. Epoxy | Gemile10 | Bon état | 50.00€ | |
. Epoxy | stan prozak | Bon état | 9.00€ | |
b1981. Epoxy | jim mac clure | Bon état | 15.00€ | |
c1997. Epoxy | avantilamusica | Comme neuf | 12.00€ | |
c1997. Epoxy | Barry lyndon | Très bon état | 9.99€ | |
c1997. Epoxy | kibur | Très bon état | 9.95€ | |
c1997. Epoxy | mtintin | Très bon état | 6.00€ | |
d2003. Epoxy | Barry lyndon | Comme neuf | 15.00€ | |
d2003. Epoxy | edualc | Comme neuf | 12.00€ | |
d2003. Epoxy | lodeb | Comme neuf | 9.90€ | |
d2003. Epoxy | lodeb | Très bon état | 9.90€ | |
d2003. Epoxy | kikofoxy | Très bon état | 8.00€ | |
d2003. Epoxy | breub | Comme neuf | 8.00€ | |
e2009. Epoxy | PHILGUZZ | Très bon état | 14.00€ | |
e2009. Epoxy | jim mac clure | Très bon état | 12.00€ | |
e2009. Epoxy | breub | Comme neuf | 9.00€ |
Info édition : 2e trimestre 1968, avec jaquette.
Info édition : Pas de mois de Dépôt légal. Avec un dossier supplément de 16 pages réservé à la 1re édition contenant une préface de Jean Van Hamme et une "introduction à Cuvelier" par Numa Sadoul. Première mise en couleur de l'album.
Info édition : Noté "Première édition' en page 2.
Info édition : Dos toilé
Info édition : TL grand format Blue Circle en bichromie. 1500 exemplaires.
Je crois que j'ai pratiquement tout lu de l’œuvre de Jean Van Hamme. Il me restait celle-ci qui éveillait un peu ma curiosité car c'est un genre qui n'était pas celui de sa prédilection pour l'auteur. En même temps, je me suis juste posé la question de savoir ce qu'il y avait d'érotique dans la bd. Je cherche encore...
On retrouve néanmoins ce qui fera néanmoins le charme de ses différentes femmes dans ses sagas avenirs. Il y a également beaucoup de Thorgal dans l'exploration de cette mythologie grecque.
Pour autant, je n'ai pas du tout été séduit par le scénario assez bancal qui nous fait passer d'une situation à l'autre comme dans un rêve éveillé. Le graphisme a beaucoup vieilli. C'est une œuvre qui n'a pas passé l'épreuve du temps. A offrir à un vénérable arrière-grand père à la rigueur et sans vouloir les offenser !
Pour la description extérieure : une bande dessinée épaisse avec couverture très cartonnée et jaquette et des chapitres colorés d'une seule teinte.
Pendant la lecture il faut se remettre dans le contexte de 1968 avec là encore une originalité absolue, entière et primaire. Pour l'intérieur tout est dit dans les autres commentaires.
Un must également pour tout bon collectionneur.
Epoxy, une jeune femme charmante, a un bien étrange accident aux larges des côtes de Grèce. Elle se retrouve dans une sorte de dimension parallèle, qui l'a entraîné en pleine mythologie, où elle va rencontrer dieux et déesses et vivre toutes sortes d'aventures initiatiques.
Le premier scénario de Van Hamme. Cuvelier lui avait proposé d'écrire une histoire avec des femmes nues, Van Hamme avait alors songé à la mythologie, pour écrire une histoire avec contenance, permettant de montrer sans vulgarité des femmes dénudées.
On reconnait le découpage Van Hamme (peu ou pas de descriptifs, pas de textes trop longs, lisibilité), et le beau dessin de peintre de Cuvelier.
L'histoire reste tout de même assez confuse et la fin surprenante. A lire, lorsque l'on sait ce qu'est devenu le scénariste!
L'un des premiers scenarios de Jean Van Hamme. A l'époque, toujours cadre d'une multinationale, il décide de donner le nom d'un de ses "produits" à son héroïne. On imagine la tête des dirigeants de la boîte quand s'ils se sont rendu compte de la chose (nous sommes en 1968 alors !).
Van Hamme connait sa mythologie sur le bout des doigts et sait tisser une histoire qui, au delà des charmes de son héroïne, nous propose justement de visiter cette même mythologie.
Ceci nous vaut de rencontrer dieux (et déesses !) et demi-dieux de l'Olympe.
L'album bénéficie de la qualité du dessin de Paul Cuvelier dont les femmes n'ont sans doute jamais été aussi sensuelles que dans ce livre là (et pourtant ...).
Bref, un bien beau moment.
Soulignons que l'édition "colorisée" de Claude Lefranc ne rend pas grace au talent de Cuvelier, c'est même un complet ratage.
A noter que la fin est inspirée par celle d'un philosophe grec. Comme quoi Van Hamme est un homme de grande culture.