 64 pages. Car, contrairement à de nombreuses bd dites pour adultes, il y a une histoire, certes ponctuée de scènes pornographiques souvent crues - fellations, sodomies, doubles pénétrations...tout y est- , illustrée par un dessin de qualité. Même les récitatifs sont légions dans cette bande dessinée !
D'ailleurs l'histoire débute comme un film de Francis Leroi ( réalisateur entres autres de "Je suis à prendre" avec Brigitte Lahaie en 1978) où se côtoient, dans un décor luxueux, Maître et valets, majordomes, et servantes. Bref, un album témoin d'une époque révolue, celle où les films pornographiques n'avaient pas encore débouché sur le "Gonzo".
Avec cet opus, Ardem annonce sa marque de fabrique: soumission des femmes,un certain goût pour le chantage, le tout sur fonds d'histoire familiale.
Lecture réservée à un public très averti, il va s'en dire.