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Alors que du même auteur, j'avais plutôt apprécié «Les Kids», je suis plutôt déçu par la présente œuvre. Il faut dire que l'auteur axe totalement son récit autobiographique sur sa collection de cassettes pornographiques et sur ses séances quotidienne de masturbation.
On se rend compte que quelque chose ne tourne pas rond chez lui. Bien sûr, on peut être un peu différent pour être original par rapport à ses congénères. Il a d'ailleurs une bande d'amis qui s'intéresse à son sort ce qui ne sera pas forcément le cas des lecteurs.
Je découvre également le pire travers qui puisse exister chez un homme à savoir sa radinerie. Je n'ai toujours pas digéré le coup du restaurant. Maintenant, c'est bien d'avoir conscience de ses défauts mais de là à les exploiter dans une bd, je ne trouve pas que cela m'apporte quelque chose à moi lecteur. Voilà un auteur qui aurait besoin tout de même d'une bonne thérapie !
Très déçu par le dernier Joe Matt.
Strip Tease et Peep Show m'avaient fait beaucoup rire, mais celui-ci m'a ennuyé à un tel point que j'en suis venu à me demander ce qui avait pu me plaire dans les précédents. Ça tourne en rond. Le coup du type qui montre au grand jour qu'il est un loser pathétique qui se masturbe quinze fois par jour, qui élève la radinerie au rang d'art et qui est égoïste, c'est drôle un peu, mais au bout d'un moment, c'est lassant.
L'album est très bavard et il ne se passe absolument rien. Ce ne sont que les jérémiades de Joe Matt sur son état. Le lecteur a un peu l'impression de jouer le psy... sauf que c'est lui qui paye.
Alors que du même auteur, j'avais plutôt apprécié «Les Kids», je suis plutôt déçu par la présente œuvre. Il faut dire que l'auteur axe totalement son récit autobiographique sur sa collection de cassettes pornographiques et sur ses séances quotidienne de masturbation.
On se rend compte que quelque chose ne tourne pas rond chez lui. Bien sûr, on peut être un peu différent pour être original par rapport à ses congénères. Il a d'ailleurs une bande d'amis qui s'intéresse à son sort ce qui ne sera pas forcément le cas des lecteurs.
Je découvre également le pire travers qui puisse exister chez un homme à savoir sa radinerie. Je n'ai toujours pas digéré le coup du restaurant. Maintenant, c'est bien d'avoir conscience de ses défauts mais de là à les exploiter dans une bd, je ne trouve pas que cela m'apporte quelque chose à moi lecteur. Voilà un auteur qui aurait besoin tout de même d'une bonne thérapie !
Très déçu par le dernier Joe Matt.
Strip Tease et Peep Show m'avaient fait beaucoup rire, mais celui-ci m'a ennuyé à un tel point que j'en suis venu à me demander ce qui avait pu me plaire dans les précédents. Ça tourne en rond. Le coup du type qui montre au grand jour qu'il est un loser pathétique qui se masturbe quinze fois par jour, qui élève la radinerie au rang d'art et qui est égoïste, c'est drôle un peu, mais au bout d'un moment, c'est lassant.
L'album est très bavard et il ne se passe absolument rien. Ce ne sont que les jérémiades de Joe Matt sur son état. Le lecteur a un peu l'impression de jouer le psy... sauf que c'est lui qui paye.