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Voilà une bd muette pour le moins originale. On va suivre une longue histoire où il est question d’un ours qui est adopté par un chasseur puis de son fils mi-ours, mi-humain. On rentre dans le domaine purement du fantastique bien que cela s’inscrit dans la réalité. Les personnages sont représentés à la manière que le célèbre peintre Picasso n’aurait pas reniée. Cela donne un côté artistique à l’ensemble.
Les thèmes sont invariablement les mêmes : le rejet de la différence, la cruauté humaine etc… Cela n’apporte rien de nouveau. Tout est axé dans la forme et la mise en image qui est remarquable.
J’ai trouvé que la fin du récit laisse planer encore le doute. On n’arrive pas à percevoir véritablement les intentions même si on les devine aisément. Il y aurait comme de l’évolution des sentiments dans l’air.
Je viens de lire cet album. Même s'il n'y a pas de texte, je pense qu'on peut parler de lecture. Nicolas Presl joue avec les codes de la bande dessinée et tout est d'une fluidité parfaite, avec une histoire parfaitement compréhensible. Le propos est nuancé et fait appel à de nombreuses émotions, tant le dessin est vivant et porteur de sens. Et esthétique, aussi. Pas réaliste, dans le sens où les choses et les êtres sont souvent déformés, mais il y a une patte, un style, et rien n'est vain dans la façon détournée de représenter le réel. Il y a parfois un petit air de Vanoli, surtout dans les visages.
L'histoire en elle-même est abracadabrante, mais on y croit, parce que l'auteur sait jouer avec nos émotions et susciter l'empathie. Il aborde habilement le thème de la différence, du regard de l'autre, de la déchirure héritée de parents eux-mêmes peu épargnés par les aléas de la vie.
Une autre conception de la bande dessinée. Une prouesse graphique et narrative, doublée d'un récit émouvant. À découvrir.
Info édition : La dominante bleue de la couverture est devenue grisée. Le nom de l'auteur est en blanc. En dernière page: 'Achevé d'imprimer en novembre 2014 sur les presses de l'imprimerie Pulsio.'
Voilà une bd muette pour le moins originale. On va suivre une longue histoire où il est question d’un ours qui est adopté par un chasseur puis de son fils mi-ours, mi-humain. On rentre dans le domaine purement du fantastique bien que cela s’inscrit dans la réalité. Les personnages sont représentés à la manière que le célèbre peintre Picasso n’aurait pas reniée. Cela donne un côté artistique à l’ensemble.
Les thèmes sont invariablement les mêmes : le rejet de la différence, la cruauté humaine etc… Cela n’apporte rien de nouveau. Tout est axé dans la forme et la mise en image qui est remarquable.
J’ai trouvé que la fin du récit laisse planer encore le doute. On n’arrive pas à percevoir véritablement les intentions même si on les devine aisément. Il y aurait comme de l’évolution des sentiments dans l’air.
Je viens de lire cet album. Même s'il n'y a pas de texte, je pense qu'on peut parler de lecture. Nicolas Presl joue avec les codes de la bande dessinée et tout est d'une fluidité parfaite, avec une histoire parfaitement compréhensible. Le propos est nuancé et fait appel à de nombreuses émotions, tant le dessin est vivant et porteur de sens. Et esthétique, aussi. Pas réaliste, dans le sens où les choses et les êtres sont souvent déformés, mais il y a une patte, un style, et rien n'est vain dans la façon détournée de représenter le réel. Il y a parfois un petit air de Vanoli, surtout dans les visages.
L'histoire en elle-même est abracadabrante, mais on y croit, parce que l'auteur sait jouer avec nos émotions et susciter l'empathie. Il aborde habilement le thème de la différence, du regard de l'autre, de la déchirure héritée de parents eux-mêmes peu épargnés par les aléas de la vie.
Une autre conception de la bande dessinée. Une prouesse graphique et narrative, doublée d'un récit émouvant. À découvrir.