Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Les cookies sur Bedetheque.com :
Nous respectons votre vie privée, et n'utilisons que des cookies internes indispensables au fonctionnement du site.
En savoir plus Fermer
Première chose à dire qui concerne directement le livre en tant qu'objet : l'intégrale est un petit format. Ca se lit bien quand même, mais pas aussi agréable que les grands formats des tomes séparés.
L'histoire est bien sympa, intrigue policière teintée d'histoires dramatiques de famille. C'est bien rythmé, on ne perd pas de temps, c'est plein d'actions. C'est quand même à lire, même si je trouve dommage qu'on finisse l'histoire sans savoir exactement ce que contenait la fameuse lettre. Peut-être un tome de plus n'aurait pas fait de tord pour combler ça.
J'ai profité de la dernière intégrale en mini format que nous offrent les éditions Glénat. Cette histoire n'est pas désagréable à la lecture. Elle possède tous les codes qui prévalaient dans les années 80 et 90 pour le meilleur et pour le pire. Il reste encore un petit charme désuet agrémenté par les beaux dessins des frères Stalner. Le graphisme est toujours aussi sublime.
La chronique sociale et l'aspect historique s'effacent nettement devant la haine, la jalousie et les histoires d'adultères. On a droit à une série passion dans la veine des feuilletons TV qui passent tous les après-midi pour contenter la fameuse ménagère de moins de 50 ans. Pour ma part, j'ai bien aimé le côté intrigue politico-financière.
Le premier tome était pourtant prometteur. Cependant, les personnages changent de caractère presque artificiellement dans le second. Les rebondissements ultérieurs paraissent non crédibles tant les ficelles sont grosses.
Au final, cette série ne transcendera pas le genre romanesque. Elle possède par exemple moins de force qu'une autre série similaire comme Les Maîtres de l'Orge. Elle n'en demeure pas moins divertissante.
Le final réserve une bonne surprise à ses lecteurs habitués aux productions Stalner. Elle annonce une autre saga d'importance: celle de La Croix de Cazenac que j'ai d'ailleurs beaucoup aimé.
Première chose à dire qui concerne directement le livre en tant qu'objet : l'intégrale est un petit format. Ca se lit bien quand même, mais pas aussi agréable que les grands formats des tomes séparés.
L'histoire est bien sympa, intrigue policière teintée d'histoires dramatiques de famille. C'est bien rythmé, on ne perd pas de temps, c'est plein d'actions. C'est quand même à lire, même si je trouve dommage qu'on finisse l'histoire sans savoir exactement ce que contenait la fameuse lettre. Peut-être un tome de plus n'aurait pas fait de tord pour combler ça.
Quant aux dessins, du grand Stalner, comme d'hab.
J'ai profité de la dernière intégrale en mini format que nous offrent les éditions Glénat. Cette histoire n'est pas désagréable à la lecture. Elle possède tous les codes qui prévalaient dans les années 80 et 90 pour le meilleur et pour le pire. Il reste encore un petit charme désuet agrémenté par les beaux dessins des frères Stalner. Le graphisme est toujours aussi sublime.
La chronique sociale et l'aspect historique s'effacent nettement devant la haine, la jalousie et les histoires d'adultères. On a droit à une série passion dans la veine des feuilletons TV qui passent tous les après-midi pour contenter la fameuse ménagère de moins de 50 ans. Pour ma part, j'ai bien aimé le côté intrigue politico-financière.
Le premier tome était pourtant prometteur. Cependant, les personnages changent de caractère presque artificiellement dans le second. Les rebondissements ultérieurs paraissent non crédibles tant les ficelles sont grosses.
Au final, cette série ne transcendera pas le genre romanesque. Elle possède par exemple moins de force qu'une autre série similaire comme Les Maîtres de l'Orge. Elle n'en demeure pas moins divertissante.
Le final réserve une bonne surprise à ses lecteurs habitués aux productions Stalner. Elle annonce une autre saga d'importance: celle de La Croix de Cazenac que j'ai d'ailleurs beaucoup aimé.