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"Eva" est troublant, dans son approche, dans son scénario, au travers d'un dessin sombre avec des grands aplats de noirs, des visages symboliques et si peu expressif. A la manière des automates, les protagonistes en deviennent presque dépourvus d'émotions tellement les lèvres sont figées et le regard fixe ; c'est glacial et cela relève le coté monstreux de l'oeuvre. On rejoint le style des "One Shot" de Comès de l'époque : Silence, La Belette, Iris. Cependant dans "Eva", le travail de Comès est d'autant plus symbolique dans les représentations, les formes, les traits du visage. Ainsi, nous avons une œuvre intrigante, même s'il manque un certain élan de folie, due a cette inexpressivité des personnages pour rendre le one shot mémorable. Le trio de personnage propose un huit-clos malsain et oppressant, les éléments sont dévoilés petit à petit de manière maitrisé, jusqu'au grand final.
Je n'ai pas adhéré, c'est glauque, noir, malsain... Bref je n'étais pas à l'aise avec cette histoire. Le dessin : pourquoi pas, ce n'est pas cela qui m'a déplu. C'est un parti pris qui convient à l'ambiance.
Un drame psychologique agréable qui ravira les amateurs d’étrange, de mystère et de suspense Hitchcockien.
Nul doute d’ailleurs que Comès ait été influencé par le maître Hitchcock pour l’élaboration de son œuvre tant les différents clins d’œil abondent le récit.
Pour ma part, ça été un plaisir et j’ai été conquis dès la première page grâce aux superbes dessins en noir et blanc qui restituent parfaitement cette ambiance oppressante et glauque.
Même si au final l’histoire reste classique, on passe un excellent moment de lecture que je conseille.
La fin est flippante et très réussie.
Il est de ces albums qui sont difficiles à juger la première fois. Ici, rien de
conventionnel. Un couple de jumeaux assez étranges demeurent dans une
maison où se passent de bien drôles de choses. Lorsqu'une inconnue franchit leur
porte d'entrée parce qu'elle est en panne, elle est loin de se douter qu'elle va
basculer dans un monde où la folie règne en souveraine...
En noir et blanc, la tension se fait sentir et se referme comme un piège sur le
lecteur. Un certain érotisme balaie quelques pages.Finalement, on en sort un peu
secoué! Vraiment rien de conventionnel! Une belle découverte!
"Eva" est troublant, dans son approche, dans son scénario, au travers d'un dessin sombre avec des grands aplats de noirs, des visages symboliques et si peu expressif. A la manière des automates, les protagonistes en deviennent presque dépourvus d'émotions tellement les lèvres sont figées et le regard fixe ; c'est glacial et cela relève le coté monstreux de l'oeuvre. On rejoint le style des "One Shot" de Comès de l'époque : Silence, La Belette, Iris. Cependant dans "Eva", le travail de Comès est d'autant plus symbolique dans les représentations, les formes, les traits du visage. Ainsi, nous avons une œuvre intrigante, même s'il manque un certain élan de folie, due a cette inexpressivité des personnages pour rendre le one shot mémorable. Le trio de personnage propose un huit-clos malsain et oppressant, les éléments sont dévoilés petit à petit de manière maitrisé, jusqu'au grand final.
Je n'ai pas adhéré, c'est glauque, noir, malsain... Bref je n'étais pas à l'aise avec cette histoire. Le dessin : pourquoi pas, ce n'est pas cela qui m'a déplu. C'est un parti pris qui convient à l'ambiance.
Un drame psychologique agréable qui ravira les amateurs d’étrange, de mystère et de suspense Hitchcockien.
Nul doute d’ailleurs que Comès ait été influencé par le maître Hitchcock pour l’élaboration de son œuvre tant les différents clins d’œil abondent le récit.
Pour ma part, ça été un plaisir et j’ai été conquis dès la première page grâce aux superbes dessins en noir et blanc qui restituent parfaitement cette ambiance oppressante et glauque.
Même si au final l’histoire reste classique, on passe un excellent moment de lecture que je conseille.
La fin est flippante et très réussie.
Il est de ces albums qui sont difficiles à juger la première fois. Ici, rien de
conventionnel. Un couple de jumeaux assez étranges demeurent dans une
maison où se passent de bien drôles de choses. Lorsqu'une inconnue franchit leur
porte d'entrée parce qu'elle est en panne, elle est loin de se douter qu'elle va
basculer dans un monde où la folie règne en souveraine...
En noir et blanc, la tension se fait sentir et se referme comme un piège sur le
lecteur. Un certain érotisme balaie quelques pages.Finalement, on en sort un peu
secoué! Vraiment rien de conventionnel! Une belle découverte!